Angoulême autrefois

Photo prise de la passerelle       Eglise St Jacques

Nous nous sommes installés sur la passerelle de Bourgines et nous avons regardé le paysage : David nous a dit que  les halles  étaient  l’ancienne prison. La tour la plus haute qu’on voit est la mairie, avant, c’était un château.

Par contre, arrivés au musée,  on a vu peint sur le tableau, le bureau d’octroi. Il se situait tout près de la passerelle, c’était une petite maison qui n’existe plus aujourd’hui.

Au bord de la Charente, on voyait déjà l’église St Jacques,  la grande maison au toit d’ardoise ainsi que la maison alsacienne (ces 2 maisons appartenaient à la famille Weiller qui possédait des usines de fils électriques) …

Exposition au musée du papier

L’Houmeau  était un quartier très riche grâce au commerce (grâce au transport maritime sur la Charente, même les animaux pouvaient être transportés en bateau ! ). Au musée du papier, nous avons vu les bustes sculptés des propriétaires de la papeterie avant. Lucas, Marine, Maëva

Les usines à papier

Il y avait beaucoup d’usines à papier à côté de ce fleuve nommé Charente car on utilisait l’eau pour faire du papier : Tout d’abord, avec la Charente, les moulins disposaient de la quantité d’eau nécessaire au bon fonctionnement des roues et machines du moulin. Mais cette eau entrait également dans la composition de la pâte à papier. Elle en était un des principaux ingrédients.

Lorsque les hommes ont abandonné les moulins à papier pour fabriquer une plus grosse quantité de papier, ils ont créé des machines et en Charente, il y a eu des usines à papier :  la grande cheminée sur la photo était autrefois une papeterie.

Tamara, Farsia, Ismaël

Le métier de lavandière

Ce sont des  femmes qui lavaient le linge.

On voit derrière la gabare, une petite cabane au toit blanc : comme le linge était lavé dans la Charente, les lavandières s’installaient partout autour. On voit un petit pont pour aller dans la cabane. Il y avait, à proximité, sur la berge, un lavoir , une pompe à eau .

C’était un métier dur car on pouvait tomber à l’eau et jadis, peu de femmes  savaient nager… L’hiver il faisait très  froid, donc l’eau était gelée et les mains des lavandières étaient gercées  et très abimées. Et l’été, sous leur toile de tente, il faisait très chaud et à force, elles en avaient marre de la chaleur.

Heureusement les machine à laver existent maintenant , mais ce tableau nous montre comment les femmes  se débrouillaient pour laver le linge autrefois.

Violaine,  Amel , Liliah

La classe de CE1

LES FLEURS DU CE1

Voici quelques fleurs qui ont poussé dans la classe de CE1 au début de l’année scolaire.

Le maître

Farah                                 Camille                                     Éva

Alice                                 Léa                                     Angélina

Charlotte                            Myriam                            Vanessa

Malek                               Alban                                    Ludovic

Thomas                             Félicie                                   Céleste

Tiphaine                                  Alicia



La voile

Nous avons commencé un cycle de voile au plan d’eau de St Yrieix, et ce, jusqu’aux vacances de la Toussaint. J’ai pris ces photos le mardi 21 Septembre, jour de grand soleil et sans beaucoup de vent, avant que l’automne ne s’installe et que moussaillons et photographe n’affrontent des conditions climatiques plus rudes… Nous espérons ainsi donner envie à tous de pratiquer ce sport !

La maîtresse des C.M.2

Avant de partir à la voile, on mange puis avant que la cloche  ne sonne, on s’habille en tenue de voile et on va en récréation. Puis, dès que la cloche sonne, on part et le bus nous amène au plan d’eau de St Yrieix. On pose nos affaires dans les vestiaires puis si on veut, on peut aller aux toilettes. Ensuite, on entre dans la voilerie… Lucas


La voilerie

En rentrant dans le club de voile , nous posons nos sacs et nous allons dans la voilerie , nous prenons un gilet de sauvetage : nous nous l’attachons en fonction du poids et de la taille qu’on fait, il ne faut pas qu’il touche aux oreilles, sinon il nous tient mal.

