Roger Baleix

Il était l’architecte départemental. Il a fait les plans de plusieurs bâtiments à Angoulême.

Il a vécu de 1885 à 1958. Inspiré par le style arts décoratifs, il aimait mettre des sculptures inspirées de l’Antiquité, représentations de personnes dans des postures originales, des formes symétriques, des arrondis, des angles, et des  1/2 cylindres collés sur un cube…
Lors d’une visite avec une animatrice de Via Patrimoine nous avons vu quelques unes de ses constructions. On a pu remarquer les décors de formes rectangles sur la façade, des formes géométriques transformées, emboîtées les unes dans les autres, des immeubles avec angles en façade pour avoir plus de lumière et plus de chaleur. Les motifs en façade sont simplifiés.

Roger Baleix aimait faire ses constructions en béton, un nouveau matériau qui permettait de réaliser de très grandes ouvertures.

A  Angoulême Roger Baleix a fait les plans:
– du CCAS. (Centre Communal d’Action Sociale).
– de l’ancienne caserne de pompiers.
– d’un magasin dans la rue Hergé.
– de l’ancien hôpital de Girac.
– de cités ouvrières.
– et de notre école Mario Roustan.

Matinée aux jardins municipaux le 24 juin 2014

Nous sommes partis à pied pour aller aux jardins.

Sur place, on a d’abord fait un atelier de composition florale. On a fait un petit pot avec des feuillages et une fleur (une rose et un oeillet de poète).

Ensuite, avec des légumes, on a fait un bonhomme ou juste un visage, à la manière de Arcimboldo. Puis, on a découvert un jardin zen, un jardin des artistes, un jardin aux papillons. On a vu des chèvres naines à qui on a donné du pain.

On a goûté des radis, des fraises, des plantes aromatiques.

Et on a été dans un labyrinthe pieds nus. On marchait sur du sable, du carrelage, des petites billes, des écorces, un tapis de faux gazon.

Et pour finir, on a joué avec des instruments (tam-tam,cloches) et fait des dessins.

Avant de partir, on s’est pris en photo avec notre épouvantail.

Sofia, Enzo, Lucile, Anaïs, Maylice

Le village du Bournat en 1900.

Nous sommes partis d’Angoulême et nous sommes arrivés au Bugue vers 11 h.

Pour la première visite avec notre guide, nous nous sommes arrêtés devant l’école. Après le cours d’histoire, nous nous dirigeons vers la maison d’habitation. La pièce principale est la plus importante. Juste à côté se trouve la chambre.

La visite se termine. Nous nous répartissons en deux groupes. Un avec le maître et l’autre avec la maman de Katendé et Méta. Avec Anne, nous sommes allés voir le moulin et le lavoir.

Après la visite, nous sommes allés déjeuner. Au menu : un 1er sandwich au thon, tomate et salade et un 2ème au fromage et beurre. Pour le dessert, nous avons avons eu une crème au chocolat.

Après le repas, nous sommes passés par le parc d’attraction: c’était notre moment préféré. Avant de repartir pour la 2ème visite de l’après-midi, nous avons fait un tour du village en calèche tirée par Maya, une jument de trait. Après, nous sommes allés voir l’atelier du verrier, le vigneron et le garagiste.

Avant de reprendre le bus pour le retour, nous sommes revenus au parc d’attractions. C’était une très belle journée pour toute la classe !

La classe de CE1 et CE2

 

Le lavoir

Les femmes allaient au lavoir pour laver le linge car à l’époque 1900, il n’y avait pas de machine à laver! Elles se retrouvaient toute autour de ce ” bassin ” où les conversations allaient bon train!…

Elles étaient agenouillées derrière leur planche à laver, plongeaient les vêtements dans l’eau et les frottaient avec du savon avant de les rincer dans l’eau claire.

C’était un lieu de rencontre pour toutes les femmes du village.

