Des mythes au musée

Au musée, jeudi 15 juin, nous avons découvert différents couples mythologiques. Nous avons trouvé que ces histoires étaient compliquées car on retrouve les mêmes personnages dans plein d’histoires et il en arrive beaucoup à ces dieux immortels !

Cupidon et Psyché

On voit une sculpture dénudée de Psyché qui tient à la main une lampe à huile. Elle a été sculptée par J.A.Peiffer, en marbre blanc.

D874.1.2Ce mythe parle d’une femme très très belle, dont tout le monde dit que sa beauté surpasse même celle de la déesse de la beauté, Vénus ( ou Aphrodite ).

La déesse, jalouse, demanda à son fils Cupidon de planter une flèche dans Psyché afin qu’elle tombe amoureuse d’un homme très laid et ainsi qu’elle en soit débarrassée. Malheureusement, le plan de la déesse échoua, car Cupidon tomba amoureux de Psyché, et il l’épousa puis l’emmena dans un palais magnifique.

Psyché avait 2 sœurs, très jalouses l’une comme l’autre. Un jour ses sœurs lui demandèrent à quoi ressemblait Cupidon, et Psyché répondit qu’elle ne l’avait jamais vu. En vérité, Psyché n’avait jamais vu son mari, car il ne voulait pas qu’elle sache que c’était en fait un dieu, car sa mère Vénus, ne savait pas qu’ils étaient mariés. Cupidon ne voyait Psyché que la nuit quand il faisait tout noir et elle n’avait donc jamais vu son visage. Un soir Psyché, remplie par l’envie de savoir qui était vraiment son mari alluma une lampe à huile pendant qu’il dormait, et l’éclaira : elle vit enfin le véritable visage de son mari ! Surprise en le reconnaissant, elle laissa tomber une goutte d’huile bouillante sur l’épaule de Cupidon, et le réveilla. Il fut furieux et la quitta.

Ensuite Psyché subira de nombreuses épreuves pour finalement, vivre avec Cupidon sur l’Olympe !

Eva-Lina et Lila

Bacchus

C’est une sculpture d’enfant nu, avec un raisin dans la main gauche, et une pomme de pin dans la main droite qui représentent ses attributs car il est le dieu du vin et de la fête.

musée 008Dans la mythologie, Bacchus était amoureux d’Ariane et il fit apparaitre à Thésée un cauchemar afin qu’il abandonne Ariane sur une île plutôt que de l’épouser. Ariane et Bacchus se marieront et auront plein d’enfants.

Mélodie et Sarah

La guerre de Troie

ou l’amour d’Hélène et de Pâris

C’est un grand tableau situé dans l’espace Beaux Arts d’Ethienne-Barthélémy Garnier qui s’appelle “La consternation de la famille de Priam“.

Priam-872.1.4Tout commença quand il y eut le mariage de Thétis et Pélée sur l’Olympe. Toutes les divinités étaient invitées sauf la déesse de la discorde, Éris, car on voulait éviter qu’elle provoque la zizanie. Pour se venger, elle lança une pomme avec écrit dessus “à la plus belle”. Trois déesses, Junon, Minerve et Vénus la voulait. Jupiter était embêté d’autant plus que tout le monde avait sa déesse préférée… Jupiter qui ne voulait vexer aucune des trois déesses les envoya  sur le mont Ida afin que Pâris, un berger ( qui était en fait le fils de Priam et d’Hécube, prince de la ville de Troie), les départage. Comme Pâris n’arrivait pas à choisir, les déesses lui donnèrent toutes un argument : Minerve lui proposa d’être un grand guerrier, Junon lui promit de régner sur l’Asie Mineure sans combattre et Vénus lui donnerait l’amour d’Hélène de Sparte, une demi-déesse aussi belle qu’elle. Pâris choisit Vénus et lui donna la pomme.

Pendant ce temps Hélène se mariait avec Ménélas, roi de Sparte qui avait passé un accord avec les autres rois grecs : comme celui-ci savait que sa femme était très belle, il ne voulait pas qu’on l’enlève et tous les rois jurèrent de la défendre et de risquer leur vie pour elle.

