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Sur la plage  de Port Maria à Locmaria, un monsieur s’est approché d’un groupe d’enfants pour leur montrer des pouce-pieds… Nous n’en avions jamais vus et l’apparence était très bizarre. Le soir à l’Auberge de Jeunesse, nous avons pu regarder un documentaire  sur le pouce-pied et apprendre qu’il était très recherché pour la consommation, en Espagne particulièrement.

Le pouce-pied de l’Atlantique est un crustacé.

Un crustacé ciripède marin à pédoncule charnus et court qui vit fixé aux roches battues par les vagues.

Son aire de répartition se limite à la zone intertidale, le long de la côte atlantique de l’Europe et de l’Afrique du nord.

Jean-Christophe

Avant de raconter notre conte, parlons un peu des menhirs, ces grands blocs de pierre! La raison de leur position est inconnue même s’il y a des hypothèses et maintenant voici l’histoire de Jean et Jeanne.

Il y a bien longtemps à Belle-Ile, Jean, un barde qui voulait devenir druide malgré les longues années d’apprentissages (plus de 30 ans),  était bien décidé.  Jeanne,  quant à elle, était une simple bergère. Un beau jour, ils tombèrent amoureux.

Mais le chef du village ne voulait pas de cet amour. Alors les jeunes amoureux se virent en cachette tous les soirs sur une crique déserte, mais un émissaire du chef les vit et raconta tout à celui-ci. Furieux, il alla à Locmaria, le village des sorcières.

L’une d’entre elles accepta de les punir, alors elle prépara sa potion et le soir venu, elle mit trois gouttes dans la bouche de Jean et fit de-même pour Jeanne.  Et quand les deux amoureux se rejoignirent alors qu’il se dirigeaient à leur point de rendez-vous, ils se transformèrent en deux menhirs, une fée passant par là, décida que chaque pleine lune, les amoureux pourraient  déplacer leur prison de pierre et se retrouver mais ne vous mettez pas en travers de leur chemin sous peine de vous faire écraser et ne les regardez pas dans les yeux pour ne pas vous faire transformer en menhirs.

Théo Denis-Lutard, Mathilde Berdon-Gissinger, Gaëtan Fort

On est partis de Fléac, nous sommes passés par Niort, Nantes,  Vannes puis Quiberon.

On s’est arrêtés à une première aire de repos à Poitiers, puis nous avons  pique-niqué à 57 kilomètres de Vannes et  nous avons repris la route.

Nous nous sommes arrêtés à Carnac pour voir les alignements de Carnac et on est repartis vers Quiberon.

Nous sommes partis à 8h00 de l’école et nous sommes arrivés à 16h20 a Quiberon.

HUGO ET ENRICK

Il était une fois des villageois très heureux et très tranquilles. Un jour, un petit garçon sortit de sa maison pour aller se promener sur la côte. Tout à coup il vit une énorme barque, quand elle arriva sur la côte, il se cacha derrière un rocher et il vit trois géants débarquer. Il courut avertir le village que trois géants arrivaient. Ce fut la panique dans le village, tout le monde se cacha dans les maisons.

Quand ils arrivèrent le sol tremblait; l’un dit “on a faim, donnez-nous à manger”. Les géants étaient tellement grands qu’ ils mangeaient trois vaches chacun à chaque repas, et les villageois n’auraient plus de nourriture pour l’hiver.

 Plus tard, les géants ordonnèrent d’utiliser les menhirs pour leur construire un château, mais les villageois dirent “on ne peut pas détruire les menhirs des korrigans, ils vont nous en vouloir”. Les villageois désignèrent une petite fille s’appelant Gaïa, les géants dormaient sur leur matelas en laine de moutons. Gaïa, la nuit alla prévenir les korrigans, elle s’approcha d’un menhir et tapa trois fois du pied “PAF!PAF!PAF!”. Un korrigan sortit de terre, il dit “que me vaut ce dérangement à une heure si tardive?”. Gaïa très excitée lui dit “les géants veulent utiliser vos menhirs pour fabriquer un château”. Le korrigan très énervé lui répondit “mais pour qui se prennent-ils ceux-là? Ils vont voir ce qu’il vont voir, foi de korrigan”. Ces derniers très malins et très farceurs jouèrent un mauvais tour aux géants.

Le lendemain matin, les géants mangeaient leur petit déjeuner “BEURK,BEURK!!! c’est dégoûtant”; les korrigans avaient mis des champignons vénéneux dans leur petit déjeuner! Les villageois dirent “c’est pas nous, ce sont les korrigans!” Les géants s’exclamèrent “ils croient qu’ils sont plus malins que nous!”.

Le surlendemain soir, les géants vont se coucher, quand ils s’allongèrent, leur matelas les piquaient “AÏE!AÏE!AÏE!” faisaient les géants en se relevant; les korrigans avaient remplacé les matelas par des ronces, orties et ajoncs. Les géants en avaient assez, ils  creusèrent et creusèrent, mais comme les Korrigans avaient de grandes oreilles et plusieurs galeries de secours, ils voyaient les géants creuser.

 Dès qu’ils  sortirent aux trois coins de Belle-île, un éclair les  foudroya et ils furent transformés en pierres. Voilà la légende de Belle-île des trois géants.

Valentin et Vincent