Voici les meilleurs contes que nous avons élus : Nous avons mis quelques semaines à écrire ainsi des contes, des mythes ou des légendes. Nous avions un personnage et un lieu qui nous étaient imposés à chaque fois. Pour le meilleur texte, écrit par Elisa, il s’agit d’une légende et les éléments imposés étaient le yéti et le Népal.
Nous espérons que nos histoires vous plairont et qu’elles deviendront populaires.
Au revoir cher équipage, nous quittons l’école Paul Bert et partons vers de nouveaux horizons !
Bonnes vacances, bonne lecture !
La classe de C.M.2
La rencontre du yéti et du petit garçon
Il y avait jadis, une légende au Népal qui parlait du Yéti. On se la racontait aux veillées et les nuits noires.
Le Yéti, personne ne l’avait jamais vu, sauf quelques-uns qui prétendaient l’avoir déjà vu et qui expliquaient qu’ils avaient failli y rester. On imaginait le Yéti grand, blanc-gris avec de grands yeux tout ronds, faisant peur aux enfants et aux adultes. On racontait qu’il habitait dans les hautes montagnes du Népal.
Un jour, un enfant très malin voulut voir ce Yéti car il avait vu pas loin de chez lui, des empreintes presque aussi grandes que sa tête qui allaient jusqu’en haut de la montagne.
Alors, une nuit très tard, vers minuit, il prit des provisions et partit à la recherche du Yéti. Ça ne se passait pas très bien chez lui alors il était assez content de partir.
Le garçon pensait ne pas avoir d’ennuis, mais au bout d’une heure où deux, une drôle de bête sortit de derrière un rocher. « Le Yéti !» se dit l’enfant en ayant peur.
La bête était petite, blanc-gris avec de grands yeux tous ronds, mais pourtant, elle ne ressemblait pas du tout au Yéti. Si, une petite ressemblance mais le Yéti, lui, n’était pas petit, enfin pas d’après ce qu’on racontait dans la légende…
– Qui, qui, qui c’est ?…dit l’enfant terrorisé.
– Falut, dévolé mais mon popa m’a dit de ne pas parler aux écranzers…………………. Tu t’appelles comment?
– Euh… Tu parles ? Et, tu vas pas me dévorer?
– Bien fur que z’parle. Et pourquoi je te manzerai, hein? Va pas bien sui la, ch’uis tomber fur un, un… Un fou et un peureux!!! Je ne manze que de la salade, des plantes et…
– T’es herbivore quoi ?
– Ouais, fa doit être ça…
– Donc, j’ai rien à craindre?
– Rien.
– Ça veut dire qu’on peut être amis?
– Euh, amis ? Ah, oui bien sûr!!!
– Mais rassure-moi, au début, quand on s’est rencontré, tu m’as dit que tu n’avais pas le droit de parler aux étrangers et que c’était ton père qui t’avait dit ça. Mais, c’est qui ton père ?
– Bah, en fait, f’est un fecret que je n’ai pas le droit de répéter…
– Allez, des amis, ça se dit tout.
– Ah oui, peut être, mais là, fa craint…
– Allez dit!!!
– Tu garderas le fecret, hein?
– Mais oui ! T’inquiète.
– OK, j’me lance….. Mon père f’est, f’est… F’est le grand grand grand et grand magifique…
– Magnifique tu veux dire!!!
– Bon, tu me laisses finir oui ou non?!
– Oui bien sûr, vas y!
– Donc, je disais, grand grand grand et grand magifiq…
– Magni…
– Magnifique oui, oui, oui… Je fais, c’est pas ma faute fi je fais pas parler…
– Bah, t’inquiète pas, je t’ apprendrai !!! Le plus important c’est que je te comprenne! Alors c’est qui ce fameux papa, hein?
– Ben… En fait c’est le Yéti.
– Gloups…
– Mais ne t’inquiète pas, il est fuper fuper gentil. Il lui arrive de f’énerver un peu mais il est fympa!!!
