La question a été posée à la cellule des affaires juridiques et contentieuses du rectorat de Poitiers.
La publication est en principe possible dans la mesure où il s’agit de documents administratifs qui peuvent être communiqués à toute personne.
Il conviendrait toutefois qu’ils ne comportent pas de données personnelles, ou des passages mettant en cause le comportement d’un agent.
La CNIL a mis en ligne 10 règles élémentaires pour protéger son identité numérique.
L’affiche, illustrée par Martin Vidberg, peut être téléchargée sur le site de la CNIL. Des fiches pratiques sont proposées pour chaque conseil.
En France, la règle du domaine public est assez complexe. Ne sont dans le domaine public que les films dont tous les auteurs principaux (réalisateur, scénariste, producteurs exécutifs, compositeur…) sont décédés depuis au moins 70 ans.
Aux Etats-Unis, tous les films produits avant 1923 sont dans le domaine public, y compris en France. Pour les films postérieurs à 1923, les calculs sont plus complexes.
Pour trouver les films du domaine public, le site Archive.org propose des centaines de films libres de droits, dont une grande catégorie de films muets. Il est possible de télécharger le film sous différents formats.
Dans le cadre d’un film tombé dans le domaine public, il faut s’assurer que la bande son le soit aussi. En effet, si une réorchestration a été faite, cette bande son peut être soumise à des droits.
Là où ça se complique encore, c’est lors de la restauration de films. Celle-ci implique le travail de nombreux intervenants. Pour la colorisation d’un film, les droits seraient réactivés pour 50 ans. Pour un simple toilettage (poussières, bandes abîmées), il n’y aurait pas d’allongement de durée de protection des droits. Mais le sujet fait encore débat et les décisions sont actées au cas par cas.
Devant la complexité du sujet, il convient d’être prudent. Et, en tout état de cause, on peut s’interroger sur l’intérêt de mettre en ligne un film entier sur un site internet d’école…
Eric Deveyneix, Sébastien Papineau, accompagnés de Yoann Gady de Canopé Charente sont allés découvrir pour vous les outils numériques exposés au salon Educatice 2016. Petit compte rendu de leur visite.
La robotique et la programmation sont mises en avant. La Beebot a retenu toute notre attention pour les élèves de maternelle qui pourront facilement s’initier à la programmation.
Un article plus détaillé sera rédigé prochainement.
Côté projection, les écrans tactiles géants arrivent massivement. Avantages : luminosité impeccable en plein jour, réactivité accrue. Inconvénient : ça mobilise un espace précis (si on choisit de placer l’écran au centre du mur, on ne peut utiliser cet espace comme un tableau classique). Leur prix peut également paraître prohibitif (près de 4000 euros pour certains…)
Les vidéoprojecteurs sont encore très présents, principalement des versions ultra-courte focale. Ils sont de plus en plus lumineux. Certains modèles permettent d’étaler l’investissement. On achète un vidéoprojecteur classique, on peut ultérieurement y ajouter un module le rendant interactif ou tactile.
Nous en avons profité pour rencontrer des revendeurs et leur glisser quelques idées : comment rendre compatibles sans trop de frais les premières valises de netbooks livrées en 2009-2010 lors du plan ENR. Comment remplacer les vidéos projecteurs du plan ENR qui sont à bout se souffle… Nous avons l’impression d’avoir été compris, sinon entendus.
Cette journée permet de se tenir au courant des tendances actuelles en matière d’équipement et de proposer des conseils toujours actualisés.
Des rencontres avec les créateurs d’outils au service des élèves et des enseignants (edumoov par exemple) ont été riches. Elles ont permis de faire des propositions d’orientations répondant encore plus aux besoins du terrain.
Nous vous proposerons plusieurs articles dans les jours à venir.
Dans le cadre de l’école, nous sommes de plus en plus confrontés à des soucis dus à une utilisation pas toujours raisonnée des écrans.
Serge Tisseron, psychiatre, docteur en psychologie et chercheur a imaginé en 2007 les repères « 3-6-9-12, pour apprivoiser les écrans ».
Une campagne est proposée afin de sensibiliser les enfants et les parents à quelques règles d’usage. Une affiche est disponible.
Les nouveaux programmes sont parus.
Nous vous proposons de les découvrir sous forme de Prezis réalisés par Christophe Dupuy, conseiller pédagogique de l’académie d’Orléans-Tours.
L’équipe des référents numériques de la Charente vous souhaite de joyeuses fêtes.
Rendez-vous l’année prochaine pour de nouveaux articles !
Qwant Junior est un moteur de recherche français sécurisé pour les enfants entre 3 et 12 ans.
Il ne trace pas les utilisateurs, se veut neutre dans l’affichage des résultats et ne propose que des sites approuvés, spécialement conçue pour le jeune public : une liste blanche fait remonter les sites éducatifs et pédagogiques et une liste noire empêche l’accès aux contenus potentiellement choquants, relatifs à la violence, à la drogue, à la pornographie ou à la haine raciale.
Qwant Junior est constitué de cinq univers de recherche : Web, Éducation, Actualités, Images, Vidéo. La partie Éducation fournit de très nombreux liens vers des sites éducatifs reconnus qui proposent un traitement de l’information adapté à l’âge de l’enfant.
Vous trouverez le lien direct sur www.teteatoto.org.
CANOPÉ – site de La Charente organise le salon des éditeurs et des ressources numériques au Château de l’Oisellerie à La Couronne.
Lors de cette journée, les éditeurs présenteront leurs productions et outils pour la rentrée 2015-2016.
Nous nous ferons une joie de vous rencontrer et de vous présenter les différentes créations et outils de l’équipe des référents numériques de la Charente :
Nous pourrons aussi vous informer sur les blogs, les pseudo-ENT Sitécoles, les tablettes et applications, Calcul@tice, les logiciels ASH, les QR code pour la classe, la tortue logo (physique et numérique), le concours de calcul mental et le défi internet
Vous pouvez découvrir les autres exposants présents sur le site CANOPE.
