débat autour des attentats du 13 novembre

débat fait en classe de CM1-CM2 le lundi 16 novembre.

– Ils tuent des gens très bien. Ca ne sert à rien.
– Ce sont des terroristes, comme à Charlie-hebdo. Ils ne sont pas d’accord avec nous par rapport à leur dieu.
– Ils font des représailles et tuent des gens au hasard.
– Les islamistes sont en France car la France a attaqué la Syrie. Ils se vengent. La France a répondu avec ses avions, nous aussi on veut se venger.
– On ne va plus pouvoir sortir de chez nous.
– Ils nous tuent et se tuent en même temps.
– Ils sont jaloux de nous. Nous avons une belle vie, mais pas eux. Ils sont tristes pour eux.
– Ils tuent aussi bien eux que des gens de chez eux.
– Fermer les frontières, il fallait le faire avant.
– C’est injuste.
– Ils croient à leur dieu, c’est pour cela qu’ils se font exploser et qu’ils tuent.
– Leur but c’est de tuer le plus de personnes. Ils croient à la deuxième vie. Leur vie: tuer le plus de monde pour nous faire peur, nous effrayer.
– Il y a déjà 128 morts.
– S’ils tuent des gens, ils recevront beaucoup d’honneurs, ils ont envie de tuer.
Ils ont déjà tué des gens en Syrie.
– Il ne faut pas montrer que l’on a peur. Il faut montrer qu’ils sont bêtes et qu’on n’est pas comme cela. Il ne faut pas montrer sa peur. A Paris, des gens sont allés au parc et au travail.
– Ils tuent des gens qui n’ont rien fait, amis, familles. Beaucoup de blessés, je crois.
– Ils croient à leur dieu, ils veulent une deuxième vie plus propre.
– S’ils meurent, ils mouront en héros.
– Ils sont dirigés par daesh.
– Dès qu’ils ont tué plein de gens, ils se font exploser pour ne pas se faire prendre. Il faut que la France montre qu’on est plus fort qu’eux et que la Syrie est plus faible.
– Même en Syrie, il y a des gens honnêtes.
– On ne sait jamais s’ils vont venir là ou ailleurs. Ici, on est dans une toute petite ville.
– Je pense qu’ils visent les villes plus grandes. C’est plus facile.
– On ferme les frontières mais les terroristes sont déjà rentrés.
– On est tous tristes, pour les proches et pour les familles. Ceux qui n’en ont pas sont tristes quand même.
– Quand on a quelqu’un qui habite là-bas, à Paris, on a peur.
– Il y a un endroit là-bas, qui s’est fait attaqué, ma tata y allait souvent le vendredi soir.
J’ai un cousin qui doit aller à Paris, j’ai peur pour lui.
– On n’a pas envie de mourir.
– J’ai peur car la prochaine fois; cela peut être dans une école.
– Les terroristes veulent faire paniquer tout le monde.
– Je suis triste pour toutes ces personnes qui sont mortes et pour leurs familles.
– Je suis triste mais je ne savais pas où était la fusillade et j’avais des connaissances à Paris.
– Des gens ont aidé les gens à attaquer.

quelques mots d’élèves à propos des attentats du 13 novembre

Je pense que tout le monde est triste, même si on n’a pas de proche à Paris, car son ami peut être blessé. On est triste car il y a eu 128 morts et 352 blessés. Et les gens autour de vous étaient tristes, et je vous demande de vous battre pour tout le monde. Il y en a qui pleurent pour leur famille; pour leurs proches et même pour les gens qu’ils ne connaissent pas. Killian.

C’est triste car il y a un peu de ma famille là-bas, et on ne peut pas savoir s’ils sont morts ou blessés, ou gravement blessés, s’ils sont sains et sauf donc on s’inquiète beaucoup. Jean-Cristophe .

Il ne faut pas tuer des gens parce que ce n’est pas bien et on est triste. Mon papi a dit qu’il y a un peu partout et il faut faire attention. Erwan.

Je n’aime pas les terroristes. Il faudrait faire la paix dans tous les pays. Il ne faut pas tuer des gens. Robin.

Ca fait peur, car un an avant ma tata aurait était tuée. Une autre tante était deux jours avant l’attentat, à Paris, elle a bien fait de revenir. Lou.

