Il y a eu 111 montbronnais qui sont morts sur environ 500 mobilisés.
La vie était difficile dans les tranchées. Ils dormaient dans des lits inconfortables. Parfois, ils sont recroquevillés dans des trous d’obus, les bras autour des genoux, tellement ils ont froid. Le manque de sommeil est horrible. Ils avaient peur, ils avaient froid. Ils attendaient et voulaient rentrer dans leur maison. Ils vivaient dans des tranchées humides et sombres. Le soir, ils réparaient les tranchées et ils surveillaient. Ils dormaient tout habillés et se lavaient avec très peu d’eau.