Iqbal et LSX à l’école Paul Bert

Cette année 2d3D, (société de films divers)  a proposé à la classe de CM2 de participer à l’avant-première du film “Iqbal, histoire d’un enfant qui n’avait pas peur”, en chantant la chanson du générique.

L’histoire  d’Iqbal Masih

Iqbal est un enfant pakistanais qui est né en 1983 et est mort en 1995 à 12 ans. Nous avons rencontré ce personnage dans le livre de Francesco D’Adamo, “Iqbal un enfant contre l’esclavage”.

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Iqbal est esclave dès l’âge de 4 ans, à cause de la  pauvreté de sa famille. La dette ne cesse d’augmenter et Iqbal est vendu dans une fabrique de briques, puis de tapis, là où se passe l’histoire que nous avons lue. Iqbal va alors s’échapper de son atelier de tissage puis aider le front de libération pour libérer d’autres enfants esclaves comme il l’avait fait avec ses camarades. Ensuite, il va , grâce à des journalistes aller en Suède puis à Boston (États-unis) où il reçoit en 1994 le prix reebok des droits de l’homme. Il est assassiné le 16 avril 1995 par une arme à feu alors qu’il faisait du vélo avec deux copains. On suppose que ce sont des marchands de tapis qui l’ont tué car ils n’étaient pas d’accord avec ses propos, mais ils n’ont jamais été arrêtés !

Depuis, Iqbal représente la lutte contre l’esclavage des enfants partout dans le monde.

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“Je pense qu’il faut toujours se rebeller contre l’esclavage !!!” Zoé

Toute la classe a trouvé l’histoire émouvante, certains ont même pleuré à la fin !

Mathéo et Zoé

La première visite en classe du chanteur de LSX

Quand Bertrand (le chanteur du groupe LSX ) est venu, le vendredi 22 janvier 2016, tout les élèves l’ont bombardé de questions à part quelques timides. Il était accompagné de M. Mounier, le directeur de 2d3D dont le siège est situé dans la rue Fontaine du Lizier. Il nous a expliqué qu’il lui semblait logique de faire chanter des enfants sur une histoire réelle d’enfants. Il a demandé à LSX s’ils étaient d’accord pour créer une chanson qui parlait du film d’Iqbal. Ensuite, il a demandé à notre maîtresse si elle était d’accord pour ce projet.

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Le groupe de LSX est un groupe charentais, il se compose de 3 hommes : Bertrand (chanteur, guitariste et compositeur), son frère Romain (batteur) et leur ami Jonathan (bassiste).

– Comment êtes-vous devenus musiciens ?

– Mon frère Romain nous a inscris à un concours de chant au lycée et il a fallu trouver le nom du groupe.

– Que veut dire LSX ?

– Les gens pensent toujours que ça veut dire Laurent, Stéphane, Xavier ou autre chose encore mais en fait c’est la première lettre des 3 idées de nom de groupe que j’avais eu.

– Combien de chansons as-tu déjà écrites ?

– J’en ai déjà écrites des centaines !

Après l’interview de Bertrand, nous avons chanté pour montrer nos capacités et nous nous sommes entrainés pour préparer l’avant-première. Nous nous reverrons en mars avec les autres membres du groupe pour faire le point.

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May-Lyn et Nathan

 La répétition à 2d3D devant la secrétaire d’état aux droits de la femme et devant le préfet de la Charente

Vendredi 29 janvier, la maitresse nous a appelés vers 13H40  pour nous dire quelque chose (surprise !). Elle nous a dit qu’ on irait répéter à 2d3D cette après-midi, devant des personnalités importantes qui venaient visiter la société. Elle nous a aussi dit qu’il faudrait se tenir très bien ! Tout le monde était excité et content !

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Donc nous y sommes allés et nous avons remarqué qu’il y avait des policiers qui surveillaient la rue ! Nous avons été accueillis par le papa de Zoé, Malika Brahmi et Florent Mounier. Bertrand et son frère Romain étaient déjà là avec la guitare et comme un cageot résonnant. Nous avons répété pendant quelque minutes, le temps que la secrétaire d’état, les journalistes et le préfet arrivent.

