Les CM2 : les nouveaux mousquetaires

Tous les mardis, nous allons  dans une salle d’armes à Ma Campagne faire de l’escrime. Notre maître d’armes s’appelle Rémi.

Ce sport consiste à toucher son adversaire avec son arme sans se faire toucher.

A la dernière séance nous avons fait de l’escrime artistique, ce qui consiste à faire comme au théâtre et au cinéma : On était par deux, on pouvait faire tous les mouvements que nous voulions. Il  fallait en inventer quinze  et on devait inventer un texte. Ensuite, on s’est entraîné pendant 1 heure et on a présenté notre mini spectacle à la classe.

“Avec Arthur, on a fait comme dans Star Wars. C’était mieux que les autres séances !”  Nathan

Nathan, Lény.

Nous avons vu 3 sortes d’arme : le sabre, l’épée, le fleuret.

Avec le fleuret nous devons nous toucher la poitrine.

Le capuce protège les doigts pour ne pas fouetter les doigts de l’adversaire (photo 1).

Les masques servent à protéger la tête pour ne pas fouetter, même sans faire exprès (photo 2).

Quand nous allons à l’escrime nous ne nous servons que du fleuret. Le fleuret a une mouche au bout pour ne pas se blesser, la nôtre est en caoutchouc (photo 3).

Notre tenue est une veste avec des cibles de couleur rouge, bleu ,vert, jaune (photo 1).

Le salut est obligatoire pour montrer qu’on respecte son adversaire au début du combat :  La pointe vers le ciel, puis vers soi (photo 3) et pour terminer, la pointe par terre.

Arthur, Emma-Louise, Julien et Violaine

Sur la première photo nous nous voyons entrain de combattre nos adversaires. Sur la deuxième photo, nous voyons Rémi entrain de nous expliquer qu’il faut rester à la même distance de son adversaire.


Nous avons fait des petits exercices pour s’échauffer les cuisses :

Exercice 1 :  Sur une échelle posée par terre, nous devions faire des marches entre les barreaux sans mettre les deux pieds dans la même case. Puis arrivés à un plot, nous devions faire des retraites.

Exercice 2 : Nous étions par deux l’un avait un gant dans la main et au top, devait le lâcher pendant que l’autre devait faire une fente pour rattraper le gant au vol.

C’était difficile de ne pas mettre les deux pieds dans la même case dans l’exercice 1.

Les deux exercices étaient fatigants et ça faisait mal à l’intérieur des cuisses !

Joséphine et Marina

Voici notre maitre en train de nous expliquer ce qu’on doit faire : (1 photo) l’esquive; (photo 2 et 3 ) l’attaque et la parade.

Nous nous entrainons à faire une position qui s’appelle la fente. C’est une position qui sert à attaquer : La fente est une position très importante à l’escrime, elle sert à aller toucher son adversaire avec l’ épée en un seul pas, qui doit être le plus loin possible.

Le but du  jeu proposé ici est d’aller toucher son adversaire avec la main.

Camille, Julie

On  fait la marche,  mais lorsqu’on attaque en escrime, on doit faire la fente (photo 1) pour pouvoir toucher l’adversaire.

Les  façons principales de se défendre sont : la parade (photo 3), la retraite et l’esquive.

“Moi, j’ai préféré la retraite parce qu’on recule et on ne se fait pas toucher!!!” Flore

“Moi j’ai préféré l’esquive et la parade, on peut désarmer son adversaire et le toucher ensuite !” Mathilde

Voici quelques duels :

 

La gymnastique des CM2

Tous les lundis après-midis, nous allons au gymnase de L’ancienne Espérance où nous retrouvons Chantal notre animatrice. Au début, c’ est l’échauffement sur le praticable  : Chantal nous trouve des exercices d’échauffement. Ensuite nous faisons 3 équipes dans une autre salle où nous faisons des sauts, des roulades… Pour la tenue de gym il ne faut pas de jeans car on est trop serré dedans pour faire le grand écart par exemple.

La maîtresse nous a pris en photo ci-dessus avant de commencer l’échauffement.

