Lulu et la grande guerre

Auteur : Fabian Grégoire

Illustration

On voit la guerre se dérouler sur certaines images. Les images illustraient bien ce que racontait le texte. Il y a aussi un documentaire à la fin. On a bien vu les tranchées.

Résumé

Il y a un village où il va y avoir bientôt une fête. Tout à coup une annonce bouleverse le village. Quelques pères et fils doivent partir à la guerre. Des familles entières sont inquiètes. Charles monte dans le train et dit à Lulu,sa petite soeur qu’il lui enverra des lettres. Elle reçoit des lettres tout les mois jusqu’à ce qu’un jour elle n’en reçoive plus. Avant cela,elle avait eu une très grand lettre dans laquelle il y avait une fleur. Un jour, à l’école elle voit une ambulance. Elle court dehors pour voir ce qui se passe. Son frère a eu un accident à la guerre. Mais Lulu n’a pas le droit de le voir. Ce sont ses parents qui lui annoncent qu’il est handicapé : il n’a plus de jambes. Mais le plus important pour elle c’est qu’il n’est pas mort.

Nos avis

On a aimé l’histoire. Elle était prenante et on a appris plein de choses. La guerre était dangereuse et des gens risquaient leur vie pour tout le village. Les familles perdaient des êtres chers, on a trouvé ça triste. Même ceux qui n’étaient pas encore adultes partaient. On a compris qu’il était difficile d’expliquer aux enfants la mort ou les accidents. Ce qui est bien, c’est que certains soldats avaient des permissions. Tout le monde dévalisait les épiceries de peur de manquer de nourriture, après il n’y avait plus rien. En tout cas c’était une chouette histoire même si des fois c’était dur.

Les CE2-CM1 de Rivières

L’horizon bleu (écrit par Dorothée Piatek)

Pierre

Pierre, le héros du roman, vu par Camille

 Le résumé :
En août 1914, Pierre est un jeune instituteur qui part à la guerre. Sa femme Elisabeth reste seule pour s’occuper de l’école et des élèves. Pierre vit des choses horribles : c’est l’enfer !
Il n’est pas seul dans les tranchées : il retrouve Henri un ami d’enfance, puis il rencontre Gabriel un soldat un peu étrange. Mais, c’est un bon copain quand même…
Pierre écrit souvent à Elisabeth pour lui raconter ce qu’il vit dans les tranchées.
Réussira-t-il à survivre ? Oui, mais il ne sera plus jamais le même… Heureusement, il fait la connaissance de Gustave, un jeune garçon qui va lui redonner espoir en la vie.

L’horizon bleu… ou noir ?

Je pense que l’auteur a du se renseigner beaucoup : elle a sans doute lu beaucoup de carnets de soldats, de lettres, … et elle a su rendre cette histoire émouvante. (Fanny)

Le livre s’appelle peut-être « L’horizon bleu » car, à partir de 1915, les soldats portaient des uniformes d’une couleur qu’on appelle bleu horizon. (Anastasia)

Le livre aurait pu s’appeler « L’horizon noir » car l’histoire est noire. Il y a des morts, les personnages dépriment, … : ils broient du noir. (Camille)

Une histoire d’amour…

Pierre et Elisabeth

Un couple séparé par la guerre (dessin de Lisa)

Les lettres de Pierre et Elisabeth étaient très tristes et émouvantes. (Mendy)

J’aime bien cette histoire car elle est romantique. Dans certains passages par exemple, au début, quand Pierre passa la dernière nuit avec sa femme ou quand ils s’écrivent des lettres. (Lisa)

Une histoire d’amitié…

J’ai bien aimé ce livre. Quand Pierre est parti, il a retrouvé son ami Henri. Ils sont allés sur le champ de bataille. Ils ont creusé des tranchées. (Anastasia)

Quand son ami Henri meurt, Pierre est complètement désemparé. Il commence à devenir fou. (Valentin)

Gabriel était espion mais il a sauvé son ami de la prison. Il est allé le chercher en prison. Finalement, si Gabriel n’avait pas été espion, Pierre serait peut-être mort en prison. Pierre a été sauvé aussi grâce à sa femme car elle est allée voir le colonel Schmidt. (Fanny)