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On était stressé mais ça s’est bien passé : quand ils sont arrivés, on a chanté et à la fin, ils ont applaudi, et nous avons fait un selfie. Comme récompense, nous avons mangé une galette, des bonbons, et bu du coca et du jus d’orange !

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C’était une belle après-midi !

Angèle et Mélanie

La prochaine fois que nous écrirons sur le blog, nous aurons chanté devant des centaines de personnes et vous pourrez voir le dessin animé “Iqbal, histoire d’un enfant qui n’avait pas peur” qui sortira au cinéma en mars !

En relecteurs : Dimitri et Lucas

 

Le clavecin à l’école

Le lundi 31 mars, la maman de Madeleine est venue jouer du clavecin et nous faire partager sa passion avec enthousiasme.

Il y a plusieurs types de clavecin Italien, flamand, français, anglais, mais le clavecin allemand est plus complexe. Il existe aussi le petit clavecin, (l’épinette) et le clavicyterium.

Le clavecin est un instrument à cordes. La différence avec le piano est que pour le piano, les cordes sont frappées alors que pour le clavecin, elles sont pincées. Il y a quelquefois 2 claviers superposés. Il n’y a pas de pédale comme au piano et le clavier étant plus court, la tessiture est moins importante.

Le sautereau permet de pincer la corde du clavecin.

Les clavecins ont été brûlés à la révolution française car cet instrument représentait la noblesse. Très peu ont été retrouvés et ils ont été mis au musée vers 1950, car on s’est réintéressé à la musique ancienne.

On appelle le fabricant de clavecin un facteur.

Le clavecin de la maman de Madeleine date du XXème siècle. Il est de style italien et le facteur est japonais.

La maman de Madeleine a joué aux grandes classes un morceau de François Couperin, et aux petites, elle a joué “le dromadaire” pendant que les petits chantaient. (1ère photo)

Sur la 2ème photo, on voit des chevilles en métal qui tiennent les cordes. Les cordes sont  très fragiles (elles peuvent s’oxyder). Les cordes du clavicyterium sont faites avec des boyaux de mouton.

Certains élèves ont fait les apprentis clavecinistes.

Dans l’est de la France, nous allons chercher du bois dans les scieries, les facteurs regardent les essences de bois qui résonnent le mieux. Il existe plusieurs arbres qui servent à fabriquer des clavecins comme le tilleul, le noyer (pour les touches foncées), le peuplier et le buis (pour les touches claires).

Si vous avez envie d’écouter Judicaëlle Giraudeau-Bureau, rendez-vous à l’église Saint Jacques le 21 juin 2014, afin d’écouter le clavecin et l’orgue, accompagnés des merveilleuses voix des enfants de l’école Paul Bert!

Camille, Kelian, Thomas, Tiphaine

Interview de la fanfare Eyo’nlé

Dans le cadre d’une résidence d’artistes de Musiques métisses, jeudi 11 avril, la fanfare Eyo’nlé (Réjouissons-nous en béninois) est venue jouer à l’école. Puis les musiciens ont répondu à nos questions.

Lisez- bien et vous pourrez retrouver le groupe pendant le festival !

 

– Êtes-vous très connus au Bénin ?

– Oui, même très. Le Bénin est petit !

– Faites-vous un autre métier ?

– Avant oui ( couturier, mécanicien, informaticien…), mais maintenant, nous vivons de la musique.

– Comment avez-vous appris la musique ?

– Enfant, au Bénin, on apprend à chanter et à jouer dans les églises.

– Pourquoi avez-vous créé votre groupe ?

– Parce qu’il y a beaucoup de fanfares au Bénin, environ 600 ! Le groupe existe officiellement depuis 1998.

– Depuis quand vous connaissez-vous ?

– Depuis tout petit !

– Y-a-t-il des liens de parenté entre vous ?

– Oui, il y a 2 frères et des cousins.