Tout cela me fait de la peine car moi aussi j’avais un proche là-bas. Je n’ai pas de nouvelles pour les autres. J’aimerais que cela s’arrête… tout ça à cause d’une guerre. Ils ne veulent pas que nous nous en mêlions. Ca peut nous mener à la troisième guerre mondiale. Le président a dit de nous protéger et j’ignore pourquoi, car ils nous mènent à la guerre. Maé.

Même s’il n’y a personne que je connais, qui est là-bas, ça me fait de la peine pour eux, c’est triste. Les kamikazes peuvent attaquer tout le temps, jour et nuit, 24h sur 24h. Simon.

La tristesse. La peur. Je pleure. Des personnes qui tremblent pour leur famille. Qui pleure de joie ou de tristesse. Axel.

Je ressens de la tristesse, car il y a 128 morts et 352 blessés. Un terroriste n’est pas mort. Il peut partir dans son pays ou chercher un autre terroriste pour revenir en France pour tuer d’autres gens. Les terroristes doivent partir en prison. Belle.

Je fais hommage à ceux qui ont vécu ça, ceux qui sont morts et ceux qui ont été blessés . Ca me fait de la peine. Tout ce que j’espère, c’est que du bonheur. J’espère que mon papa ne va pas mourir. Zia.

Je suis Paris. Manon R.

Je ressens beaucoup de haine. Ce sont des personnages sans coeur qui ne pensent qu’à tuer des innocents. Il y a 128 morts et 352 blessés dont 80 gravement. Il reste encore beaucoup de morts qui n’ont pas été retrouvés . Nous devons être solides et montrer que nous sommes là. Aurélien.

Avant ,nous avions réussi à faire régner la paix, mais malheureusement la paix  s’est arrêtée il y a quelques années de cela. Les combats ne servent à rien car s’ils n’existaient pas ce serait la paix. Mais ils existent et c’est alors le chaos, car il y a des centaines de morts. Il y en a qui perdent leurs proches alors que l’on pourrait vivre en paix, et tout le monde préférerait la paix, car ils ne perdraient pas leurs proches dans les batailles. Enzo.

Je pense que ce n’est pas bien de tuer. Quand on apprend que des proches sont morts, on est triste, on se sent mal. C’est très douloureux. On souffre. On a mal au coeur. Pourquoi les gens font ça, je ne comprends pas. Ils tuent des innocents, des gens qui n’ont rien fait, que ce soient des inconnus, des amis, même des proches. Antione.

Moi, j’imagine juste 50 islamistes devant un tiers de ma famille dont mes petits cousins, mes grandes cousines, mon tonton, ma tata, en train de se faire fusiller! Nicolas.

Les terroristes sont des gens méchants. Je pense qu’ils n’ont aucun sentiment  pour les gens qu’ils ont tués Ce sont des gens qui sont nés pour tuer. A Paris, quand ils ont fait l’attentat, ils ont gâché  la vie de plein de personnes. Je pense que nous sommes tous blessés en pensant à ces pauvres  gens qui n’ont rien demandé. Lisa.

Je suis  triste pour mes proches, car il y en a qui habitent à Paris. Depuis, je n’ai plus de nouvelles de mes proches.

Je pense à tous mes proches, à mes cousins. Les joueurs de foot se sont demandés ce qui se passait… et avec charlie hebdo, c’est terrible!… Manon.L.

Moi, je pense qu’il faut retrouver les coupables et ne même pas les mettre en prison. Il faut les pendre au bout d’une corde. Florent.

J’avais un frère à ma mère qui était là-bas. Il est mort peut-être, je suis très triste. je trouve que ceux qui on fait ça sont vraiment méchants. Ils n’ont pas à faire ça. Pourquoi les terroristes existent.  Améline.

Je pense à toutes ces pauvres personnes mortes qui n’ont rien fait. Pourquoi on les laisse passer les frontières. Ils viennent nous attaquer car on leur fait la guerre dans leur pays. J’ai peur que ça déclenche la troisième guerre mondiale. Merci aux soldats qui font la guerre pour nous sauver. VIVE LA FRANCE.