Puis nous allons  devant le tableau pour que Damien ou Sylvie marque les groupes de 2 en face du numéro du bateau ,  ensuite il y en a deux qui sortent la voile du trou où elle est rangée, il faut aider l’autre sinon on la fait tomber!

Après, celui qui ne porte pas la voile prend la dérive et le gouvernail et les pose sur le banc devant son bateau.

Pour la première séance, le bateau ci-dessous nous a permis de revoir le vocabulaire , et de voir comment installer la voile.  Mylhéna et Moïna


Avant le départ

Là, on vient de gréer notre bateau et on s’assoit pour entendre les explications des moniteurs : on regarde le drapeau pour savoir d’où le vent vient. Sylvie nous rappelle les consignes de sécurité qu’on avait vues à l’école,  puis elle nous dit quand on doit partir et le parcours qu’on va faire. Marine



Le départ

Avant de partir, nous avons mis le gouvernail et la dérive à l’avant du bateau. Puis, on a mis le mât dans le trou et on a accroché la bôme au mât. Parfois c’est dur car sur certains mâts, le crochet est dur à manipuler ! Après, on accroche la livarde à la voile grâce à un élastique tenu sur le mât. On peut relever la bôme pour que ce soit moins difficile. Enfin, on accroche le mousqueton de l’écoute qui tient la voile mais des fois, on se fait gêner par la bôme des autres bateaux qui nous cogne !

Notre partenaire monte dans le bateau et l’autre  le pousse dans l’eau. Et il saute lui aussi à bord ! Le plus difficile, c’est de pousser le bateau : il est quand même assez lourd car c’est du fer ! Et il ne faut pas trop le pousser car, sinon, l’autre se mouillerait en sautant! Violaine et Dorian

Quand on arrive sur l’eau, si on a bien écouté Sylvie, on va vers la bouée demandée et le premier arrivé a gagné. Si c’est une régate, on gagne un tour de bateau à moteur : moi j’aimerais bien, mais il faut gagner !

Il faut bien sentir le vent  car il peut y avoir un coup de vent et si on ne met pas bien la voile, on pourrait rater le coup de vent ! Il faut savoir d’où le vent vient et bien diriger la voile.  Jean

Sur l’eau

Nous pouvons accrocher la voile à un crochet sur la bôme pour ne pas nous la prendre dans la tête, car ça raccourcit la voile. Mais ça va moins vite.

Sur l’eau il ne faut  pas faire n’importe quoi car on peut chavirer et tomber à l’eau ! Mais moi, je mets souvent les bras hors du bateau pour les tremper dans l’eau et à cause de ça, la dernière fois, je me suis pincée entre 2 bateaux et j’ai eu un bleu qui est devenu violet autour !   Amel

Il ne faut pas se lever dans le bateau. Quand la voile est en face d’une personne, c’est elle qui la dirige pendant que l’autre gouverne. Les deux enfants sont assis face à face : celui qui gouverne regarde l’endroit où il va et essaie d’aller tout droit. Celui qui tient l’écoute ( la corde qui tient la voile) doit essayer de trouver la meilleure position pour sa voile afin d’aller le plus vite. Elisa

Nous avons fait une régate (course de bateau), il y avait beaucoup de slaloms  jusqu’à l’arrivée. Il ne faut pas s’emmêler dans la bouée en passant trop près, car la dérive se prend dans les câbles ! Mais on est obligé de passer assez près quand même pour tourner.

Ça va plus vit quand il y a du vent, c’est mieux, tout le monde est content ! Arthur

Quand il y a du vent, on doit tirer l’écoute pour trouver où ça tire le plus pour aller le plus vite et c’est compliqué. Il faut baisser la tête car la bôme change vite de sens. Il faut alors changer de rôle. Julian

Quand on est sur l’eau, on ne doit pas se mettre debout sur le bateau. Mardi dernier, nous avons fait trois parcours.