– Avez-vous des enfants ?

– Oui, environ 3 chacun. Donc, on ne les voit pas souvent !

– Quel âge avez-vous ?

– Le plus âgé a 40 ans et le plus jeune 27.

– Pourquoi n’y-a-t-il pas de fille dans votre groupe ?

– Avant, il y en avait une. Mais elle ne respectait pas les règles ( elle fumait, buvait et sortait beaucoup), alors, elle est partie.

– Les femmes n’ont pas les mêmes droits que les hommes au Bénin ?

– Si, sauf peut-être fumer car c’est très mal vu si une femme fume chez nous !

– Quand êtes-vous venus en France pour la 1ère fois ?

– C’était en 2005 pour faire des festivals.

– Voyagez-vous souvent ?

– Oui, en Europe et en Afrique.

– Combien y-a-t-il d’heures de voyage en avion entre le Bénin et la France ?

– Il y a 6 heures en vol direct et de 9 à 12 heures avec escale.

– Quel est votre pays préféré à part le bénin ?

– C’est la France, mais pas dans les grandes villes où on ressent du racisme. On aime aussi beaucoup l’Allemagne où l’accueil est chaleureux !

– L’école est-elle obligatoire au Bénin ?

– Oui, à partir de 2 ans. Mais on peut être jusqu’à 100 dans une classe ! Nos écoles ressemblent aux vôtres mais sans fenêtres. L’uniforme y est obligatoire.

– Quels moyens de transport avez-vous ?

– Il n’y a des bus que dans la capitale, à Cotonou. Mais nous n’avons pas de bus pour les écoliers.

– Comment sont les maisons au Bénin ?

– En ville, comme les vôtres, mais dans le pays somba, au nord, elles sont traditionnelles : Elles ont 3 étages et sont très petites. Elles sont en paille et en terre battue. Le toit est plat, on peut y faire sécher des céréales.Il n’y a pas d’escalier mais des échelles. Le grand-père dort en bas avec les animaux, au 1er étage ce sont les parents et au 3ème les enfants, garçons et filles séparés. La cuisine et la salle de bain sont dehors.

On reconnait les sombas aux scarifications qu’ils ont.

– Avez-vous des animaux de compagnie ?

– Oui, des chiens mais qu’on utilise que pour garder la maison et qui ne rentrent pas à l’intérieur.

– Avant votre arrivée, nous avons fait des recherches sur le Bénin, et nous avons vu que c’était le berceau du vaudou, qu’est-ce que c’est ?

– Effectivement, c’est une tradition née là-bas. Et contrairement à ce qu’on croit, ce n’est pas méchant. Par exemple, les footballeurs français sont venus au Bénin en 1998 et ils ont fait le vœu de gagner la coupe du monde. L’un des rois béninois les a bénis et ils ont gagné ! Mais comme ils n’ont pas dit merci après, ils ne gagneront plus jamais !

La classe de CM2

La création de notre clip vidéo

 

C’est en entendant la chanson faite par les cm2 de l’an dernier “Vers de nouveaux horizons” que le papa d’une élève, Florent Mounier, a eu l’idée de produire un clip vidéo cette année avec les cm2.

 

Étape 1

Voilà pourquoi, vendredi 3 Février, on est allé à 2d 3D où monsieur Mounier nous a expliqué l’histoire du dessin animé. Nous avons appris plein de choses.

Nous sommes allés au studio 2d 3d (dans la rue de notre école) qui fabrique des dessins animés. Là-bas, nous sommes descendus dans la petite salle de projection pour regarder des extraits de film ainsi que des petits documentaires sur les premiers réalisateurs de dessins animés comme Emil Cohl ( 1857 _ 1938), le créateur du “Cauchemar de Fantoche” .

Monsieur Mounier, qui est lui-même réalisateur, nous a expliqué comment nous allons procéder. Nous avons parlé de ce que nous allons faire pour le clip : avec le texte de la chanson, nous allons pouvoir faire des petites animations en papier découpé, fabriquer des décors pour le thème et faire des costumes. Ensuite, nous ferons le tournage avec Philippe Lhomme et avec quelques élèves du Lisa et peut-être qu’il y aura aussi certains élèves qui étaient là en cm2 et qui ont inventé la chanson.