J’ai eu peur pour ma maraine qui était à Paris, mais ça va, elle n’a rien. Je trouve que ces gens sont barbares et n’ont aucune pitié. Je les déteste, ils sont horribles et monstrueux. Ce sont de vrais monstres. Ils croient qu’ils ont tous les droits, qu’il ne faut pas faire ceci, qu’il ne faut pas faire cela. Ce n’est pas bien. La France court un grave danger à cause d’eux. Sacha.

J’ai peur car j’ai des amis là-bas, et même si je sais qu’ils n’habitent pas là où ce sont passées les fusillades, il aurait pu y être, au bataclan ou sur une terrasse. J’ai peur de ne pas les revoir, peur pour toutes les familles qui ont perdu des proches. PARIS DE TOUT MON COEUR. PARIS EN LARMES.

attentats à Paris: cérémonie devant la mairie le lundi 16 novembre

Voici les textes lus lors de la cérémonie qui a eu lieu devant la mairie et le monument aux morts le lundi 16 novembre.

Je pense que ce n’est pas bien de tuer. Quand on apprend  que des proches sont morts, on est triste, on se sent mal. C’est très douloureux . On souffre, on a mal au coeur. Pourquoi les gens font ça, je ne les comprends pas, ils tuent des innocents, des gens qui n’ont rien fait, que ce soient des inconnus, des amis ou même des proches. Antione.

Je ressens beaucoup de haine,  ce sont des personnages sans coeur qui ne pensent  qu’à tuer des innocents. Il y a eu 128 morts et 352 blessés dont 80 graves et ça ne cesse d’augmenter. Nous devons être solides et montrer que nous sommes là. Aurélien.

Les terroristes sont des gens méchants. Je pense qu’ils n’ont aucun sentiment pour les gens qu’ils ont tués. Ce sont des gens qui sont nés pour tuer. A Paris, quand ils ont fait l’attentat, ils ont gâché la vie de plein de personnes. Nous sommes tous, je pense, blessés en pensant à ces pauvres gens qui n’ont rien demandé. Lisa.

Avant, nous avions réussi à faire signer la paix, mais malheureusement, la paix s’est arrêtée il y a quelques années de cela. Les combats ne servent à rien car s’ils n’existaient pas, ce serait la paix. Mais ils existent et c’est alors le chaos, car il y a des centaines de morts. Il y en a qui perdent leurs proches alors que l’on pourrait vivre en paix, et tout le monde préférerait la paix, car ils ne perdraient pas leurs proches dans des batailles. Enzo.

 

Il y a cinq jours, lors des cérémonies du 11 novembre, les enfants des écoles lisaient ici même, trois textes issus de débats philosophiques pour enfants.

Le premier commençait par “les français qui ont moins de 60 ans n’ont pas connu la guerre dans leur pays”…. Pourront-ils lire cela l’année prochaine?

Le deuxième poursuivait: “En se souvenant des camps, des génocides… de tous les crimes contre l’humanité, on se souvient de quoi les hommes et les femmes sont capables”. Le pire de ce dont les hommes et les femmes sont capables vient de se produire vendredi soir et nous sommes là aujourd’hui, pour manifester notre solidarité, notre humanité et notre indignation.

La conclusion du troisième texte affirmait: “Les hommes qui veulent la paix sont plus nombreux que ceux qui veulent la guerre. Mais ce la ne suffit pas”….. “Il faut aussi comprendre que le bon jour pour construire la paix, c’est toujours aujourd’hui”.

Souhaitons que nos dirigeants et ceux de tous les pays amis seront trouver et prendre les mesures appropriées pour que, dans l’avenir cette paix puisse à nouveau revenir en France et dans tous les pays touchés par le terrorisme.L’équipe enseignante.

l’abattage des cèdres

Pour des raisons de sécurité, des hommes ont abattu les deux cèdres devant l’école car ils faisaient  trop d’épines qui bouchaient les dalles, ce qui faisait déborder l’eau et donc faisait s’écrouler le plafond du préau.

La deuxième raison : des branches sont tombées et d’autres menaçaient de tomber sur la population.

