Le blog de l'école élémentaire du Tâtre et de Touvérac
Un petit flocon
Qui vient de tomber
Plume de noel
L’oiseau dans le ciel
Ne l’a pas gardée
Et quatre flocons
Qui viennent briller
Sur le vert sapin
Tell’ ment en rêvait
Et mille flocons
Qui viennent danser
Autour des fenêtres
Et bientôt la contée
Nous sera contée
Marie Litra
Lente et calme en grand silence
Elle descend se la lence
et flotte confusement
se balence dans le vide
voilant sur le ciel livide
l eglise des clocher dormant
pasun soupir pas un soufle
tout s etoufe ets emmitoufe
de silence recouver
c est la paix froid et profonde
ui se repandsur le monde
la grand paix de l hiver
francis yard
Les feuilles colorées
Commencent à tomber
Les arbres sont en deuil
Car ils perdent leur feuilles
Le matin,la rosée
Me fait rêver
Les feuilles dorées
Me font délirer
La soirée est vite arrivée
Le soleil s’est couché
Le vent s’est levé
Et les feuilles se sont envolées
L’automne va se terminer
Les feuilles vont s’émietter
L’hiver va commencer
La neige va tomber
La Cigale, ayant chanté
Tout l’été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue.
Pas un seul petit morceau de mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la fourmi sa voisine.
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu’à la saison nouvelle.
Je vous paierai lui dit-elle,
Avant l’août, foi d’animal intérêt et principal.
La fourmi n’est pas prêteuse c’est la son moindre défaut.
Que faisiez vous au tant chaud ? dit-elle à cette emprunteuse.
Nuit et jour à tout venant je chantais ne vous déplaise.
Vous chantiez ?J’en suis fort aise
Et bien dansez maintenant.
Jean de la fontaine
ALBANE
un petit flocon
qui vient de tomber
plume de noël
l’oiseau dans le ciel
ne l’a pas gardée
et quatre flocons
qui viennent briller
sur le vert sapin
qui depuis matin
tellement en rêvais
et mille flocons
qui viennent danser
autour des fenêtres
et bientôt la fête
nous sera contée.
Dans un coin, le sapin
A des branches toutes blanches,
Dans un coin, le sapin
Attend Noël pour demain.
Les flocons tournent en rond
C’est le manège de la neige
Les flocons tournent en rond
Mon jardin est en coton.
Le traîneau, tout là-haut
Quelle merveille, Père Noël
Le traîneau, tout là-haut
Apportera des cadeaux.
Mes soulier bien cirés
Près de la cheminée
Mes souliers bien ciré
Seront remplis de jouets.
J’ai mangé un oeuf,
Deux langues de boeuf,
Trois rôtis de mouton,
Quatre gros jambons,
Cinq rognons de veau,
Six couple d’oiseaux,
Sept immenses tartes,
Huit filets de carpe,
Neuf kilos de pain,
Et j’ai encore faim.
peut-être, ce soir
vais-je encore devoir
Manger mes deux mains
Pour avoir enfin
Le ventre bien plein.
Dans les forêts dépouillées,
Déjà les feuilles rouillées
Font un tapis de velours,
Et l’on entend,de l’automne
Gemis le chant monotone
coupé par des sanglots lourds.
Les frileuses hirondelles,
Rasant le sol de coup d’ailes ,
Se rassemblent a grand cris,
Et tous les oiseau sauvages
S’appellent sur les rivages Près des étang défleuris.
JEAN RICHEPIN
Les sept jours frappent à la porte
Chacun d’eux vous dit : lève-toi
Soufflant le chaud soufflant le froid
Soufflant de temps de toute sortes
Quatre saisons et leur escorte
Se partagent les douze mois
Au bout de l’an le vieux portier
Ouvre toute grande la porte
Et d’une voix beaucoup plus forte
Crie à tout vent : premier janvier
Pierre Menanteau
Giovana
Par les poils de mon balai!
Jurait, crachait la sorcière.
Par les poils de mon balai!
Je te transformerai
En vieil hiboux grincheux!
Tu dormiras au trou
Et la nuit, et le jour,
Tu chanteras : hou! hou!
Que même la lune, oh oui!
En pleurera de rire!
Par les poils de mon balai.
Un, deux, trois tu es fait!
Marie Litra