Il y a eu de l’amitié, de l’espionnage, du suspense, de l’émotion, du sauvetage, de l’amour, beaucoup de blessés et tués pour leur pays. (Nathan)

Pierre

Pierre dans les tranchées (dessin de Pablo)

Une histoire triste…

Pierre est blessé dans sa tête par la guerre car il a vécu des choses horribles. Il s’imagine qu’il n’est plus un homme… (Meïlie)

J’ai bien aimé ce livre même s’il y avait des passages tristes. (Inès)

J’ai trouvé triste quand Pierre le héros dit à sa femme dans une lettre qu’il voudrait mourir quand il est en prison. (Valentin)

J’ai bien aimé ce livre. J’ai trouvé triste quand Pierre doit aller en prison et qu’il veut se laisser mourir. (Jade)

Ce livre était triste mais je l’ai beaucoup aimé. J’aime quand les livres sont intrigants. (Fanny)

L’espoir : Pierre et l’enfant

J’ai eu peur pour Pierre, j’ai cru qu’il allait mourir mais j’ai toujours espéré que la fin serait joyeuse. (Romain)

Le passage avec le petit garçon m’a ému, car Gustave est orphelin et Pierre est triste. A la fin, on imagine qu’ils vont vivre ensemble avec Elisabeth dans son ancienne école, que Pierre va adopter Gustave. (Fanny)

Je pense que Pierre va adopter le petit orphelin. Quand il lui parle, on dirait que c’est son père, que Pierre va lui donner de l’amour et de la tendresse. (Mendy)

Pierre et Gustave sont partis dans une sorte de nouvelle vie. (Anastasia)
Quand Pierre a rencontré le garçon, il le considère comme son fils et Gustave le considère comme son père. (Axel)

J’ai bien aimé « L’horizon bleu » car il y a du suspense à chaque chapitre. J’ai surtout aimé quand Pierre a rencontré l’orphelin. Ils s’entendent bien car en fait ils se ressemblent : ils sont tous seuls.
C’est à nous d’imaginer la fin de « L’horizon bleu ». On pourrait écrire « L’horizon bleu 2 ». (Matthias)

J’ai aimé l’histoire de « L’horizon bleu » car j’adore le suspense et il y en avait. J’ai bien aimé quand Pierre rencontre l’orphelin et qu’il lui a dit qu’il était courageux. (Valentin)

Une histoire au cœur de la guerre…

Sur la Terre, ça ressemble un peu à la Lune car tout est détruit à cause des obus, des bombes, … (Valentin)

J’adore les livres qui parlent de la grande guerre. La Grande guerre me passionne (Fanny)

C’est terrible de faire Noël ensemble et puis le lendemain d’être obligés de combattre. (Mendy)

La guerre est injuste. Les hommes auraient pu parler au lieu de se battre.(Romain)
La guerre est cruelle et horrible. (Valentin)

La première guerre mondiale du début à la fin, c’est monstrueux, c’est terrible, c’est horrible, c’est l’enfer.
La guerre c’est une grosse bêtise. Tuer, c’est vraiment horrible !
Quand on sera grand, il ne faudra pas faire la même chose, ne pas faire les mêmes bêtises que les adultes. (Nathan)

L’avis des parents :

La maman de Lisa :
Bien rythmé par la correspondance. Les lettres apportent une certaine véracité par le témoignage du vécu des différents personnages (avec Pierre au front, Elisabeth restée à Haubourdin, l’infirmière, ses amis, …).
Les descriptifs sont courts et incisifs « comme les éclats d’obus », ce qui permet de ne pas casser le rythme de l’histoire. L’intensité de l’horreur va monter crescendo.
La simplicité des textes reflète avec honnêteté les sentiments en général (d’amour, d’amitié, de fraternité et de patriotisme).
Le dénouement est inattendu. Malgré les conséquences terribles qu’aura généré cette guerre, l’espoir renaît par le retour à la vie grâce à l’enfant.
Beau témoignage. Se lit d’un trait.