Florent

 

 

le voleur de tableaux, chapitre 9

Chapitre 9
Le coupable découvert

Le lendemain, l’agent 007 donne rendez-vous à M.Lafortune, sorti de l’hopital, Mme.Labelle, M.Padpobanane, M.Lagrange et le patron:

« Je vous ai demandé de venir ici car j’ai découvert le coupable! dit l’agent 007. Ca ne peut pas être M.Lafortune car il ne s’est pas blessé tout seul! Ce n’est pas non plus Mme.Labelle car elle ne peut pas courir avec des chaussures à talons. Ca ne peut être que le patron!
Oh non! dit M.Lafortune .
Il a fait ça car il est jaloux de son cousin qui gagne mieux sa vie! Il sait que si son cousin décède, il aura tout l’argent. Voilà pourquoi il a voulu le tuer. Je suis désolé, mais la prison vous ouvre ses portes. »

Au commisariat, les policiers ont élu l’agent 007 patron du service.

FIN
Baptiste et Tom

le voleur de tableaux, chapitre 8

Chapitre 8

La visite à l’hopital

Deux jours plus tard, l’agent 007 rend visite à M.Lafortune à l’hopital. Toc toc toc :

« Entrez .dit M.Lafortune.
Bonjour, c’est moi! dit l’agent 007.
Ah, c’est vous ! Je suis content de vous voir. Oui, le médecin m’a dit que je pourrais sortir demain.
Je vous souhaite un bon rétablissement. Je dois y aller. Au revoir . »

le voleur de tableaux, chapitre 7

Chapitre 7
La course poursuite

L’agent 007 s’élance à la poursuite du tireur. Il court aussi vite qu’il le peut, mais la voiture prend de l’avance. L’agent 007 décide de tirer dans un pneu avec son révolver pour que la voiture dérape.
Mais le vandale saute de la voiture; ils continuent à courir à pied. Le fugitif passe par une bouche d’égout, l’agent 007 n’abandonne pas malgré sa phobie des mauvaises odeurs. Il glisse et tombe; le tireur a le temps de partir et sort par une autre bouche. L’agent 007 remonte mais le vandale est déjà parti. Il rejoint M.Lafortune, l’ambulance est déjà arrivée pour l’examiner.

le voleur de tableaux, chapitre 6

Chapitre 6
La voiture blindée

L’agent 007 et M.Lafortune vont dans une petite rue, à l’abri des regards:

« Que faisiez-vous mardi vers 23h30? dit l’agent 007.
J’étais dans l’avion de retour, car j’avais un voyage d’affaires! Je suis revenu vers 1 heure du matin.
Aimez-vous l’art, et plus spécialement les tableaux?
Oui, mais je n’ai plus le temps de me consacrer à cette passion. »

Soudain, une voiture noire, blindée, aux vitres grisâtres, une magnifique voiture de marque Bercedes, s’arrêta au bout de la ruelle: un tir de révolver blessa M.Lafortune au bras droit.

le voleur de tableaux, chapitre 5

Chapitre 5
M.Lafortune

Le lendemain matin, l’agent 007 se dépêche et va directement au domicile de M.Lafortune. Au rez-de-chaussée de l’immeuble du milliardaire, il croise une personne assez forte, aux chaussures de cuir:

« Connaissez-vous M.Lafortune? dit l’agent 007.
Oui, je suis M.Lafortune.
J’imagine que vous avez entendu parler de l’agression qui s’est passée l’autre jour.
Oui, on m’en a informé .
Pardon, je ne me suis pas présenté, je suis l’agent 007.
Si c’est pour me poser des questions, je préfère m’isoler! dit M.Lafortune.

le voleur de tableaux, chapitre 4

Chapitre 4
Madame Labelle
L’agent 007 va voir Mme.Labelle. Malheureusement, on l’informe qu’elle est en réunion. L’agent décide de l’attendre devant son appartement. Une demi-heure plus tard, il voit une très belle femme arriver…. C’est elle, Mme.Labelle !

« Bonjour, vous êtes bien Mme.Labelle? dit l’agent 007.
Oui ! A qui ai-je l’honneur?
A l’agent 007, de la police judiciaire! J’imagine que vous avez appris que M.Padpobanane a été agressé?
Oui, je l’ai appris avant-hier soir! dit-elle d’une voix si douce qu’on pourrait en tomber amoureux.
C’est vrai que vous et la victime étiez amoureux dans votre jeunesse ?
Oui, mais c’est une vieille histoire et je ne préfère pas en parler! dit Mme.Labelle émue.
D’accord, je vais partir! Aurevoir et bonne nuit! dit-il. »