Manon, Séphora et Kinz

Nous avons vu un vieux film fait avec des épingles dont le réalisateur s’appelle Alexeieff (il est né en 1901 et mort en 1982)  : pour faire le film, le réalisateur créait un tableau qui représentait un paysage. Puis, il le prenait en photo et ensuite il bougeait les épingles qui faisaient une sorte d’ombre sur le paysage. Et il reprenait une photo. Pour faire le film, on rassemblait toutes les photos dans l’ordre et on les projetait très vite.

Nous avons aussi vu un film fait en papier déchiré noir : le film s’appelle “prince et princesse”, il a été créé par Michel Ocelot qui a aussi créé “Kirikou”. Ce film parle d’un prince et d’une princesse qui sont dehors. Et le prince demande à la princesse un seul baiser, la princesse dit “oui”, alors ils s’embrassent. Mais dès qu’ils se sont embrassés, le prince devient un crapaud alors il lui demande un autre baiser en espérant reprendre sa forme initiale , mais quand la princesse l’embrasse, elle  se transforme en animal ! Puis ils ne font que s’embrasser jusqu’à ce que le prince redevienne princesse et l’inverse ! Ce film était cool !

Nasser

Étape 2

Nous avons cherché et écrit sur une affiche tout ce qu’on va dessiner pour après découper nos dessins puis les monter.

On les a classés par personnages ( hérisson, fourmis très musclées…), décors (Angoulême, le fleuve Charente, la forêt équatoriale…) et les objets ( la coque et le mât, les fruits…).

Vendredi 17 Février, M. Mounier est venu dans la classe pour nous expliquer comment construire notre story-board (le scénario) : il faudra 5 séquences correspondant à nos 5 couplets, et dedans il faudra réfléchir aux choses les plus convaincantes à filmer.

Lorenzo

Étape 3

Jeudi 23 Février, nous avons fait des groupes puis on a fait des dessins : il y avait le groupe animaux, décors, objets. On pouvait dessiner dans les 3 groupes. Nous nous sommes bien amusés.

Après monsieur Mounier a photocopié nos dessins pour qu’on les colorie en gardant les originaux…

Nolwen , Elise

Étape 4

En Mars, nous avons utilisé de l’encre, de la peinture, des feutres, des crayons de couleur, des craies grasses, de l’aquarelle et des crayons aquarellables pour embellir nos dessins.

“Le plus précis était le crayon de couleur et le feutre” Elise

“Moi j’ai aimé l’encre sauf que ce n’est pas facile car des fois, ça débordait !” Nolwen


Étape 5

Jeudi 12 Avril, M.Mounier est venu avec son stagiaire Simon. Par deux, nous avons pris des photos de certains animaux que nous avons faits bouger sur un paysage. Certains ont pu voir tout de suite le petit court métrage qu’ils venaient de faire.


Étape 6

Nous sommes allés à 2d 3D pour voir les dessins animés que nous avons faits le 12 avril. Ensuite, nous avons vu une partie de clip : Simon nous a expliqué comment il avait découpé, fait bouger nos animaux sur le décor de la cathédrale, de la forêt…

Philippe Lhomme est venu nous rejoindre pour voir ce que nous avions fait et il a trouvé ça plutôt créatif et coloré !

Ça a plu à l’ensemble de la classe.

Arthur et Nathan

Étape 7

Jeudi 10 Mai, nous avons créé des peintures concernant les paysages de notre chanson : fond marin, la forêt amazonienne, une île sur laquelle  il y a un trésor, la forêt charentaise où les animaux construisent le bateau en bois. Les 3 responsables d’art plastique Jason, Arthur, Kevin ont fait l’art du scotchage et ils nous les ont montrés.

Nous avons fait ces décors pour qu’on nous filme avec le mardi 15 Mai.