– Euh, ouais tu es sûr?
– Fûr!
– Ok… Tu crois que je peux le voir?
– Heu, ze fais pas trop… En plus, je vais rentrer un peu tard alors, bah fi tu veux, mais tu restes dehors. Et fi il est énervé, tu t’en vas et f’il est content, tu viens. Mais attention par contre, ne viens pas trop vite, on ne fait jamais!!!
– Comment ça, on ne sait jamais ? Tu veux dire qu’il peut m’attaquer comme ça, sans raison?
– Ben non, mais on ne fait jamais, quoi de toute façon je le retiendrai. On est amis, non???
– Ouais, ouais…
– Bon on y va! Papa?! Tu es là???
– OUI, JE SUIS LA!!! QU’Y- A-T-IL MON FILS ???
– Heu, ben, tu es de bonne humeur?
– OUI POURQUOI???
– J’aimerai te présenter un ami à moi!
Et c’est ainsi que le petit garçon rencontra le Yéti. Il était calme, attentif et soigneux avec tout ce qu’il faisait. Le garçon se sentait à l’aise. Mais à un moment, il pensa à ses parents et décida de rentrer chez lui.
– Tu reviens vite hein?!
– Oui, oui bien sûr!
– TU SERAS LE BIENVENU, PETIT HUMAIN.
– Merci pour tout!!!
– Merci surtout à toi pour m’avoir appris à bien parler!
– De rien, c’est normal entre amis, non?
– Reviens vite!
Mais le petit garçon était déjà en bas de la montagne. Il était content d’être le premier à avoir rencontré le Yéti, il allait le raconter à tout le monde! « Eh, un instant, si je le dis à tout le monde, je dénoncerai mon ami… »
Il décida de garder le secret et de ne jamais le répéter à qui que ce soit.
C’est depuis ce jour que, tous les soirs, vers minuit, un petit garçon sort de chez lui et va en haut de la montagne népalaise…
Elisa
La sorcière Crapouillette et Mathéo le villageois
Il était une fois une sorcière qui aimait la forêt, alors, elle s’était installée juste à côté, dans une ferme où elle élevait des cochons, des lapins, des canards et des poules dont un coq.
Elle était toute petite avec un gros nez plein de boutons et deux petits yeux. Mais les villageois n’aimaient pas la sorcière car elle leur faisait peur avec sa laideur et ses microbes.
La sorcière était furieuse que les villageois la rejettent alors qu’elle était gentille avec eux. Ses pouvoirs ne lui servaient qu’à soigner : elle avait appris à jeter des sorts et à préparer des potions pour soigner les humains. Tous les jours, elle allait chercher des plantes qui étaient cachées dans une grotte de la forêt. Mais elle ne les avait jamais utilisées sur des hommes parce qu’elle ne pouvait pas approcher les villageois. Alors, elle se servait de ses pouvoirs pour soigner les animaux. Par exemple, elle pouvait soigner les rhumes, la varicelle, et la gastro.
Un jour, elle avait trouvé un renard qui avait mal à la gorge et qui l’avait attiré à cause du bruit de sa toux. Elle l’avait ramené dans sa ferme et lui avait donné à boire une potion violette et chaude, fabriquée à base de raisin. Le renard avait guéri rapidement et elle l’avait relâché dans la nature.
Mais elle aurait bien voulu faire ça aux villageois, alors elle marchait dans la forêt pour calmer sa colère, mais ça ne marchait pas.
Tout à coup, elle aperçut un petit garçon qui s’approcha de la sorcière. Elle alla vers lui et lui demanda comment il s’appelait.
« Je m’appelle Mathéo. Et toi ? »
La sorcière fut surprise que l’enfant veuille bien l’approcher et encore plus, lui parler !
– Je m’appelle Crapouillette, répondit-elle en souriant.
– Où habites-tu ?
