Voici que la saison décline
L’ombre grandit l’azur décroit
Le vent fraichit sur la colline
L’oiseau frissonne l’herbe a froid
Aout contre septembre lutte
L’océan n’a plus d’alcyon
Chaque jours perd une minute
Chaque aurore pleure un rayon
La mouche comme prise au piège
Est immobile à mon plafond
Comme un blanc flocon de neige
Petit à petit l’été fond
Victore Hugo