Mona

Une salle de classe en 1900

Les enfants allaient à l’école à vélo, mais c’était les plus riches. Les plus pauvres y allaient à pied et faisaient parfois plusieurs kilomètres pour se rendre au village.

Ils avaient un panier à la main et des bûches sous le bras. Ils apportaient leur repas sur place, au fond de la classe. Les bûches servaient à alimenter le poêle, seul moyen de chauffage. Tous les matins, un responsable était désigné pour distribuer l’encre violette dans les encriers.

Avant d’entrer en classe, les enfant ôtaient leurs sabots car cela faisait beaucoup trop de bruit sur le plancher en bois. A la place, ils enfilaient des chaussons.

Les punitions étaient très sévères et les maîtres très stricts. Les coups de règle sur les doigts, les gifles ou les oreilles tirées étaient quotidiens!… Parfois, pour punir un élève insolent, on le faisait mettre à genoux sur une règle posée sur le sol, il devait y rester le plus longtemps possible jusqu’à ce que la douleur devienne insupportable. Mais la punition suprême était le bonnet d’âne que l’élève devait porter sur la tête et garder toute la journée. Tout le monde se moquait de lui et pour ajouter à sa honte, on l’obligeait à traverser le village, flanqué de ce bonnet sur la tête pour regagner sa maison. Il était la risée de tous les villageois.

A l’école, les garçons les filles n’étaient pas mélangés. Il y avait une classe réservée aux garçons et une pour les filles.

Anna

La maison d’habitation

A l’entrée de la maison, il y avait une porcherie, car les villageois donnaient les restes de leurs repas aux cochons. Quand l’animal était suffisamment gras, il était tué et il pouvait nourrir ainsi toute la famille pendant une longue période.

Dans la maison, il y avait deux pièces: une grande cuisine et une chambre. Je vais vous parler de la première. C’est la pièce de vie:  les grands-parents y ont un lit car ce sont les plus respectés dans la famille. C’est la pièce qui est la mieux chauffée par la grande cheminée. C’est là que l’on prend ses repas.

Mais souvent les habitants partagent cette pièce avec des petits rongeurs: mulots et souris. Donc, on mettait le pain en hauteur avec les assiettes pour éviter les désagréments!…On mangeait de la soupe tous les jours, midi et soir et c’était souvent le plat unique. ” Tremper la soupe “, ça voulait dire y ajouter des mouillettes de pain pour rendre le plat plus consistant.

La table, au centre de la grande pièce, possède deux grands tiroirs. L’un des deux, une fois ouvert, pouvait servir de chaise haute pour les petits. On le remplissait de paille et on y installait le bébé qui pouvait prendre ses repas avec les autres membres de la famille.

Tous les villageois portaient des sabots: on en a vu devant la cheminée. Il en existait avec d’énormes pics pour aller ramasser les châtaignes et éviter de se piquer les doigts avec les bogues.

                                                    Anne

L’Assemblée Nationale

Où se trouve l’ Assemblée Nationale?

  

L’Assemblée Nationale se trouve 233 Boulevard Saint-Germain à Paris.

A quoi sert l’ Assemblée Nationale?

L’Assemblée Nationale a été créée le 17 juin 1789. L’Assemblée Nationale compte 577 députés, élus au suffrage universel direct. Ses pouvoirs sont principalement le vote des lois. Les députés proposent une loi à l’Assemblée Nationale, qui la vote…Elle va ensuite au Sénat (c’est la navette). Si celui-ci n’est pas d’accord la décision finale revient à l’Assemblée Nationale.

Histoire de l’Assemblée Nationale

Le palais Bourbon est le nom communément donné au bâtiment qui abrite l’Assemblée Nationale, sur la rive gauche de la Seine. Quand on parle du bâtiment, c’est un palais qui a appartenu à la la famille Bourbon, celle des rois de France.