Mais lorsque Pâris arriva à Sparte, un jour où Ménélas était parti, Hélène tomba également amoureuse de lui et tous les deux décidèrent de s’enfuir jusqu’à Troie. Hélène prit même la moitié du trésor de Ménélas !

En rentrant chez lui, voyant cela, Ménélas informa tous les rois grecs qui partirent attaquer Troie afin de récupérer Hélène.

Sur le tableau, on voit la fin de la guerre : Pâris, en haut à gauche, désespéré se sentant coupable de la mort d’Hector, son frère. On voit ce dernier au fond du tableau, trainé par un char tiré par Achille.

Priam, au centre du tableau, veut récupérer le corps d’Hector. On voit aussi Hécube et Andromaque (mère et femme d’Hector) qui sont bouleversées.

A la fin de ce mythe, plus loin que le tableau ne le montre, Pâris tua Achille en lui plantant une flèche dans le talon. Puis il fut tué à son tour. Le combat s’arrêta, Ménélas récupéra Hélène, les rois grecs repartirent chez eux, sauf Ulysse qui se perdit en mer…

Mélouan et Nathan

La douleur d’Orphée

ou Orphée et Eurydice

C’est une statue en bronze représentant Orphée, accompagnée d’un chien à trois têtes (Cerbère) et de sa lyre. Elle s’intitule « La douleur d’Orphée », de R. Verlet.

992_12_1aEurydice, la femme d’Orphée, s’était faite mordre par un serpent ce qui l’avait conduit tout droit en enfer. Orphée ne voulant pas qu’elle meure, alla la chercher dans les enfers.

Pour passer, comme il était un excellent musicien, il endormit Cerbère avec sa lyre. Puis il supplia Hadès, le dieu des enfers de la libérer. La femme de celui-ci, Perséphone, émue par son courage et son amour, le convint de libérer Eurydice, mais à une condition : Orphée ne devrait pas la regarder sinon Eurydice mourrait à jamais.

Une fois avoir tout traversé sans la regarder, arrivé au portail pour sortir dans le monde des vivants, Orphée était trop impatient de revoir sa femme. Malheureusement, il se retourna alors qu’ Eurydice était encore dans le tunnel. Du coup, Eurydice mourut à tout jamais !

Lucie et Marie

Adonis et Vénus

C’est un tableau sombre qui a été peint par Paul Bril.

838.1.4C’est l’histoire d’un couple dont la femme, Vénus, ne veut pas que son amoureux, Adonis parte à la chasse car elle a peur qu’il lui arrive quelque chose.

Mais il veut quand même y aller et il va se faire tuer par un sanglier.

Sur ce tableau, on voit 3 chiens de chasse, Cupidon (le fils de Vénus) qui dort, le sanglier dans la forêt.

Paul Bril a représenté 2 moments de cette histoire dans le tableau.

Brayan et Timothé

Visite à la STGA

Jeudi 8 juin, à 9h00, nous avons pris le bus pour partir à la STGA : le conducteur qui nous y a amené nous a aussi guidé pendant la visite et expliqué les règles pour prendre le bus. Nous avons aussi visité l’intérieur du bâtiment où travaillaient les conducteurs et les gens du PC (poste de contrôle). Nous avons fait un quizz et nous avons gagné des maquettes du nouveau dino-bus.

Nous allons vous faire un quizz : Les règles sont simples, trouver les bonnes réponses parmi celles proposées !

