Vendredi 30 mars, nous avons fait notre première séance de ski. Dans le garage 3, on a mis les chaussures de ski, on a pris les skis, et certains les bâtons. C’est très facile d’attacher les chaussures de ski, mais pas de marcher avec !
Voici le groupe 6. Au ski, notre classe et celle de Ruelle sont partagées en six groupes ; il y a deux groupes pour ceux qui savent skier (ceux qui ont des bâtons), et quatre groupes de débutants ou presque débutants. Quand on a chaussé nos skis, notre moniteur nous dit d’aller parfois au “tire-fesses” ou au grand tapis roulant qui nous emmène en haut.
Nous avons déjeuné au centre. Le repas était très bon, comme d’habitude. Au centre, c’est un peu comme à l’école : on n’est pas obligé de manger, mais on goute, et on fait attention à ne pas gaspiller.
L’après-midi nous avons eu un temps de classe, et puis une récré. Il faisait encore très beau et chaud.
Nous sommes allés à la chèvrerie de Gouaux, un petit village près de Saint-Lary. Nous y sommes allés en mini-bus avec Monique, Chichi et la maitresse. Madame Parizelle nous a expliqué comment on fabrique le fromage de chèvre. Il faut du lait de chèvre qu’on laisse dans un seau avec trois gouttes de la présure. On le laisse reposer une journée. Le lendemain, le lait est caillé, un peu solide. On prend une faisselle (récipient à trous) et on met le caillé dedans. C’est ce qu’ont fait Emeline D. et Lucas L.
Nous avons gouté quatre fromages différents : de la tome, un chèvre frais, un chèvre sec, et un chèvre plus fort. C’était bon !
Emeline M, Chloé
Le fromage est fabriqué dans une salle. Après être mis dans la faisselle, il est mis à reposer une journée, puis il est retourné et salé. Il faut encore attendre une troisième journée avant de le déposer dans la salle d’affinage.
Nous avons assister à la traite des chèvres. Dans cette chèvrerie, il y a cinquante chèvres. Pendant la traite, elles mangent des granulés.La machine fait du bruit, mais ça ne leur fait pas mal ; c’est comme si un chevreau était en train de têter.
Voici deux chevreaux de Gouaux ; le premier est nourri au biberon, il a deux jours ; celui photographié dans la caisse a quatre jours. Le premier chevreau nous suivait partout ; qu’il était mignon !