– J’habite pas loin d’ici, une maison toute cassée, et toi ?
– J’habite au village mais je me suis perdu… Et j’ai faim et soif, tu peux m’emmener chez toi ?
– Oui.
Crapouillette était toute heureuse. Arrivée chez elle, elle lui offrit du chocolat chaud que Mathéo aima beaucoup mais une fois la tasse bue, il voulut rentrer chez lui.
La sorcière n’était pas très contente car elle aurait bien aimé que le garçon reste encore et lui tienne compagnie. Mais elle accepta quand même de le ramener. Elle s’arrêta devant le village, le petit vit ses parents et il se jeta dans leurs bras en leur racontant son aventure.
Son papa était maire et sa maman vétérinaire. Alors, le papa vit que la sorcière n’était pas méchante et il le dit à tout le village et tout rentra dans l’ordre.
Depuis, la sorcière aide la maman à soigner les animaux grâce à ses potions magiques.
Quant à Mathéo, il est premier de la classe. Il adore Crapouillette et dès qu’il quitte l’école, il va chez elle, elle habite maintenant le numéro 9 de la rue du clair de la résidence la roche Quentin, dans le village. Il l’aide dans son métier car il veut être vétérinaire, comme sa mère. Et la sorcière lui apprend des sorts : elle lui a montré la grotte. Mathéo a été surpris, il a vu plein de plantes pour guérir.
Peut-être qu’un jour, les villageois accepteront de se faire soigner par nos deux héros, en attendant ils guérissent les animaux !
Dorian
La vallée de l’amitié
Il y a fort longtemps, dans un village très pauvre, dans la montagne vivait un jeune paysan aux yeux couleur d’azur et aux cheveux couleur d’or. Il rêvait de vivre à la cour. Il n’aurait plus aucun problème, il aurait une belle vie… Ce jeune garçon rêveur s’appelait Gaëtan.
Ses parents qui étaient pauvres ne rêvaient eux que d’une seule chose, c’était d’avoir une vie longue et heureuse. Alors, ils demandaient tous les jours à leur fils de rapporter les pommes d’or qui exaucent les vœux. Ces fruits magiques se trouvaient dans la vallée enchantée et ils permettaient à celui qui les mangeait d’exaucer son vœu le plus cher. .
Hélas, tous les jours, Gaëtan était repoussé par une licorne qui devait garder les fruits magiques. Cette licorne avait une crinière bleue étincelante et un corps blanc indestructible, sa corne était blanche et très pointue et pouvait transpercer tout, même le métal ! Quand la licorne avait de l’affection pour quelqu’un, elle pouvait aussi se servir de sa corne pour le soigner en la posant à l’endroit de la blessure. Elle pouvait aussi soigner ses propres blessures.
Mais pour l’instant, dès qu’elle voyait Gaëtan, elle le menaçait de sa corne et le garçon repartait aussitôt pour ne pas se faire tuer !
Mais un jour, la licorne n’était pas là.
Gaëtan se dit : « Ce n’est pas normal mais je vais en profiter pour détacher la pomme d’or de l’arbre… »
Donc pour une fois, il put prendre une pomme mais après tout ce chemin il avait faim, donc il ne put s’empêcher de manger le fruit tout en songeant, comme d’habitude, à vivre à la cour.
Soudain « POUF », il se retrouva à la cour du roi et c’est à ce moment qu’il vit la licorne qui était enfermée dans l’enclos dans la cour du château.
Mais, avant qu’il ait pu faire un geste, des gardes le saisirent et ils lui dirent : « Et mon p’tit gars, ici c’est un lieu privé, vous n’avez pas le droit d’entrer, repartez.»
Le vœu qui l’avait transporté à la cour lui avait permis de voir la licorne enfermée !
« Pauvre bête ! »pensa-t-il.
Et il prit la décision de délivrer la licorne une fois la nuit venue.