1- Le petit bouton rouge sert à…

a) Demander d’arrêter de faire du bruit

b) Arrêter le bus

c) Faire démarrer le bus 2- A quoi sert cette chose ?

a) A ne pas que les gens se blessent en descendant du bus

b) A jouer

c) A faire monter le fauteuil des handicapés

3- Ce dinobus est fait avec …

a) Des autocollants

b) De la peinture

C) Des marqueurs

4- Pourquoi doit-on avancer vers le fond du bus quand on y monte ?

a) Pour embêter les gens

b) Pour laisser la place aux gens

c) Car sinon le bus ne pourra pas démarrer

5- Combien ça coute un ticket de bus pour un voyage qu’on achète en kiosque ?

a) 2 €

b) 1,40 €

c) 1,80 €

6-Combien existent-ils de lignes de STGA en tout ?

a) 13

b) 16

c ) 22

7- On a le droit d’amener un chien dans un bus :

a) Vrai

b) Faux

c) Vrai si c’est un petit chien qu’on porte dans un sac

Correction

1b

2c : Malheureusement ce n’est que sur quelques arrêts et que sur quelques lignes

3a

4b

5b : Oui pour acheter au kiosque, non si on achète dans le bus le ticket de dépannage, ça coute 1,80 €

 6c

7c : Sinon, il prend trop de place, comme tous les gros objets interdits

Anna, Emma, Emmanuel, Kézia, Paul

Le test vélo préparé par la prévention routière

Mardi 16\05\2017 nous sommes allés à l’école Cézanne Renoir où nous avons passé le test vélo : il fallait connaître les panneaux routiers et en même temps apprendre à faire des choses en vélo (tendre la main à un stop, rester à droite …)

L’association de la prévention routière nous a prêté un équipement : gilet jaune, vélo, casque. Nous avons fait plusieurs tours sur les pistes de la cour en respectant les panneaux routiers.

“J’ai trouvé ça facile mais j’avais du mal à respecter le panneau priorité à droite !” Kézia et Paul

Jeu : retrouve les fautes ou les bonnes positionsLana a- a posé le pied alors qu’il ne fallait pas

b- a dépassé la ligne de stop avec sa roue

c- a respecté la règle

Emmanuel a- a posé le pied alors qu’il ne fallait pas

b- a eu raison de s’arrêter car il y avait un panneau d’arrêt

c- aurait dû tendre le bras droit pour tourner

Kézia a-  n’a pas tendu le bras pour tourner à gauche

b- va en sens inverse alors qu’il ne fallait pas

c- a totalement respecté la règle

Nolan a- passe dans cette voie alors qu’il ne fallait pas

b- a tourné dans le bon sens

c- a posé le pied par terre alors qu’il ne fallait pas

Correction du jeu :

Lana réponse b car elle n’avait pas le droit de dépasser la ligne

Emmanuel réponse a : il n’avait pas le droit de mettre le pied par terre car il n’en avait pas besoin puisqu’il n’y avait personne et que la route était dégagée

Kézia réponse a car il n’avait pas le droit de tourner sans tendre le bras

Nolan réponse a car il n’avait pas le droit de tourner dans cette chaussée puisqu’il y a un panneau de sens interdit

Leeloo, Lucie, Marvin et Nolan

 

 


 

Le carnaval de l’Houmeau

Vendredi 7 avril, à 15 h, nous nous sommes déguisés pour faire le Carnaval. Ensuite, à 16h, nous nous sommes mis en rang pour descendre sur la place St Jacques.

Les déguisements des classes

Voici les déguisements variés de la classe de  CE2.

Tous les élèves ont été très contents de pouvoir se déguiser et ils ont tous joué le jeu.

Les CM2 ont été particulièrement conquis par ce carnaval.

La déambulation

Quelques CM2 ont aussi dansé avec les percussionnistes qui nous accompagnaient. Tous les enfants ont bien rigolé, se sont amusés, ont lancé des confettis. Il y a même eu Sarah qui a dansé avec les musiciens africains devant tout le monde.

La chorale

Toute l’école PAUL BERT a  chanté devant tous les parents 3 chansons de Carnaval, les petits de l’école maternelle nous ont également rejoints pour chanter. Il faisait très, très, très chaud !

Au revoir Mme. Carnaval !

Ce sont les élèves du centre de loisirs qui ont fabriqué “PAUL BERTA”, madame Carnaval. Ensuite, nous avons tué Mme Carnaval car elle avait cassé des vitres, elle avait mangé toutes les frites, elle avait volé des ballons…

Les danses

Le centre de loisirs danse sur “Sapés comme jamais “.

Les instituteurs eux aussi se sont déguisés ! Nous nous sommes amusés comme des fous !

