Le vendredi 27 mars nous sommes allés visiter le centre de tri de Valoparc qui trie les poubelles noires .

Les poubelles sont mises dans un bioréacteur pendant 4 jours à 70 degrés.

Le bioréacteur est un gros cylindre qui tourne, qui est légèrement incliné et qui mesure 40 mètres.

bioréacteur

Les déchets vont ensuite dans un tri granulométrique qui partage les déchets en deux parties.Les déchets supérieurs à 3 cm et les déchets inférieurs à 3 cm.

Puis les déchets passent dans un tri magnétique. Les déchets sont alors séparés dans deux compartiments : les objets ferreux et les objets non ferreux.

Les déchets passent ensuite dans un tribalestique . Les objets les plus lourds rebondissent sur un tapis et finissent dans un compartiment alors que les objets  organiques eux se collent au tapis et finissent dans un autre compartiment.

Après  neuf semaines, les déchets organiques feront du compost qui sera vendu à des particuliers.

Tout ce qui n’a pas été trié, c’est à dire 50% de la poubelle finit dans un trou. Le trou est protégé par un plastique.Les déchets restent dans ce trou pendant plusieurs siècle.

Les déchets forment un jus de poubelle qui est récupéré puis traité et enfin rejeté en eau pure dans la rivière.

Les déchets produisent aussi du gaz. Celui – ci est transformé en électricité et celle -ci aliment 500 maisons.

Remarque : une pile pollue la terre sur un volume de 1 mètre cube pendant une durée de 50 ans

Moislain est un petit village dans le Pas de Calais où il y a eu des combats durant  la première guerre mondiale. Beaucoup de charentais y sont morts. Pour symboliser la mort de ces 600 soldats, la Communauté Charentaise a décidé de construire une grosse tombe pour faire reposer les corps de ces hommes morts pour la France.

A Péronne, un village près de Moislain, en 1917, il y a eu d’importants dégâts sur la grande place : les maisons ont été démolies par les fusillades et les coups de canons.

Et enfin, Transloy a été rayé de la carte. Les murs de l’église ont été détruits par les coups de feux, de canons et les obus.

A Bapaume, en 1918, La rue d’Arras était très déserte et beaucoup de maisons étaient abîmées. L’hôtel de ville a été traitreusement miné par les allemands lors de leur recul. Deux députés M.Taillandier et M.Briquet y ont trouvé la mort ainsi qu’un officier anglais. Le monument au mort de la commune est très gracieux pour une époque pauvre.

A l’exposition texto, il y avait de nombreuses oeuvres d’art. Quand nous sommes entrés, nous avons tout de suite remarqué un grand X de 2m50 de haut! Peut-être que son créateur a fait ce X car c’était sa lettre préférée!…

Nous avons vu aussi des tableaux avec des formes bizarres, on aurait dit que c’était de l’écriture alienne! Nous nous sommes demandés ce que cela signifiait, c’est intriguant, et regarder cela nous pousse à chercher.

Nous avons pu admirer encore des images qui mélangeaient le temps d’autrefois et le temps d’aujourd’hui. Elles étaient amusantes.

Nous avons vu un travail merveilleux et des tags. On aurait dit que c’était une grande planche découpée, où il y avait un grand mot et que les lettres avaient changé de place en faisant un autre mot. Les lettres ont été prises par l’artiste sur une palissade à Paris; il les a découpées et a reconstitué un mot: Sainte Radegonde, une église de Poitiers qu’il aime bien.

Il y avait une petite feuille avec des petites fleurs. Il était écrit” good abstract art”. C’était plutôt mignon.

Il y avait un tableau avec des mots comme « vive les pioux pioux », « vive les arabes », « vive moi ». Ce sont des mots que l’artiste a recopiés dans la ville et qu’il a mis ensemble.

C’était intéressant et original.

On a appris que les tuileries rejetaient les tuiles abîmées, qu’elles gagnaient beaucoup d’argent grâce à l’exportation de tuiles en France et  en Europe.