Cette nuit là, il réussit à entrer dans l’enclos où était la licorne sans se faire prendre car les gardes s’étaient endormis et les courtisans avaient tous bu et étaient un peu saouls.
« Est-ce que tu me reconnais ? C’est moi Gaëtan, je vais te sortir de là ! »
Gaëtan lui mit un licol et comme ça, il put sortir la licorne de l’enclos et partir.
La licorne fut très reconnaissante et le paysan et la licorne devinrent des amis inséparables. Mais quand les parents de Gaëtan apprirent qu’il était ami avec une licorne, ils l’enfermèrent dans leur cave très noire et ils ne lui donnèrent que quelques morceaux de pain pour manger car ils croyaient la légende qui disait que cela portait malheur de fréquenter une licorne, même s’ils voulaient juste protéger leur fils !
Pendant ce temps, son amie la licorne s’ennuyait toute seule, alors, elle prit l’initiative d’aller chez ces humains pour savoir ce qui arrivait : les parents du jeune homme eurent très peur en la voyant arriver, et donc pour sauver leur peau, ils sortirent leur fils de la cave et s’enfuirent. Mais Gaëtan était très mal en point car il était tombé malade à cause du froid de la cave et des rats qui l’avaient mordu. Comme la cave était sombre, Gaëtan ne pouvait pas se défendre.
La licorne usa de sa corne qui avait le pouvoir de guérir pour soigner Gaëtan.
Une fois sur pied, Gaëtan décida de retrouver ses parents car ils les aimaient malgré tout. Ils voulaient leur montrer que la licorne ne portait pas malheur.
Alors, il partit à leur recherche et il les trouva cachés dans la forêt maudite où vivaient des monstres légendaires. Au moment où Gaëtan et la licorne arrivaient, les parents de Gaëtan se firent attaquer par une vouivre (un dragon qui crache de l’acide ).
Les parent crièrent: « au secours, aidez-nous par pitié ! »
Gaëtan se dit : « il faut que j’aille les aider, mais que faire ? »
Sans que Gaëtan eut le temps d’agir, il vit la licorne s’élancer pour les sauver.
La licorne enfonça sa corne dans le cœur de la vouivre et elle mourut sur le coup.
Et c’est ainsi que les parents de Gaëtan comprirent la gentillesse de la licorne et qu’ils décidèrent d’habiter dans la vallée enchantée où elle vivait. Gaëtan les suivit avec joie et comme ça, il renonça à son rêve de vivre à la cour.
Car si on a un ami fantastique, il suffit à nous rendre heureux.
Jean
L.D.M.M.
La Disparition De Moumouche
Il était une fois en l’an 3000, un royaume où régnait la reine des fées et où les fées étaient chargées d’exaucer le vœu des enfants. Dans ce royaume vivait une fée nommée Standarte.
Malheureusement, un jour, en voulant exaucer le vœu d’un enfant, Standarte était passée dans le mixeur et depuis, elle ne pouvait plus voler car elle s’était coupée les ailes et elle avait donc pris sa retraite.
Elle portait un chapeau rose et un tutu vert. Elle avait une mouche domestique surnommée Moumouche et une porsche volante. C’était une fée discrète mais malchanceuse, elle devait habiter au bord d’un vieux lac, car sa maison avait brulé avant l’épisode du mixeur.
Depuis, elle habitait dans un saule pleureur au bord de ce lac où elle s’était creusée une sorte de nid dans le tronc du saule.
Un jour, en regardant la télé, elle remarqua qu’il lui manquait des chips et du pepsca cola (l’usine de pepsi et de coca avaient fusionné) . Elle voulait partir en acheter mais arrivée au garage, elle s’aperçut que sa porsche avait disparu. Furieuse, elle cria : « Moumouche, où est ma caisse ? » En effet, Moumouche savait toujours où Standarte mettait ses affaires car notre fée était tête en l’air !
Mais ce jour là, Moumouche ne répondit pas.