“Nous avons trouvé les chansons pas terribles, mais ça ne fait rien car nous nous sommes bien amusés !” Eva-Lina et Marie

Lucie et Mélodie

Petit déjeuner du collège

Mercredi 5 avril, nous avons pris un petit déjeuner au collège Anatole France. On avait tous faim car on n’avait pas mangé ce matin là !

Il y avait : Des céréales complètes, du lait chocolaté, des fruits, des œufs avec du  jambon, des tartines beurrés avec de la confiture, des abricots, du fromage… Sur la troisième photo, on peut voir le buffet avec tous les aliments. Tout le monde a aimé car il y avait beaucoup de choses variées . Nous avons vu beaucoup d’enseignants du collège : Madame Glémet avait travaillé avec ses élèves sur l’importance d’un petit déjeuner équilibré.

Un tuteur de sixième est venu nous aider à porter les plateaux. Il a aussi veillé à ce qu’on ait un aliment de chaque famille pour que notre petit déjeuner soit équilibré !

   

Sur la première et deuxième photos, nous pouvons voir les maternelles qui sont venues après nous prendre le petit déjeuner à leur tour. Après le petit déjeuner, nous devions débarrasser dans différentes poubelles puis nous pouvions aller jouer dehors.

On a tous trouvé ça bon !!

Eva-Lina, Marie, Lila et Sarah

 

La visite du théâtre

Mercredi 6 mars, nous sommes allés au théâtre d’Angoulême pour le visiter et pour préparer la pièce de théâtre “Don Quichotte” que nous irons voir jeudi à l’espace Franquin.

 

Nous avons visité : la grande salle qui peut contenir 727 personnes, l’odéon ( 2ème ligne, 1ère photo) qui contient 60 places et qui est en-dessous de la grande salle, le studio Bagouet qui a 120 places ( 2ème ligne, 2ème photo), les ateliers de lumière et de décors, les bureaux, les loges, le rangement des projecteurs, l’arrière-scène …

 

Pour faire des apparitions surprise, on enlève une plaque de bois du plancher de la grande scène qui mesure 1 mètre 10. Il y a 120 plaques de bois qui font le plancher de la scène et de l’arrière-scène.(deuxième photo de la 4ème ligne)

 

Avant que la dernière personne du théâtre ne s’en aille, elle allume une petite lumière qui soi-disant, éloignerait les fantômes du théâtre…

Cette sortie a plu à tous le monde : Nous avons eu une super vue du haut, au niveau des loges mais nous avons aussi eu mal aux jambes à force de monter et descendre les escaliers !

   

   

 Anna et Nathan

Exposition au collège

Vendredi 17 février, les classes de CM1 et CM2 sont allées au collège Anatole France pour voir une exposition sur le camp d’internement où étaient emprisonnés 350 gens du voyage pendant la 2ème guerre mondiale. Cette exposition a été préparée par une classe de 3ème et quelques élèves de 3ème nous l’ont présentée par groupes. Une grand-mère de 83 ans qui avait connu le camp l’avait raconté aux élèves afin de les aider dans leurs recherches.

Les Tziganes sont formés de 4 peuples : les Roms, les Gitans, les Sintis et les Manouches. On appelle gadjé les gens qui ne sont pas du voyage (gadjo pour un homme et gadji pour une femme).

Avant la guerre, les Tsiganes avaient un passeport donné par la mairie et lorsqu’ils allaient de ville en ville, ils devaient le faire tamponner. A partir de 1940, la circulation des gens du voyage devient interdite par la IIIème république et on les a internés pour mieux les surveiller.

A Angoulême, il y avait le camp des Alliers, (à côté de Leroy Somer aujourd’hui) . 60 % étaient des enfants. Cinq gardes et deux gendarmes gardaient le camp et il y avait des barbelés tout autour.