Premier parcours : on devait partir de la plage puis aller à la bouée bleue puis Sylvie nous a remorqués de l’autre côté du plan d’eau, au sud.

Deuxième parcours  : le même,  on était dans le sens du vent.

Troisième parcours : on devait faire des slaloms entre des bouées. Guillaume

La voile c’est assez dur quand il n’y a pas de vent et que nous n’avons pas de rame parce qu’on n’avance pas vite. Les premières séances sans trop de vent nous ont permis d’apprendre à diriger et à choisir la bonne position pour la voile. Tamara


Pour être remorqué…

Sylvie nous dit par exemple : “On doit aller s’accrocher à la bouée bleue”. Ceux qui arrivent en 1er à la bouée bleue prennent l’attache de la bouée et la corde devant leur bateau et ils les attachent entre elles. Le 1er bateau se prépare ensuite à attacher le suivant : un des enfants prend la corde du bateau qui arrive et l’accroche à la corde à l’arrière de son bateau et ainsi de suite… Maëva

C’est difficile car on arrive en même temps et on ne sait pas qui est déjà accroché. Et aussi de viser le bon bateau et pas un bateau qui n’est pas accroché. On risque de se faire mal aux doigts en attrapant un autre bateau donc il faut attendre qu’il s’approche et après, on le ramène vers notre bateau. Maxime



L’arrivée sur la plage

Quand Sylvie nous dit de rentrer, on vise notre pneu : il y a des pneus pour poser les bateaux retournés dessus, il faut compter pour savoir lequel est notre pneu. Si on n’a pas visé le bon pneu, il y a plus de travail à faire car il faut porter le bateau s’il est sur la plage, ou tirer le bateau dans l’eau jusqu’à son pneu.

On enlève la dérive, dès qu’on est à quelques mètres de la plage, mais pas trop tôt sinon le bateau n’écoutera pas ; puis le gouvernail, pas trop tôt sinon on ne pourra plus tourner.

Un enfant descend alors du bateau et il  le tire sur le sable. Après nous remontons le bateau à 4 minimum puis nous ramenons les bateaux à leur pneu. On doit remonter les bateaux qui sont dans notre équipe, mais si on a fini, on peut aller aider les autres équipes. Liliah et Amaury


Le rangement

D’abord, je range le gouvernail et la dérive dans la voilerie. Puis,  je vais étendre la voile sur l’herbe pour qu’elle sèche. Après, on porte les bateaux à 4 minimum pour les retourner et vider l’eau. On les pose sur les pneus. Enfin, on plie notre voile en triangle, on pose la bôme au milieu contre  le mât et c’est avec la corde (l’écoute) qu’on serre bien la voile. Et on va la ranger. Ce n’est facile car on est mouillé, on a les mains qui glissent et donc, on a envie d’aller se sécher !  Farsia, Nicolas et Nathan.


Pour aller se changer, on doit d’abord enlever le gilet  de sauvetage, on le referme par les 3 attaches. On va le mettre où il était. Ensuite, on va se changer dans les vestiaires : il faut se dépêcher car le bus est tout le temps à l’heure  et des fois, c’est dur parce qu’on doit se changer entièrement ! Accel

La rencontre hand/rugby des C.M.2

Le rugby

Tous les jeudis, avec Jean notre entraîneur du rugby, nous nous entraînions à  faire des matches et des passes. Pour le jour du tournoi, le 15 Juin, les équipes étaient formées ainsi :

– groupe 1 : Lucas, Angélique , Idrisse, Rémy, Pauline, Emma, Adèle, Cédric, Sophian. Ils sont arrivés 2 ème/7

– groupe 2 : Léo, Florian, Mickaël, Bryanna, Maëva, Charline, Clarisse, Iulia. Ils sont arrivés 5ème/7.

