A la pêche aux indices…, par maitresse Carole.

Après avoir mené ton enquête orthographique, découvre l’identité des personnages de cette histoire.
Justifie tes réponses en indiquant à chaque fois la preuve orthographique.

Je suis journaliste et je viens de travailler plus de deux mois en Australie, au Daily-News, un journal de Melbourne. Demain matin, je rentre à Paris. Pour me remercier des nombreux reportages que j’ai écrits sur la France, la rédactrice en chef a organisé une petite réception en mon honneur, chez elle. Je ne peux pas arriver les mains vides. Je suis hésitante parce que je ne sais pas ce qui lui ferait plaisir. J’hésite un bon moment. Finalement, je me décide pour des fleurs. Mais voilà, que choisir ? Les roses sont splendides, mais les œillets dégagent un parfum subtil.
Finalement, je me décide :
– Ces fleurs-ci, dis-je en les désignant du doigt.
On me les emballe dans un papier transparent, en ajoutant un joli ruban.
– Voilà, je vous les ai préparés.
Je tends un billet de cent dollars.
– Je suis désolée, je n’ai pas de monnaie. Est-ce que cela vous dérangerait de payer avec votre carte ?
– Absolument pas.

L’auteur de ce texte est : un homme / une femme. Mot preuve : ………………………

L’auteur de ce texte a acheté : des oeillets / des roses. Mot preuve : …………………

La boutique est tenue par : un fleuriste / une fleuriste. Mot preuve : …………………….

Art brut version Dubuffet

Jean Dubuffet n’aimait pas les musées, ni les artistes professionnels. Il disait de lui qu’il était un “peintre du dimanche, pour qui tous les jours étaient des dimanches.” Car pour lui, un véritable artiste, c’est quelqu’un qui crée de manière totalement spontanée, sans imiter aucun style, sans chercher à plaire ou à ressembler à un autre artiste. Il voulait peindre comme le font les enfants lorsqu’ils veulent s’amuser, et qu’ils n’ont pas appris à peindre “pour de vrai”. L’art, chez Dubuffet, ce n’est pas du sérieux. Même si ce monsieur était très sérieux dans sa vie. D’ailleurs, au cours de cette vie, il ne s’est pas consacré qu’à son travail d’artiste. Pendant de longues années, il a arrêté de peindre pour faire du commerce de vin. Il a également collectionné un grand nombre d’oeuvres réalisées par des artistes inconnus : des gens qui bien souvent avaient d’autres métiers (paysans, cuisiniers, balayeurs…), ou bien qui étaient des malades mentaux. Pour Jean Dubuffet, ces gens faisaient de l’art sans le savoir. Et il appela cela de “l’art brut”.

Pourquoi y a-t-il eu la première guerre mondiale?

Cette vidéo revient sur l’événement qui a déclenché la Première Guerre mondiale, en 1914 : l’assassinat du neveu de l’empereur autrichien. À l’époque, en Europe, les pays ne s’entendent pas les uns avec les autres… Très vite, le conflit s’envenime, la Russie, puis l’Allemagne et la France s’en mêlent et le conflit devient alors mondial…

https://www.1jour1actu.com/info-animee/pourquoi-y-a-t-il-eu-la-premiere-guerre-mondiale/

Du pluriel vers le singulier, par maitresse Carole.

Réécris le texte en remplaçant « les oies » par « le canard ».

Les oies domestiques devenaient de plus en plus inquiètes. Elles étaient presque décidées à suivre leurs sœurs sauvages. Une vieille leur disait que ces folles auraient bientôt faim et froid.

D’après « Le merveilleux voyage de Nils Holgerson à travers la Suède » de S. Lagerlöf

A quoi ça sert de se souvenir de la première guerre mondiale?

Des élèves de CM2 ont réfléchi à cette question, à l’occasion des hommages qui ont eu lieu, toute la semaine, pour les 100 ans de la fin de la Première Guerre mondiale. Découvre leurs idées qui ont alimenté le scénario de la vidéo d’1jour1question ci-dessous.

Kesquecé ?, par maitresse Carole

Ce texte a été écrit par quelqu’un qui ne connaît pas notre orthographe et qui ne sait pas couper les mots. Essaie de le réécrire correctement.

Ile est taie hu ne foi hein oh mejean tiki et poux za une phame laplu lait deux haie la plufi air ki s’oy. Aile hait mais colle ai queue si haut nait léza raie nier ko meuh le fond lait sort scie air.

C’est quoi, le cyberharcèlement?

Être harcelé, c’est quand on est régulièrement insulté, menacé ou battu par un ou plusieurs autres élèves. On parle de cyberharcèlement quand ces violences se poursuivent sur Internet, sur les réseaux sociaux ou par textos. Aujourd’hui, à l’occasion de la journée de lutte contre le harcèlement scolaire, le 8 novembre, 1jour1actu t’aide à comprendre ce sujet difficile.

https://www.1jour1actu.com/info-animee/cest-quoi-le-cyberharcelement/