La maman de Fanny :
Tout comme ma fille Fanny, j’ai bien aimé ce roman. La description des sentiments de tous les protagonistes est touchante et nous fait voyager dans le cœur et dans la tête des français (et même des allemands) de la première guerre. Évidemment le fait d’avoir choisi deux instituteurs comme personnages principaux permet aux enfants de mieux comprendre les dégâts de cette guerre et d’avoir plus de compassion car ce « poilu » pourrait être leur maître. Et les enfants de cette petite école ressemblent à nos enfants qui ressentent encore aujourd’hui de l’admiration et éprouvent du respect envers celui qui leur transmet le savoir et qui les rassure quand ils sont inquiets en répondant à toutes leurs questions. Ce roman montre aussi que l’instituteur, le savant, l’intellectuel peut être aussi l’homme courageux qui, pour se défendre, lui et ses camarades, est obligé de tuer et devient un « monstre » par obligation.
Heureusement la guerre perd de sa force grâce à l’union entre l’allemand et l’instituteur, l’amitié n’a pas de nationalité ni de race.
Et l’amour ! Même dans la distance, la véritable distance, l’isolement, sans le téléphone, l’internet, l’amour est victorieux. Pourtant ce « poilu » pense ne plus mériter l’amour que lui porte sa femme puisqu’il est devenu un monstre. Il n’est devenu un monstre que pour lui-même et il faudra sûrement beaucoup de temps pour qu’il se reconstruise dans sa nature, sa région qu’il aime, qu’il aimait car elle aussi par les dégâts de la guerre, elle est devenue presque monstrueuse.

La maman de Margot :
J’ai trouvé ce livre émouvant et triste.
Il m’a permis de comprendre les conditions de survie des soldats et également celles des femmes restées à la maison.
Au fur et à mesure de l’histoire, on prend conscience que ces hommes appelés pour la guerre sont partis sans savoir ce qui les attendait, pensant que ce conflit serait de courte durée.
L’auteur décrit avec beaucoup de détails l’horreur de leur quotidien sur le front : la boue, la famine, la saleté, la crasse, les cauchemars qui les amènent à la limite de la folie.
La correspondance que Pierre entretient avec Elisabeth sa femme et avec ses élèves montre bien l’importance que peuvent avoir ces échanges, lui donnant le courage de tenir le coup et de garder un lien avec sa vie d’avant.
On mesure également combien l’amitié est importante pour Pierre malgré la trahison de son ami Gabriel.
Les combats sont décrits avec tellement de précision que l’on pourrait s’imaginer dans la tranchée au milieu des soldats, sortant de la tranchée avec eux, menant l’assaut avec eux, ou ayant peur en même temps qu’eux ; ces soldats ont tous combattu avec la même bravoure quelle que soit leur nationalité.
A la fin de la lecture de ce livre, je me suis posé une question :
Et si cela avait lieu maintenant, comment réagirions-nous ?
Aurions-nous aujourd’hui le courage de tous ces hommes et la détermination de ces femmes qui ont défendu leur pays ?

Le papa d’Inès :
J’ai retenu de ce livre qu pendant la guerre où il y a le chaos partout, le seul moyen de communication entre les soldats et les épouses reste le courrier.
On se rend compte qu’il est très important de savoir lire et écrire. On constate que l’homme peut être pacifiste et plein d’ambitions envers les enfants, et devenir un monstre capable de tuer d’autres êtres humains pour sa propre survie et défendre son pays.
La trêve de Noël a permis aux soldats des deux camps de fraterniser le temps d’une soirée, ce qui prouve qu’ils avaient d’autres ambitions que de s’entretuer.
Avant le conflit, l’idéal de Pierre c’est d’apprendre aux enfants, et après le conflit, au moment où il doute le plus, où il ne sait plus, c’est un enfant qui va le ramener vers son idéal.

Les tranchées

Le roman vu par le papa de Margot

La marraine de guerre

Auteure : Catherine Cuenta

Éditions : Hachette Jeunesse 2002

Collection : Le Livre de Poche jeunesse

L’histoire :

C’est l’histoire d’un combattant de guerre, Etienne qui, après deux ans de combats, perd le gout de tout. Il trouve ces attaques inutiles. Alors, il cherche un réconfort dans la correspondance et les lettres qu’il envoie à sa marraine de guerre Marie-Pierre. Lors d’une permission chez sa tante, Etienne veut rencontrer cette marraine de guerre. Marie-Pierre le reçoit chez elle. Il retourne un soir chez sa tante. Et ensuite Etienne doit retourner aux combats alors Etienne et Marie-Pierre continuent de s’écrire. Ils discutent beaucoup et tombent amoureux.