Le déroulement de notre visite

Nous sommes d’abord passés par la sécurité. Madame Pinville nous a rejoints puis nous avons regardé un petit film expliquant le travail de l’Assemblée. Nous sommes allés dans les salles suivantes:

Rotonde Alechinsky:

C’est une salle décorée de fresques de Pierre Alechinsky, illustrant une phrase du poète Jean Tardieu. Elle date de 1992.

Grande Rotonde :

Les journalistes peuvent accéder aux tribunes de presse et à leurs salles de travail en empruntant l’escalier ou l’ascenseur (qui est l’un des plus vieux de Paris , XIX siècle)

Salle des pas perdus :

Cette salle est aussi appelée Salon de la paix. Le président de l’Assemblée Nationale la traverse avant d’accéder à une séance dans l’hémicycle.

Salle des Quatre Colonnes :

La salle des Quatre Colonnes est le lieu où se rencontrent les députés et les journalistes.

La cour d’Honneur a gardé ses proportions d’origine, du temps de la Duchesse de Bourbon. Depuis  1989 la sphère des Droits de l’Homme (oeuvre de l’artiste Walter de Maria) y est présentée.

     

Salon des Mariannes :

Anti chambre de la bibliothèque, répondant en symétrie à la salle des Quatre Colonnes. Elle accueille une collection de Mariannes (32 bustes en terre cuite).

Salon Pujol :

Ce salon a été décoré en trompe l’oeil .

Salon Casmir-Perrier :

 

Ce salon est orné d’un Tableau en relief représentant la séance du 23 juin 1789 de la première Assemblée Nationale. Les ministres la traversent pour accéder à l’hémicycle.

Salon Delacroix :

Le salon Delacroix a été créé par Jules de Joly. Aujourd’hui, il est le rendez-vous des députés siégeant à gauche.

Hémicycle :

     

     

Construit entre 1829 et 132 par Jules de Joly. L’actuelle salle des séances a remplacé le premier hémicycle conçu pour le conseil Des Cinq Cents.

Salle des conférences:

Elle sert de lieu de lecture et de rencontre entre les députés.

Bibliothèque:

 

La bibliothèque contient 700 000 livres.

 

 

La vie collective

Le premier jour nous avons eu rendez-vous à la gare d’Angoulême à 7H45. Sur le quai le maître a désigné les groupes pour le métro. Nous étions 8 enfants avec un adulte. Nous sommes partis au TGV de 8h36. Nous sommes arrivés à Paris à 11h30.

     

Ensuite nous avons pris le métro pour aller au Trocadéro. Là nous avons pique-niqué.

     

A 13h30, nous avons visité la Cité de l’architecture. Après nous avons repris le métro pour aller au Sénat. Il y avait de très belles salles. Puis nous nous sommes rendus au M.I.J.E.(Maison Internationale de la Jeunesse et des Etudiants). Nous dormions dans l’hôtel Fauconnier.

     

Nous avons pris possession de nos chambres. Ils y avait deux chambres de 8, une chambres de 4, deux chambres de 3 et une chambres de 2. Le lendemain matin nous devions nous réveiller à 7 heures, et nous avons pris le petit déjeuner à l’hôtel.

     

Chaque matin le maitre allait dans une superette pour acheter la nourriture du pique-nique. Ensuite, nous avons fait une promenade pour aller au musée des arts décoratifs. Puis nous avons pique-niqué dans le jardin des Tuilleries .

     

On a traversé le jardin du Luxembourg et nous avons visité le Panthéon. Nous sommes rentrés à pied à l’hébergement. Nous avons mangé et nous nous sommes couchés.

     

Le lendemain, nous sommes allés, à10h00, à l’Assemblée Nationale. On a pique-niqué entre la Seine et l’Avenue des Champs-Elysées. Ensuite nous avons pris le métro pour aller à la gare Montparnasse. Là nous avons pris le train pour revenir à Angoulême à 18h30.

     

Sortie Acrobranche de la CLIS le jeudi 19 juin 2014

Nous sommes allés  au parc d’ Acrobranche de Soyaux. Nous nous sommes beaucoup amusés.