Nous étions très contents mais la pelouse était très glissante.

Conclusion: tout le monde a bien joué même si certains n’ont pas aimé perdre…

Florian P et Sophian G.

Hand-ball

L’après-midi, nous avons commencé le hand-ball. Nous avons été partagés en 3 groupes car il y avait 4 terrains. Les écoles étaient divisées en équipes de 5 joueurs,  il y avait Paul Bert 1 : Florian, Idrisse, Iulia, Clarisse, Rémy, Adèle → 1 égalité, 3 victoires, 0 défaite

Paul Bert 2 : Léo, Lucas, Angélique, ,Charline, Pauline → 1 victoire, 2 défaites,1 égalité

Paul Bert 3 : Maëva, Emma , Sophian, Mickaël, Bryanna → 4 victoires : donc nous avons failli gagner au classement !

Nous avons affronté les C.M.2 de Victor Duruy et Ferdinand Buisson. Le terrain était en gravier rouge et les buts n’avaient pas de barre horizontale, il ne fallait pas tirer trop haut.

Malheureusement, nous avons joué sous la pluie puis nous avons arrêté car la pluie était devenue plus forte. Donc nous nous sommes réfugiés, dans la salle du skate park .

Nous avons tous apprécié malgré la pluie.

Emma C. Maëva F.

Journée vélo

Sortie Vélo au plan d’eau de Saint Yrieix

Le matin, nous sommes partis prendre le bus, mais le bus était en retard.

Nous sommes arrivés à l’école Cézanne Renoir et on est parti à Frégeneuil.

Là, on a fait une pose puis on est parti pour Saint Yrieix.

Lucas. L.CE1

On était pas très content car le matin, le bus n’était pas là. Tout le monde disait que c’était nul. On est retourné à l’école.

Puis quelqu’un a appelé pour dire que le bus était arrivé.

Alors on était content, on faisait les fous et dans le bus, tout le monde chantait.

Inés. E.CE1

Le matin, on est parti en retard.Le bus n’était pas arrivé à l’heure.

A l’école Cézanne Renoir, on a vu une autre classe. Elle est partie au plan d’eau et nous aussi.

Steevy. B.CE1

Quand on est descendu, le bus n’était pas arrivé. Alors on est tous remonté en classe.

Quand on est arrivé à l’école Cézanne Renoir, on a réglé nos casques et on a pris les vélos.

On a roulé à la queue-leu-leu.

Léo. M.CE1

Le matin, nous sommes partis de l’école. Le seul petit problème c’est que le bus n’était pas là !

Donc nous sommes repartis à l’école attendre.

Zoran. MCE1

Je n’ai pas aimé quand le bus n’est pas venu nous chercher. On est reparti à l’école et on a fait un jeu du pendu concernant le vélo.

Aïcha. C.CE1

Les élèves du CE1 sont allés faire du VTT. On a pris le bus et on est parti à l’école Cézanne Renoir. On a pris 22 vélos et 22 casques. On a réglé les vélos et les casques.

Mathylda. B.CE1

Dans le bus j’ai trouvé un tatouage. Je l’ai mis au vélo.

Batiste. T.CE1

Ça nous a plu la randonnée à vélo. On est allé à l’école Cézanne Renoir pour prendre les vélos. Moi j’avais un grand vélo.

Steffy.V.CE1

On est allé à vélo jusqu’à Saint Yrieix. On a pique-niqué, on a joué.

On est reparti jusqu’à l’école Cézanne Renoir. On a repris le bus et on est arrivé à l’école.

Eva. K.CE1

Il y avait 4 adultes:

– Richard était devant, Jean Jacques était derrière, Maïté et le maître au milieu.

Alizée. F.CE1

Quand je suis tombé du vélo, le vélo est tombé sur moi. Ce n’était pas mon jour de chance. Dounia est tombé elle aussi. Ce n’était pas de chance: c’était son anniversaire !

