Famille : oiseau                                                                                               Reproduction : ovipare                                                                                     Taille : 87 à 130 cm                                                                                          Poids: 4 à 6 kg

Où vit-il ?            Le grand tétras vit dans des régions froides et boisées. Dans les Pyrénées où il est bien représenté, il occupe la plupart des forêts de montagne, entre une altitude  variant de 700 à 2000 m d’altitude .

Régime alimentaire :                                                                                      Il est végétarien, il se nourrit exclusivement de bourgeon, feuille, graine et baies. L’hiver, il fait une grand consommation d’aiguilles de sapin et de pins .

Ses habitudes de vie et ses particularités:                                                   Discret et très farouche , le grand tétras est difficile à observer ,sauf
pendant la période des amours au printemps.Son comportement est alors spectaculaire; les plumes de la queue redressées et déployées en demi-lune, il parade pour attirer les femelles. Dérangé sans cesse par les nouvelles  routes et par un tourisme accru ces dernière années, il pourrait bien disparaître rapidement.

La Neste d Aure est un torrent du sud-ouest de la France qui prend
naissance dans le parc des Pyrénées.C’est un affluent de la Garonne en rive gauche.

Elle traverse le village de Saint-Lary et nous la longions tous les jours. Lors de randonnées, nous avons vu les ruisselets descendre de la montagne , provenant de la fonte des neiges pour la rejoindre dans la vallée.

Elle est utile pour l’irrigation, l’hydroélectricité, des usages non consommateur comme la préservation du milieu, la pêche et le tourisme.                  Le patrimoine lié à l’eau se trouve au fil du torrent ( moulins, canaux, retenues ) .

Le centre d Altitude de la Charente est un grand bâtiment. Il a été construit en 1967 et accueille des classes de Charente et d’autres départements depuis, pour des séjours de neige, de printemps ou des colonies.

Il y a une grande cour devant avec des jeux : un baby foot, une table de ping-pong ,un terrain de foot , un terrain de basket et de handball .Il y a deux balançoires.

Quand on rentre dans le hall, on voit un grand escalier. Il sert pour réunir tous les enfants avant de manger, de lieu de rendez-vous.

Au rez de chaussée, il y a une salle de jeu , à gauche, il y a une classe. Sous l’escalier , il y a la réserve à ski: elle nous servait à mettre nos affaires de ski avant et après, à sécher dans la surchauffe où il faisait très très chaud. En tournant à gauche, nous trouvons le réfectoire et les cuisines: c’était grand, on était par table de 4 ou 6 avec des copains des autres classes, parfois avec les animateurs ou les maîtres.Le petit déjeuner n’était pas trop comme chez nous car le choix était très varié et équilibré .Les repas n’étaient pas toujours les mêmes, on a goûté des aliments que l’on ne mangeait pas avant, les produit étaient  souvent locaux.

Près de la salle à manger, il y a l’infirmerie avec quelques lits pour des malades ou des punis. Ceux qui prenaient des médicaments devaient y aller seul au moment des repas.

A l’étage, en haut du grand escalier, nous trouvons les chambres et les salles de bains, nos deux dortoirs de 10 ou 12 étaient côte à côte. Dans les chambres, nous y étions le matin et le soir .Pour les salles de bains nous y allions aussi pour les douches en fin d’après-midi  .Tout au fond du bâtiment, se cachaient les 2 salles de classes.

Le centre était confortable, accueillant, bien organisé. Le personnel et les animateurs étaient gentils.

Nous ne souhaitons pas le voir fermer car d’autres enfants doivent pouvoir profiter aussi de ce centre .

• Nous avons visité la centrale hydroélectrique de Saint-Lary. Cette centrale fait partie d’un ensemble de plusieurs centrales de la vallée d’Aure qui fonctionnent ensemble. Elle date de 1919 et elles sont pilotées à distance par informatique.
• Les différentes parties d’une centrale hydroélectrique :
  Le lac de retenue : c’est de l’eau qui provient des précipitations ( neige fondue, pluie, source)  que l’on retient grâce à un barrage.
• Les galeries souterraines traversent sous les montagnes pour amener l’eau aux conduites forcées.

– la conduite forcée : c’est un tuyau qui amène l’eau du barrage vers la centrale avec une pente importante pour donner de la puissance à l’eau.

–  la turbine: l’eau puissante fait tourner la turbine qui entraîne l’arbre de transmission qui est fixé à l’alternateur où est fabriqué l’électricité ( grâce à des aimants et du cuivre). 

–  le transformateur: l’électricité passe dans le transformateur pour élever sa puissance à 63 000 volts pour qu’elle circule dans les lignes à haute tension. On diminuera sa puissance pour arriver dans les maisons .

– L’eau de la centrale est rejetée dans la Neste par le canal de fuite.

Les remontées mécaniques servent pour remonter les gens sur les pistes dans les stations de ski. Il y en a plusieurs sortes :

• le tire-fesse ou téléski (on s’accroche à une perche et on passe la rondelle du tire-fesse entre les jambes et on se laisse tirer).

• le télésiège (4 ou 6 sièges accrochés à un câble), on garde les skis aux pieds.

• Le télécabine (6 ou 8 places dans une cabine accrochée à un câble), les skis sont à l’extérieur dans un porte-ski.

• Le téléphérique ( grande cabine sans fauteuil où on peut loger à 47 personnes ou 4 OOO kg)

• Le tapis roulant (tunnel avec un tapis qui défile tout le long) pour les débutants.

Pour accéder aux remontées, il faut avoir un forfait qui coûte 35 euros. Nous , pour aller au ski, nous avions tous les jours une carte magnétique dans la poche gauche qui permettait d’ouvrir les barrières automatiquement .  La station ouvre de 9h à 18h. Le soir, les pisteurs vérifient qu’il n’y ait plus personne.

Il y a différentes couleurs de pistes :

-Vert (Très facile)

-Bleu (Facile)

-Rouge (difficile)

-Noir (Très difficile)

La création des remontées mécaniques ont permis aux stations de sport d’hiver de se développer.