Alors, Standarte partit chercher sa boule de cristal mais la boule avait aussi disparu !
Elle décida donc d’aller voir la reine des fées pour qu’elle l’aide à retrouver sa boule et sa voiture. Pour y aller, elle loua une Ferrari volante .
Arrivée au château, la reine lui passa un sacré savon : « c’est trop, tu ne fais rien depuis deux ans. Mais si tu aides un enfant, je t’aiderai à retrouver ta boule et ta porsche»
On entendit un grand silence puis Standarte finit par dire «OK».
Alors, la reine des fées entra une nouvelle destination dans le GPS : «la ferme, 619 rue esprimo». Arrivée à cette adresse, Standarte prise de sommeil, s’endormit et elle vit en rêve Moumouche dans un bocal qui écrivait « 619 » et « help, je vais mourir » sur son aile droite.
Alors elle se réveilla d’ un coup et partit à sa recherche dans toute la maison. Mais elle ne le trouva pas, alors elle partit voir Ctrltab, le petit garçon qui vivait là et qu’elle était censée aider : en effet, peut-être Ctrltab avait-il vu Moumouche ?
Mais il dit qu’il n’avait rien vu. Elle lui demanda qu’elle était son vœu afin d’obéir à la reine des fées.
– Je veux un canon de pirates et un couteau qui change de couleur.
Standarte fit apparaître les deux jouets.
– Mais je veux aussi un détecteur de mensonge;
Comme Ctrltab avait droit à un troisième vœu, Standarte fit apparaître l’objet et lui dit :
– Mais il faut l’essayer pour voir s’il marche vraiment.
Standarte s’amusa à poser des questions à Ctrltab et en passant, elle redemanda s’il n’avait pas vu une mouche.
L’enfant redit « non », mais le détecteur s’affola. Alors, la fée comprit que l’enfant avait menti et lui demanda où il avait mis la mouche.
– Je sais pas, répondit-il !
– T’es sûr ?
– Dans le garage mais je vais le dire à ma mère !
Et Ctrltab se mit à pleurer !
Standarte se précipita vers le garage et elle aperçut Moumouche enfermée dans un bocal qu’elle cassa aussitôt.
– Ah, ben quand même, t’aurais pu venir plus vite, cria Moumouche !
Depuis ce jour, la reine des fées a interdit aux fées de venir visiter Ctrltab. Quant à Standarte et Moumouche , elles vivent heureuses près de leur lac. Standarte a acheté une nouvelle voiture et la reine des fées lui a donné une nouvelle boule de cristal avec laquelle elle fait ses courses. En effet, depuis cet événement, elle a vraiment pris sa retraite!
Accel
La rencontre du yéti et du petit garçon
Il y avait jadis, une légende au Népal qui parlait du Yéti. On se la racontait aux veillées et les nuits noires.
Le Yéti, personne ne l’avait jamais vu, sauf quelques uns qui prétendaient l’avoir déjà vu et qui expliquaient qu’ils avait failli y rester. On imaginait le Yéti grand, blanc-gris avec de grands yeux tous ronds, faisant peur aux enfants et aux adultes. On racontait qu’il habitait dans les hautes montagnes du Népal.
Un jour, un enfant très malin voulut voir ce Yéti car il avait vu pas loin de chez lui, des empreintes presque aussi grandes que sa tête qui allaient jusqu’en haut de la montagne.
Alors, une nuit très tard, vers minuit, il prit des provisions et partit à la recherche du Yéti. Ça ne se passait pas très bien chez lui alors il était assez content de partir.
Le garçon pensait ne pas avoir d’ennuis, mais au bout d’une heure où deux une drôle de bête sortit de derrière un rocher. « Le Yéti !» se dit l’enfant en ayant peur.
La bête était petite, blanc-gris avec de grands yeux tous ronds, mais pourtant, elle ne ressemblait pas du tout au Yéti. Si, une petite ressemblance mais le Yéti, lui, n’était pas petit, enfin pas d’après se qu’on racontait dans la légende…
– Qui, qui, qui c’est…dit l’enfant terroriser.