Alicia. P.CE1

Lundi 7 juin, c’était mon anniversaire. Au retour, il y avait un pont qui montait et descendait. Je suis descendu. Inés a freiné et paf ! Je me suis cassé la margoulette !

Dounia. M.CE1

Je n’ai pas aimé quand le frein de mon vélo a été cassé. Le maître et Jean Jacques l’ont réparé.

Charlotte. D.CE1

On est passé par un chemin. J’ai coincé ma roue avant dans une grille rouge. Ma roue s’est percée. J’étais allé trop vite.

Benoît. T.CE1

Je n’ai pas aimé les pédales du vélo de Richard. Le vélo de Maïté était beau !!

Émeline. D.CE1

Ma chaîne sautait souvent. Le maître et Jean-Jacques l’ont réparée. Émeline Moreau roulait, moi j’étais à un centimètre. Elle m’a dit: “avance !, j’ai avancé mais elle m’a roulé dessus. Les garçons m’ont relevé.

Maxens. A.CE1

La sortie vélo était bien. Benoît a crevé. Le frein du vélo de Romain a été cassé. Zoran a roulé sur une fourmilière. J’ai roulé dans une crotte ! Émeline Moreau a cru que Benoît était tombé à l’eau.

Lucas et moi, on n’arrêtait pas de parler. C’est le plus grand tour à vélo que j’ai jamais fait.

Valentin. T.CE1

On a mangé des sandwichs thon-crudités. On a partagé ce qui restait. Quand on a joué, certains enfants de l’école Gorges Sand disaient des méchancetés.

Yann. A.CE1

Au plan d’eau, j’ai joué avec Léo, Eva, Doriane et Benoît. On a rigolé. On a joué aux “pirates des Caraïbes”.

Doriane.G.CE1

J’ai bien aimé quand on a chanté  ” il était une fermière…” pendant le randonnée.

J’ai bien aimé le pique-nique. A la fin de la randonnée, je n’ai pas aimé quand on a marché sur le trottoir avec les VTT.

Émeline. M.CE1

Dans le bus, on a vu maîtresse Ève dans un autre bus. Elle nous a dit bonjour. Les CP de maîtresse Ève nous ont fait coucou.

Romain. D.CE1


Journée avec les correspondants

Visite de nos correspondants

Vendredi 7 mai, la classe de CE1 a reçu ses correspondants de Magnac sur Touvre. Voici quelques commentaires sur cette journée bien remplie. Vous trouverez d’autres commentaires dans le “Petit Paul Bert” qui est paru début juin.

Le maître

J’ai bien aimé quand on a joué. Ma correspondante a visité l’école. Je n’ai pas aimé quand on est monté sur le mur. Je n’ai pas aimé quand on est rentré dans le tunnel ça faisait trop de bruit. J’ai bien aimé les gâteaux. J’ai bien aimé quand j’ai cueilli les fleurs. J’ai bien aimé quand le maître s’est trempé les pieds pour récupérer le ballon sur le Plan d’Eau.

Alicia. P.CE1

J’ai bien aimé quand je suis allé à la tyrolienne. J’ai bien aimé quand on est tous monté au mur d’escalade. Je n’ai pas aimé qu’on me jette du sable dessus.

Léo M.CE1

Je n’ai pas aimé quand mon ballon était dans l’eau. J’ai bien aimé le chemin au bord de la Charente. Les gâteaux étaient bons. J’ai bien aimé quand on a joué au foot avec les correspondants. J’ai bien aimé les cadeaux.

Baptiste T.CE1

Ce qui était bien, c’est qu’on a beaucoup joué à Saint Yrieix. On a beaucoup joué à la tyrolienne. Mon correspondant me faisait peur. Il me touchait dans le dos pour me faire peur. J’ai bien aimé quand on a mangé les gâteaux. Le gâteau que j’ai préféré, c’est le gâteau de Mathylda. Je n’ai pas aimé quand on a beaucoup marché au retour, j’étais très fatiguée. Les gâteaux étaient très très bons, je les ai tous goûtés !