Emma-Louise et  Mathilde

Étape 8

Mardi 15 Mai quelques anciens et anciennes cm2 qui avaient créés la chanson, sont venus pour  tourner le clip avec nous.

Les élèves du L.I.S.A nous ont filmés. Philippe Lhomme est revenu pour nous encourager, il chantait en play back, il faisait l’andouille pour nous faire rigoler.

Nous avions mis les décors faits à l’étape 7 en fond et nous nous étions déguisés ou nous avions des accessoires.

Nous avons vraiment chanté, avec la bande son et avec les paroles du refrain affichées, tout en dansant et sautant partout.

Maintenant, il reste le montage à faire : c’est le C.D.D.P. qui s’en occupe.

“C’était classe, amusant ! On est impatient de voir le clip en entier. Vous pourrez le voir en Décembre prochain, au Chantécole où il sera diffusé sur l’écran géant à l’espace Franquin.”

Mathilde, Nathan, Séphora


La musique ancienne

La musique ancienne

Quand Madame Bourdin est venue nous rencontrer à l’école mardi 24 mai, elle nous a présenté son violon et la musique ancienne.

Elle nous a montré un livre qui contenait des images d’instruments du Moyen-Âge et de l’époque baroque : la viole à bras, la viole de gambe, la flûte à bec et le clavecin.

Elle nous a chanté une chanson en occitan qui parlait du printemps et de l’amour. Dans cette chanson, les garçons font les beaux pour attirer les filles.

A la fin, elle nous a appris une danse. On faisait une ronde tous ensemble. On faisait des pas chassés et on balançait les bras. On faisait le moulin avec les bras comme parfois dans les mariages et on changeait de sens quand la musique changeait. C’était une musique du Moyen Age du temps des chevaliers.

Mardi 31 mai, nous sommes allés au Conservatoire Gabriel Fauré.

Deux professeurs sont venues en costume de dame noble nous présenter la musique ancienne. Elles s’appelaient Florence et Catherine. Florence portait une coiffe de la région où elle est née, la Haute Savoie.

Sur l’écran, Florence nous a montré des clavecins de pays différents : l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne, la France, et la Hollande. Ils étaient dorés comme leurs robes ou peints.

On a vu de drôles de clavecins : un clavecin vertical, le virginal, et un clavecin dont les pieds étaient des statues.

Florence nous a posé une question : Est-ce que, à l’intérieur du clavecin, c’est vide ou c’est plein ? Devinez la réponse !

Catherine a présenté les flûtes : la flûte basse, la flûte soprano, la flûte piccolo, la flûte alto, la flûte ténor.

Sur la flûte basse, même les adultes n’ont pas les doigts assez grands pour boucher les trous, alors il y a des clés. On appuie dessus et ça bouche les trous.

La flûte picolo a le son le plus aigu. Plus la flûte est petite, plus le son est aigu. La plus grande est la flûte basse.

Elles ont joué des morceaux avec leurs instruments.

Vers la fin, elles nous ont appris une chanson, la chanson du petit bossu.

D’où viens-tu, viens-tu, petit bonhomme

D’où viens-tu, viens-tu, petit bossu ? (bis)

Je viens de la noce,

De remplir ma bosse,

J’ai tant bu et tant mangé

Ma bosse est percée ! (bis)

Le clavecin

La flûte à bec

La flûte à bec est un instrument à vent de la famille des bois. Son embouchure est un bec percé d’un étroit canal qui fonctionne à la manière d’un sifflet. Il existe des flûtes piccolo, soprano, alto, ténor et basse.

Elles sont construites en bois (buis, érable, palissandre, ébène, poirier, …).

On peut commencer la flûte à bec dès 7– 8 ans. L’élève débute par la flûte soprano – qui est de petite taille –, bien adaptée aux mains des jeunes enfants.

Apprendre à jouer de la flûte dure une dizaine d’années si on en joue tous les jours.

Cet instrument est facile à apprendre au début.

La classe de CE1