Un jour, lorsque sa marraine de guerre vint le voir, sur les terrains de guerre, une bombe atterrit à coté du camp. Le combattant fut touché. Il était enseveli sous la terre, mais toujours vivant. Heureusement, il fut sauvé par sa marraine de guerre qui le croyait toujours vivant. Après la guerre, il retrouva sa marraine de guerre et ils vécurent toute leur vie ensembles.

Ce que j’en pense :

Une marraine de guerre, c’est quand une femme se met à correspondre avec un soldat, et qu’elle lui envoie des colis, l’informe de ce qui se passe dans les villes et le réconforte… Durant la guerre de 14-18, l’Etat avait encouragé cette pratique pour maintenir le moral des soldats.

J’ai bien aimé ce roman.

Je pense qu’Étienne garde le moral et le courage grâce à sa marraine de guerre qui le soutient. Même à la fin, tout près de la mort, c’est grâce à elle qu’il réussira à s’en sortir car il se sent aimé. C’est une belle histoire.

Angélique, et la classe de CM1-CM2

Ecole de Dignac

 

Zappe la guerre

Titre : Zappe la guerre
Auteur : PEF
Illustrateur : Geneviève Ferrier
Editeur : Rue du monde
Ages concernés : 8 ans et plus.
Nombre de pages : 30 pages

Résumé : Une nuit, quatre vingt ans après la fin de la Première Guerre mondiale, des soldats reprennent vie et sortent du monument aux morts de la petite ville de province de Rezé, en Loire Atlantique. Ils veulent faire le point sur la vie de cette fin de 20ème siècle, voir si leur guerre a servi à quelque chose, à en éviter d’autres. Dans les rues, ils découvrent le monde moderne, la télévision et ses images de conflits qui n’ont malheureusement pas cessé… Ils rencontrent aussi un enfant, à qui ils racontent ce qu’ils ont vécu. En parallèle avec cette histoire créée par Pef, des photos d’époque et des textes informatifs expliquent simplement la réalité de la guerre de 1914-1918 : ses raisons, ses étapes, la guerre de tranchées, les premières utilisations de gaz, de l’artillerie lourde, de sous-marins et de l’aviation militaire, l’entrée en guerre des Etats Unis, la victoire ainsi qu’un bilan des pertes innombrables dues à cette guerre.

Avis des lecteurs :

« J’ai bien aimé ce livre « Zappe la guerre ». Il y avait assez d’humour et ça m’a appris un peu plus de choses sur la guerre 14-18. Je trouve que l’histoire de tous ces morts, c’était bien trouvé. » Charles-Edouard

« J’ai bien aimé ce livre car c’est assez bizarre de voir des soldats de la guerre 14-18 sortir des monuments aux morts. La seule chose que je n’ai pas aimée, était les petits documentaires, car quand on les lit ça nous fait un peu oublier l’histoire. Je pense qu’il serait mieux à la fin de l’histoire. » Arthur

« J’ai bien aimé l’histoire de ces soldats morts pour la gloire. » Adrien

« J’adore ce livre qui est en format BD, mais la fin était bizarre, on s’attendait à ce qu’on nous raconte la guerre. » Elliot

« J’ai bien aimé ce livre parce que les soldats de 1914-18 qui sont morts en se battant sortent soudain du monument aux morts de Resé et découvrent le monde moderne. » Liocha

« J’ai bien aimé ce livre parce que c’était à la fois vrai et animé. Cela montre le déroulement de la guerre. Ce livre m’a renseigné sur certaines sur certaines choses comme le visage des soldats.Il est agréable à lire pour en faire un petit documentaire sur la guerre. La fin est un peu bizarre. » Yannis

Lulu et la Grande Guerre

Voici la production des élèves de CM2 de Torsac.