– Falut, dévolé mais mon popa m’a dit de ne pas parler aux écranzers…………………. Tu t’appelles comment?
– Euh… Tu parles? Et, tu vas pas me dévorer?
– Bien fur que z’parle. Et pourquoi je te manzerai, hein? Va pas bien sui la, ch’uis tomber fur un, un… Un fou et un peureux!!! Je ne manze que de la salade des plantes et…
– T’es herbivore quoi.
– Ouais; ça dois être sa…
– Donc, j’ai rien a craindre?
– Rien.
– Sa veut dire qu’on peut être amis?
– Euh; amis? Ah, oui bien sûr!!!
– Mais rassure moi, au début, quand on c’est rencontrer, tu ma dis que tu n’avez pas le droit de parler au étranger; et que c’était ton père qui t’avais dit ça. C’est qui ton père?
– Bas, en fait f’est un fecret que je n’ai pas le droit de répéter…
– Aller; des amis, sa ce dis tout.
– A oui peut être, mais là fa crains…
– Aller dit!!!
– Tu garderas le fecret, hein?
– Mais oui! T’inquiète.
– OK, j’me lance….. Mon père c’est, c’est… C’est le grand grand grand et grand magifique…
– Magnifique tu veut dire!!!
– Bon tu me laisse finir oui ou non?!
– Oui bien sûr, vas y!
– Donc, je disais, grand grand grand et grand magifiq…
– Magni…
– Magnifique oui, oui, oui… Je sais; c’est pas ma faute fi je c’est pas parler…
– Bah, t’inquiète pas je t’ apprendrai!!! Le plus important c’est que je te comprenne! Alors c’est qui ce fameux papa, hein?
– Ben… En fait c’est le Yéti.
– Gloups…
– Mais ne t’inquiète pas il est fuper fuper gentil. Il lui arrive de f’énerver un peu mais il est fimpas!!!
– Euh, ouais tu est sûr?
– Fûr!
– Ok… Tu crois que je peut le voir?
– Heu, ze f’est pas trop… En plus je vais rentrer un peu tard alors; bah fi tu veux mais tu reste dehors et fi il est énerver tu t’en va et fi il est content tu viens. Mais attention par contre ne viens pas trop vite, on ne sais jamais!!!
– Comment sa, on ne sais jamais? Tu veux dire qu’il peut m’attaquer comme sa, s’en raison?
– Ben non, mais on ne sais jamais, quoi de toute façon je le retiendrez. On est amis,non???
– Ouais, ouais…
– Bon on y va! Papa?! Tu est là???
– OUI, JE SUIS LA!!! QUI A T’IL MON FILS???
– Heu, ben tu es de bonne humeur?
– OUI POURQUOI???
– J’aimerai te présenter un ami a moi!
Et c’est ainsi que le petit garçon rencontra le Yéti. Il était calme, attentif et soigneux avec tout ce qu’il faisait. Le garçon se sentait à l’ais et a un moment il pensa a ses parents et décida de rentrer chez lui.
– Tu reviens vite hein?!
– Oui, oui bien sûr!
– TU SERA LE BIEN VENU, PETIT HUMAIN.
– Merci pour tout!!!
– Merci surtout a toi pour m’avoir appris a bien parler!
– De rien, c’est normal entre ami non?
– Reviens vite!
Mais le petit garçon était déjà en bas de la montagne. Il était content d’être le premier a avoir rencontrer le Yéti, il allait le raconter a tout le monde! « Eh; un instant, si je le dit a tout le monde je dénoncerai mon ami… »
Il décida de garder le secret et de ne jamais le répéter a qui que ce sois.
C’est depuis ce jour que tous les soirs vers minuit un petit garçon sort de chez lui et va en haut de la montagnes…