On a aussi appris que les directeurs avaient de grosses maisons de toutes les couleurs pour désigner leur richesse,

puis il y avait les contre-maîtres qui servaient à accélérer les manoeuvres et à donner le travail, ils avaient de très belles maisons mais moins gracieuses que celles des directeurs.

Il y avait enfin les ouvriers qui avaient de toutes petites maisons sans toilette avec un jardin juste en face, près de la route.

Parfois, c’étaient des maisons à deux étages, pour les familles.

On a vu que les ouvriers utilisaient les tuiles rejetées pour faire des murets ou des murs et plein d’autres choses.

Ces tuiles abîmées servaient aussi aux agriculteurs pour faire des granges ou des murs dans la ferme.

Il y avait des éléments de décoration pour les toitures:

La gare était très proche des tuileries pour améliorer la vitesse de chargement (des tuiles) et de déchargement (du charbon). Le charbon servait à chauffer les fours.

Pour aller à l’exposition ,nous sommes venus en bus. Puis, nous avons marché jusqu’au musée. L’animatrice nous a accueilli, puis le maître a commencé à nous expliquer les oeuvres et nous avons travaillé directement dans la salle.

Nous avons travaillé sur les illustrations originales du vilain petit canard.

Il y avait beaucoup d’illustrations d’album. Elles étaient très différentes, il y avait plein de styles différents: « un dragon dans une baignoire », « un loup qui faisait un piège à une chèvre », « un canard »….

Nous avons pu voir comment les auteurs passent d’une esquisse à l’illustration définitive.

Les oeuvres étaient variées; par exemple, un livre avec des pages, un livre numérique ou un livre de théâtre japonais, ou bien encore des marionnettes….

L’animatrice nous a proposé une activité autour d’une phrase, par exemple: «  Lola prit sa plus belle robe pour aller danser » nous devions l’illustrer puis inverser le sens, par exemple «  Lola prit sa robe la plus laide pour aller danser »

Un lundi matin, nous sommes allés au collège, pour faire un défit-math avec les 6ème. Nous avons fait des exercices assez difficiles pendant deux heures. Nous avons rencontré: Mme Moreau (professeur de mathématiques) ,Mme Jallageas (professeur d’anglais) que nous connaissions déjà, car elle etait venue faire une leçon d’anglais à l’école,  et le principal.

Le lundi d’après, on a reçu nos résultats, les premiers ont été Lisa et Coralie qui ont gagné un jeu de dames chinoises chacune, et les deuxièmes ont été Laura et Candice, deux sixièmes, qui ont gagné un jeu de sept familles sur la révolution française. Tout le monde a eu un stylo pour avoir participé.

Lucyle, Enzo, Jordan et Alexis

Nous sommes allés à Roumazière observer des tableaux.

Il y en avait deux qui étaient faits avec du scotch: d’abord du large scotch gris pour le fond puis des petits carrés noirs. C’était des messages mais des messages imaginaires que seul l’artiste peut lire.

Un artiste a pris des planches de palissade avec des lettres. Il a mélangé les planches donc il a mélangé les lettres et a ainsi fait un nouveau mot: “Ste Radegonde” (c’est une église que l’artiste aime).

Les petits tableaux étaient des tableaux imaginaires car c’était impossible qu’au temps des chevaliers il y avait des guitares électriques, des enceintes ou des lecteurs MP3.

Nous avons regardé aussi une photo d’un homme. Nous n’avons pas aimé car on ne voyait pas son visage à cause de ses cheveux longs, il n’y avait rien autour de lui. C’était triste.

Cette exposition nous a plu: les tableaux étaient tous différents.

Après avoir regardé l’exposition d’Art Contemporain, nous avons visité le musée d’argile où un potier travaillait.

Il nous a montré des objets puis nous avons réalisé 2 vases.

C’est aussi de l’Art