Le camp était très sale, les Tsiganes mouraient de maladies, de froid, de faim, du manque d’hygiène car ils étaient maltraités par des Français fascistes. Parfois, ces internés dormaient sur de la paille quand ils avaient brulé tous leurs lits pour se réchauffer ! Ils mangeaient de l’eau bleue : une sorte de soupe avec des os et quelques navets, carottes, topinambours, poireaux et beaucoup d’eau ! Ils avaient des cartes d’alimentation. Parfois, quand l’eau du puits n’était plus potable, ils la buvaient malgré tout ! Ils passaient six mois sans se laver et avec la même tenue !!

L’école était obligatoire mais les enfants devaient y aller même malades.

De 7h à 21h, les femmes pouvaient sortir afin de faire les courses dans un rayon de 5km, les hommes, eux, avaient le droit de sortir pour travailler.

Dans ce camp, il y avait de 10 à 20% d’évasion. Mais les fermiers à qui ils demandaient à manger les dénonçaient souvent aux gendarmes !

Les Tsiganes n’ont été libérés que le 11 juin 1946 alors que la guerre était finie en France depuis plus d’un an !

1 500 000 Tziganes furent exterminés dans toute l’Europe pendant la 2ème guerre mondiale.

Aujourd’hui, la carte d’identité des gens du voyage n’est comme la nôtre que depuis janvier 2017 !

Nous avons tous beaucoup aimé cette exposition : cela nous a montré le racisme très fort de la part des Français. Ces derniers allaient très loin dans la maltraitance à l’égard d’un peuple qu’ils jugeaient différents.

A la fin, un élève de 6ème gitan nous a joué trois chansons tsiganes à la guitare : c’est son papou (grand-père) qui lui a appris à faire de la musique et nous lui avons conseillé de s’inscrire à “The Voice” tellement c’était bien !

Les classes de CM1 et CM2

Les fossiles d’animaux du musée

Jeudi 9 février, nous sommes allés au musée d’Angoulême pour étudier les fossiles trouvés en Charente.

On a discuté du film ” Jurassic park” car il parle des dinosaures. Mais comme nous découvrons plein de choses nouvelles en sciences, à l’époque, le réalisateur ne savait pas que les oiseaux étaient les descendants des tyrannosaures. Donc, on aurait dû mettre des plumes aux tyrannosaures du film !

Les ammonites nous ont appris qu’autrefois, la Charente était sous l’océan. Car l’ammonite est un animal marin.

La coprolithe fossilisée que nous avons touchée était une crotte de crocodile fossilisée, ce qui nous montre que la Charente était alors une sorte de marais, après que la mer s’en soit retirée.

Nous avons aussi vu des squelettes fossilisés d’animaux qui ont vécu dans différents climats : comme en climat tempéré pour l’auroch, l’éléphant antique, le cerf, la hyène et en climat froid pour le renne, l’antilope saïga, le cheval de Solutré. Cela nous montre que la Charente a eu différents climats.

 

Certains animaux comme la hyène, l’ours, l’homme savent s’adapter à différents climats. Alors, même si on retrouve leurs squelettes fossilisés, ça ne nous renseigne pas sur le climat.

Emmanuel, Kézia, Mathis et Paul

Les CE2 et le Festival International de la Bande dessinée

Pour le festival de la bande dessinée, nous avons été choisis pour faire partie du jury du Prix des Ecoles d’Angoulême.

Nous avons lu 5 BD: “La cantoche”, “Petit Poilu le prince des oiseaux”, “Tous super-héros”, “L’assaut du roi”, “Gaspard et Berlingot”. Et nous avons voté pour notre BD préférée. Nous avons voté pour “La cantoche” de Nob.

Jeudi 26 janvier au matin, pendant le FIBD, nous avons rencontré Nob, l’auteur de “La cantoche”,  avec les CE2 de Jules Ferry. Nous lui avons posé des questions sur la BD, il nous a dédicacé “La cantoche” et nous a fait des dessins. C’est l’auteur d’autres BD : “Mamette”, “Dad”, “Les souvenirs de Mamette”…

Jeudi après-midi, nous sommes allés à la CIBDI voir un dessin animé sur les super-héros (Justice League Action).