Auteur :

Fabian Grégoire

Editeur :

Ecole des Loisirs dans la collection Archimède

Résumé :

C’est l’histoire de Lucienne et de son frère Charles. Alors qu’ils préparaient la fête de la Saint Julien, le 2 août, tous les jeunes hommes sont appelés à partir pour faire la guerre contre les Allemands.

Charles part en train. Au début, il se déplace  beaucoup mais ne se bat pas. Il envoie des lettres à Lucienne et à sa famille. Puis Charles participe aux combats et un jour, une ambulance le ramène chez lui. Il est blessé aux jambes et se retrouve en fauteuil roulant.

Nos avis :

Cette histoire est bien mais triste. Elle est facile à comprendre et aide à savoir ce que les gens pensaient quand un membre de la famille part.

On apprend des choses sur la vie des soldats : dans les tranchées, leur surnom de Poilus…

Les images du livre sont des peintures : elles sont précises et réalistes. Par exemple, on voit bien le changement d’uniforme entre le képi rouge du début de la guerre et les casques de la fin.

La partie documentaire montre les armes, la vie dans les tranchées et les villes détruites…Nous avons trouvé intéressant d’avoir ce dossier en plus.

 

L’armistice revisité

L’armistice mettant fin à la première guerre mondiale a été signé le 11 novembre 1918 dans un wagon à Rethondes.

Ne reculant devant aucun obstacle, les reporters-rédacteurs du blog ont retrouvé une image célèbre de cet évènement. La question 1 de la mission 5 du défi Internet “HistoriTuic” porte sur cette image.

Au temps de la grande guerre

Voici la première production de cette année réalisée par l’ULIS Anatole France d’Angoulême !

Titre : « Au temps de la grande guerre »

Auteur : René Ponthus

Résumé :

C’est l’histoire d’un petit garçon, appelé Antoine, qui vit chez ses grands- parents pendant la Première Guerre Mondiale.

Au départ, Antoine était allé chez ses grands- parents, uniquement pour les vacances mais quand la guerre a éclaté, il a été contraint de rester plus longtemps car son père est envoyé au combat et sa mère doit travailler à Paris, dans une usine de fabrication d’obus.

Cela fait maintenant quatre ans qu’Antoine va à l’école de St-Martin.

Dans le village, de mauvaises nouvelles arrivent, mais, plus chanceux, il revoit de temps à autre sa mère.

Quelques jours avant la fin de la guerre, son père revient du front, blessé.

Il prend le temps de raconter les horreurs de la guerre et ce qu’il a vécu là – bas.

Le Lundi 11 Novembre 1918, alors que les élèves font une dictée, le maire vient annoncer que la guerre est terminée.

C’est la fin du cauchemar, les cloches retentissent et les habitants laissent éclater leur joie en fêtant l’heureux événement.

Nos avis :

On a aimé car on a appris qu’à l’époque :

– les élèves écrivaient avec un porte-plume et de l’encre

– les élèves faisaient des exercices de prévention contre les attaques chimiques.

– Les femmes qui ne travaillaient pas, ont été mobilisées dans les usines, dans les transports, car les hommes étaient partis à la guerre.

– En temps de guerre, les enfants étaient envoyés à la campagne, pour être loin des combats.

– Les hommes vivaient dans l’enfer des tranchées.

– On les appelait « les  poilus » parce qu’ils ne prenaient pas soin d’eux. Le manque d’eau en était la cause.

Les illustrations nous paraissent réalistes. Elles sont belles et grandes.

On a eu envie de dessiner le drapeau français.

Kamo l’idée du siècle

fiche lecture Kamo

Titre : Kamo l’idée du siècle

Auteur : Daniel PENNAC

Résumé : C’est l’histoire de Kamo qui est un élève de CM 2. Lui, et les camarades de sa classe ont demandé à M Marjorelle, leur maître, de les préparer à la 6 ème.
Pour y arriver, Kamo a eu une idée. Il propose à M Marjorelle de se transformer en professeur différent tout au long de la journée.

Avis des lecteurs : c’était émouvant car ils avaient peur de ne plus voir leur maître avant la 6 ème. C’était drôle ( le passage avec le professeur d’anglais ).

Comme ce livre nous a plu, on a envie de découvrir les autres aventures de Kamo.