Jeudi 24 Novembre, Émilie Falk, médiatrice du musée des beaux arts d’Angoulême, nous a présenté des œuvres d’art représentant des moyens de transports, sur lesquels nous travaillons en classe.
Voici plusieurs moyens de transport adapté au milieu de vie des hommes :
Mélouan et Timothée
Dans la salle Océanie, nous avons parlé des pirogues à balancier car les gens se déplacent beaucoup avec parce qu’il y a plein d’iles là-bas. Les pirogues sont faites en bois et la voile est faite en écorce : le tapa. Chaque pagaie a un dessin gravé dessus et certaines ne sont pas faites pour ramer mais pour les fêtes.
Emma et Jade
Le peuple qui vit dans le désert est nomade. Sur le premier tableau (de Louis-Eugène Ginain, 1864), nous voyons des guerriers en train de faire la fête, elle s’appelle “Fantasia”.
Les nomades s’habillent avec des vêtements fluides afin que la transpiration s’évapore facilement.
Sur la 2ème photo, il y a sac en cuir qui pouvait avoir différentes tailles, et de belles décorations comme des broderies, perles…Ici, il y a de la soie et le vert est de la teinture de plantes (sac touareg, fin XIXème s.) Il se met sur le dos des chameaux ou des dromadaires.
Sur la 3ème photo, nous pouvons apercevoir un dromadaire. Dans le désert, les nomades utilisent beaucoup le dromadaire car il peut marcher 50 km sans boire. Par contre il ne va pas très vite et aujourd’hui, on peut utiliser un 4 x 4 !
Le bac (une sorte de grande barque à fond plat) servait à transporter des vaches, des personnes de l’autre coté de la rivière. On tirait le bac avec une corde attachée à des poteaux fixés au fond de l’eau. Cela permettait aux vaches d’aller pâturer de l’autre côté de la rivière dans les prairies.
Marvin et Paul
Le cheval est le plus ancien moyen de transport : nous l’avons dressé pendant plusieurs époques. Au musée, nous avons vu des étriers, des fers à cheval (comme sur la photo), des éperons, des selles…Les plus vieilles traces proviennent du Néolithique. Le cheval servait pour la guerre (les chevaliers), à tirer des charrues, des charrettes…
Kézia et Leeloo
C’est l’Houmeau au XIXème siècle (tableau de G.Boucart, 1927). On aperçoit le bord de Charente. Il y a un bateau au bord du quai, c’est une gabarre. La gabarre est un bateau à fond plat, au mat repliable pour naviguer sur les fleuves et pour pouvoir passer sous les ponts. Quand elle passait sous les ponts, elle était tirée par des femmes, des chevaux, sur les sentiers de hallage (la coulée verte aujourd’hui). La gabarre permettait de transporter des marchandises, comme ici on voit des tonneaux car en Charente, on fait du cognac. La petite grue verte servait à déposer les marchandises sur la gabarre
derrière la gabarre, on voit un bateau lavoir avec une petite tente blanche pour que les femmes soient abritées. Elles nettoyaient le linge dans la Charente. C’était un bateau fixe.
Anna, Sarah
Relecteur Emmanuel