Jeudi soir, nous sommes allés au théâtre pour remettre le Prix des Ecoles d’Angoulême. C’est Tyrone qui a remis le “fauve” à Nob, avec les trois autres enfants des autres classes jury.

Vendredi 27 janvier au matin, nous sommes allés aux Chais Magélis. Nous avons créé une BD sur ordinateur, en groupe.

Nous avons visité deux expositions : “Le château des étoiles” et la B.D. scolaire. Ensuite nous avons fait une activité qui s’appelait “la tambouille”. Il fallait créer une histoire en 3 pages avec des tampons et des feutres. Anna et Camille nous ont fait choisir un titre parmi : “au pays de la chaussure magique, le brocoli en colère, la chaussure en colère, au pays du brocoli magique”.

Nous avons passé un bon moment au quartier jeunesse. Et maintenant, nous sommes en train de créer des BD en classe….!

La classe de CE2

 

Les transports au musée d’Angoulême

Jeudi 24 Novembre, Émilie Falk, médiatrice du musée des beaux arts d’Angoulême, nous a présenté des œuvres d’art représentant des moyens de transports, sur lesquels nous travaillons en classe.

entree-cote-jardinVoici plusieurs moyens de transport adapté au milieu de vie des hommes :

Mélouan et Timothée

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Dans la salle Océanie, nous avons parlé des pirogues à balancier car les gens se déplacent beaucoup avec parce qu’il y a plein d’iles là-bas. Les pirogues sont faites en bois et la voile est faite en écorce : le tapa. Chaque pagaie a un dessin gravé dessus et certaines ne sont pas faites pour ramer mais pour les fêtes.

Emma et Jade

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Le peuple qui vit dans le désert est nomade. Sur le premier tableau (de Louis-Eugène Ginain, 1864), nous voyons des guerriers en train de faire la fête, elle  s’appelle “Fantasia”.

Les nomades s’habillent avec des vêtements fluides afin que la transpiration s’évapore facilement.

Sur la 2ème photo, il y a  sac en cuir qui pouvait avoir différentes tailles, et de belles décorations comme des broderies, perles…Ici, il y a de la soie et le vert est de la teinture de plantes (sac touareg, fin XIXème s.) Il se met sur le dos des chameaux ou des dromadaires.

Sur la 3ème photo, nous pouvons apercevoir un dromadaire. Dans le désert, les nomades utilisent beaucoup le dromadaire car il peut marcher 50 km sans boire. Par contre il ne va pas très vite et aujourd’hui, on peut utiliser un 4 x 4 !

Eva-Lina, Lilabac-a-roffit

Le bac (une sorte de grande barque à fond plat) servait à transporter des vaches, des personnes de l’autre coté de la rivière. On tirait le bac avec une corde attachée à des poteaux fixés au fond de l’eau. Cela permettait aux vaches d’aller pâturer de l’autre côté de la rivière dans les prairies.

Marvin et Paul

f14aLe cheval est le plus ancien moyen de transport : nous l’avons dressé pendant plusieurs époques. Au musée, nous avons vu des étriers, des fers à cheval (comme sur la photo), des éperons, des selles…Les plus vieilles traces proviennent du Néolithique. Le cheval servait pour la guerre (les chevaliers), à tirer des charrues, des charrettes…

Kézia et Leeloo

C’est l’Houmeau au XIXème siècle (tableau de G.Boucart, 1927). On aperçoit le bord de Charente. Il y a un bateau au bord du quai, c’est une gabarre. La gabarre est un bateau à fond plat, au mat repliable pour naviguer sur les fleuves et pour pouvoir passer sous les ponts. Quand elle passait sous les ponts, elle était tirée par des femmes, des chevaux, sur les sentiers de hallage (la coulée verte aujourd’hui). La gabarre permettait de transporter des marchandises, comme ici on voit des tonneaux car en Charente, on fait du cognac. La petite grue verte servait à déposer les marchandises sur la gabarre

derrière la gabarre, on voit un bateau lavoir avec une petite tente blanche pour que les femmes soient abritées. Elles nettoyaient le linge dans la Charente. C’était un bateau fixe.

Anna, Sarah

Relecteur Emmanuel