     

D’abord, nous nous sommes équipés avec un harnais sur lequel il y avait des mousquetons et une poulie pour faire les tyroliennes. Nous avons d’abord fait le parcours des pitchounes (jaune) pour savoir comment s’accrocher et utiliser les mousquetons et la poulie.

     

Puis, nous avons fait le parcours vert, orange et bleu pour ceux qui n’avaient pas peur et qui n’étaient pas trop fatigués. Seuls Rahim , Mathéo et Dayson ont fait le parcours bleu.

     

Après cette matinée, nous avons pique-niqué là-bas. Ensuite, nous avons profité des jeux du parc. C’était une journée magnifique. Nous nous sommes trop bien amusés.

  

Les élèves de la CLIS (Lucile, Anais, Maylice, Sofia et Enzo)

Comment vivaient nos grands-parents dans un village de Dordogne en 1900?

A vos marques , prêt pour l’aventure : la visite va pouvoir commencer .

La guide nous accueille et nous explique ce que nous allons découvrir .

Nous voilà devant l’école du village. La cloche a sonné la fin de la récréation, nous pouvons entrer .

Installés devant nos pupitres, nous sommes prêt pour la leçon d’histoire: comment vivait nos arrières grands-parents dans un village de Dordogne , en 1900.

Leçon d’écriture à la plume : la guide nous présente un encrier en porcelaine.

Le poêle à bois qui servait à chauffer la classe et le repas de midi des enfants et la campagne , la cantine n’existait pas.
Derrière le poêle un boulier pour apprendre à compter.

Houlà ! Pas facile de grimper à la corde quand il n’y a même pas de noeuds… A qui le tour maintenant?

Une cintreuse: machine servant à la fabrication des cerclages en fer des roues de charrettes.

La porcherie était attenante à la maison d’habitation appelée aussi “Métairie”. Nous sommes un peu perplexes devant les cochons. Drôle de compagnie si près de la maison!

Dans un coin de la grande pièce, le lit des grands-parents. Au premier plan, un rouet servant à filer la laine et une presse à papier.

A l’intérieur de la pièce principal avec la table au centre. On installait le bébé dans un des tiroirs rempli de paille pour remplacer la chaise haute.

La guide nous explique l’importance de la grande cheminée. C’est là que l’on cuisinait dans les marmites. A gauche, le coffre rempli de sel et à droite le sac dans lequel séchait le jambon.

Nous sommes dans la chambre à coucher. Souvent, les enfants dormaient tête bêche jusqu’à 6 dans le même lit.

L’objet qui ressemble à une luge est le “moine” qui servait à réchauffer le lit, l’hiver.             ( On plaçait une sorte de casserole remplie de braises accrochée à une chaînette dans cet objet en bois, avant de le glisser entre les draps). Mais il y avait  souvent des accidents!!!

La table de toilette avec le dessus en marbre ( l’eau, il fallait aller la chercher au puits.)

La petite chapelle du village où tout les habitants se rendaient le Dimanche pour la messe.

Le Pousse-pousse, manège actionné par une manivelle: vitesse très limitée!

Le moment préféré des enfants: la Chenille Américaine où les enfants et les adultes ont été copieusement arrosés par le responsable du manège!…

Il n’y a pas d’âge pour s’amuser!…

Prêts pour le décollage?…

Une faucheuse et une batteuse.

Charrues et herses pour labourer et travailler la terre avant les semailles.

Moteurs à vapeur pour faire fonctionner la batteuse.

Tombereau servant à transporter les pommes de terre ou autre récoltes.

Le boulanger nous explique la fabrication du pain et le fonctionnement de son four dans le fournil.

Le hennissement de “Maya”, la jument de trait, nous alerte que notre tour de calèche est proche!…

Emma en pleine démonstration de danse.

Plein de câlins pour “Maya” pour la remercier de cette promenade en carriole, à travers le village.

La classe de CE1/CE2