Marraine de guerre

Par les 6ème Segpa de Chasseneuil

Auteur : Paule du Bouchet

Celui qui raconte l’histoire : c’est un soldat français, Etienne, qui a 22 ans.

Le récit se déroule entre novembre 1916 et novembre 1918.

L’histoire se passe dans les tranchées, un peu à l’hôpital et pendant une permission quand Etienne rencontre sa marraine de guerre : Marie Pierre.

Il y a aussi Gaspard, le plus vieux soldat du bataillon. C’est pour ça qu’il appelle Etienne « petit ».

Ce que nous en avons pensé :

Nos avis, nos coups de cœur

J’ai choisi ce passage car ça se passe en pleine guerre quand sa marraine de guerre lui écrit.

Ce qui m’a impressionné c’est qu’ils s’étaient déjà rencontrés une fois. Car je croyais que les soldats n’avaient pas de permission. La lecture de la lettre de sa marraine de guerre a déprimé Etienne. Car elle est optimiste en parlant de la fin de la guerre mais lui est pessimiste en pensant à sa mort dans la prochaine bataille.

Ce qui m’a impressionné : c’est que des soldats français fusillent leurs camarades pour de simples paroles parce qu’ ils étaient fatigués et puis découragés : ils ont été fusillés pour mutinerie.

Le passage qui m’a plu : c’est la première fois que le poilu rencontre sa marraine de guerre : ils ne savent pas à quoi ils ressemblent car ils ne se connaissent que par courrier, alors quand ils se voient, ils sont émus.

Mes parents pensent que pendant la guerre de 14-18, les soldats étaient trop jeunes et que les familles ne les reverraient jamais .

Le passage qui m’a marqué c’est celui où Etienne devait enjamber et marcher sur les cadavres d’autres soldats dans la tranchée pour rejoindre son abri.

Ce qui m’a impressionné, c’est tous ces morts pendant la guerre de 14-18 et que dans chaque famille il y a eu des morts.

Etienne a 23 ans ; il a reçu une balle et il reste entre la vie et la mort pendant trois nuits avant que son bataillon le sauve et l’amène à l’hôpital. Ce qui l’a sauvé c’est d’avoir pensé sans cesse à Marie Pierre, sa marraine de guerre : quand il sortira de l’hôpital après l’armistice, il va la revoir. Il attend ce moment depuis longtemps.

Ce qui m’a plu : c’est quand Etienne décide d’aller chez sa marraine de guerre sans la prévenir à Saint-Etienne. Il la rencontre sans savoir que c’est elle devant une pharmacie à qui il demande l’adresse de Marie Pierre. Il croyait qu’elle était une vieille femme mais ce n’était pas vrai : elle était belle.