Inès E.CE1

J’ai bien aimé quand on a mangé les gâteaux, ils étaient bons. Ma correspondante et moi, on a bien rigolé. J’ai bien aimé quand on était dans le tuyau. Le pique-nique était bien. J’ai bien aimé quand on était dans le sable.

Doriane G.CE1

J‘ai bien aimé la tyrolienne, jouer au sable et le toboggan. J’ai aimé quand Monsieur Astoul est parti dans l’eau pour aller chercher le ballon. J’ai aimé aussi quand on est monté sur le mur, c’était un peu difficile de descendre. Mon correspondant est gentil, mais timide et il n’est pas resté avec moi, il restait avec son copain.

Aïcha C.CE1

Ce qui était bien, c’était de monter sur le mur. Je n’ai pas aimé quand tu étais mon correspondant et quand tu ne l’étais plus. Quand on est arrivé au plan d’eau, on a vu un gros pont avec un mur.

Maxens A.CE1

J’ai bien aimé le pique-nique. Ce qui était bien, c’était les jeux. Les gâteaux étaient très bons. Je n’ai pas aimé quand le mur était mouillé. Mon correspondant est gentil.

Valentin T.CE1

J’ai bien aimé la randonnée. On a bien rigolé quand on a fait le général dans les grandes herbes, avec Doriane et tout le monde. J’ai bien aimé quand le maître a du aller se tremper les pieds dans le lac de Saint Yrieix. J’ai bien aimé la tyrolienne avec mon correspondant, et on a mangé des sandwichs avec une compote.

Romain D.CE1

Poèmes à la façon de Jacques Charpentreau

 

La baleine

Perdue au milieu de l’océan

La baleine toute seule, à quoi sert-elle ?

Les bateaux, c’est pour pétroler

Les marins pour naviguer

Les surfeurs pour surfer

Les algues pour habiter

La baleine toute seule, à quoi sert-elle ?

Les sardines, c’est pour déguster

Les crabes pour pincer

Les pêcheurs pour pêcher

Les pieuvres pour jeter de l’encre

La baleine toute seule, à quoi sert-elle ?

Il suffit de le demander

A moi, qui nage tranquillement avec elle.

Noëlline B. C.M.2

 

L’école

Perdue au milieu de la ville,

L’école toute seule, à quoi sert-elle ?

Les livres, c’est pour regarder

Les chaises pour s’asseoir

Les stylos pour écrire

Les maîtresses pour apprendre

L’école toute seule, à quoi sert-elle ?

Les trousses, c’est pour ranger

Les gommes pour gommer

Les règles pour mesurer

Les taille-crayons pour tailler

L’école toute seule, à quoi sert-elle ?

Les colles, c’est pour coller

Les ciseaux pour couper

Les feuilles pour jeter

Les tables pour travailler

L’école toute seule, à quoi sert-elle ?

Les cahiers, c’est pour copier

Les portes pour ouvrir

Les tabliers pour se protéger

Les dessins pour regarder

L’école toute seule, à quoi sert-elle ?

Il suffit de le demander

Au directeur dans son bureau.

Rémy D.C.M.2

 

La ferme

Perdu au milieu d’une ferme

Le fermier tout seul, à quoi sert-il ?

Les poules, c’est pour pondre des œufs

Les chèvres pour faire du fromage

Les vaches pour faire du lait

Les moutons pour faire des pantalons

Le fermier tout seul, à quoi sert-il ?

Les coqs, c’est pour réveiller les gens

Les juments pour faire de beaux poulains

Les cochons pour faire de la boue

Les dindons pour manger avec des haricots

Le fermier tout seul, à quoi sert-il ?

Il suffit de le demander à tous ces animaux

Qui ont besoin de lui pour les nourrir. 

Angélique P.C.M.2