Arthur et Kevin

L’échauffement

Avant de commencer les exercices,  nous nous échauffons sur le tapis qui s’appelle le praticable. En premier, nous faisons 3 tours du praticable en trottinant et un tour en marchant. Puis, nous nous échauffons les chevilles : nous prenons notre cheville et nous la tournons d’un côté puis de l’autre. Pour nous étirer le dos, nous faisons le pont puis nous faisons la petite boule pour que ça tire moins (Jason).

Violaine, Nolwen

Après, c’est au tour du bassin en tournant les hanches. On voit Nasser qui est en train de tourner ses genoux parce qu’on va faire le saut groupé ensuite.  Nolwen fait des abdominaux pour se muscler et les muscles servent à faire plein de choses comme le salto où on se sert des abdos pour se soulever.

Nous étirons les jambes et les muscles du haut des cuisses, c’est une sorte d’appui facial (normalement, le but de l’appui facial est de toucher le ventre contre le praticable). Puis encore nous faisons la marche de l’éléphant : nous devons marcher les jambes tendues .

Nous faisons la brouette : nous devons nous tenir par les genoux et pas par les chevilles car sinon, nos genoux pourraient se tordre.

Sur la 1ère photo, on voit les pas chassés qui servent à étirer le bassin. Ensuite, on se porte sur le dos en prenant deux personnes qui ont à peu près la même force, pour se muscler.

Julie

Les barres asymétriques

Nous roulons  autour de la barre et il faut se retenir pour ne pas tomber et arriver sur le tapis les pieds joints et c’est fini !

Lorenzo

La grande barre

Pour monter, il faut tenir la barre tout en poussant la planche de bois pour aller mettre ses mains bien au milieu, comme Marina le fait sur la 1ère photo. Il faut faire attention de ne pas commencer avant que l’autre soit sorti des cubes de mousse. On se met comme Kévin et Nathan pour pouvoir se balancer et tomber en avant. Moi, j’aime bien cet exercice puisqu’il faut utiliser la force de ses bras !

Nasser

Les anneaux

Nous  montons sur une planche et nous  attrapons  les grands anneaux, nous nous balançons et nous sautons dans les cubes en mousse ! C’était  simple et très  bien parce que ça nous défoule !

Jason, Nathan

Sur les petits anneaux, il faut se mettre la  tête en bas et les pieds en haut tout en tenant l’équilibre. Cela fait travailler les bras et les abdos ! On voit Joséphine le faire mais elle est trop penchée et pas assez droite. Moi, je trouve que c’est facile car chez moi, je m’entraine sur une branche d’arbre et j’arrive à tenir longtemps.

Elise

 

Le petit trampoline

Le petit trampoline nous sert  pour faire un salto : Nous courons sur la piste rouge puis nous sautons à pieds joints sur le trampoline, pour avoir un bon appui, pour sauter plus haut et pouvoir faire une roulade en l’air. Nous  trouvons que quand on est en l’air, on dirait qu’on vole ! On le voit sur les photos 1, 2, 3 et 9.

Lény, Marina et Maxime

Chantal nous a demandé de sauter plusieurs fois sur le trampoline et de passer au-dessus du cheval d’arçon pour retomber sur un tapis. Il faut lever les jambes tendues très haut pour pouvoir faire comme une sorte de pirouette. J’ai adoré !

Manon

Le grand trampoline

Nous devons sauter le plus haut possible tout en tournant les bras en arrière, comme à l’échauffement. Il faut bien s’appuyer au centre du trampoline, il y a une croix pour savoir où est le centre. Nous avons fait 2 sortes de saut : le saut tendu ( le corps tout droit) et le saut groupé (on met les genoux en avant). Ce qui est difficile, c’est de s’arrêter en tendant les bras et en pliant les genoux.

Moi, j’aime bien rebondir mais je ne sais pas bien faire les sauts, je tombe tout le temps !

Nasser

La poutre

Nous marchons sur la poutre puis nous nous mettons accroupi pour faire la roulade. Dès qu’on sent que l’on va tomber, on doit tout lâcher autrement on peut se faire mal.

“Je trouve ça bien!” Séphora

“Quand on se fait mal, ça fait très mal ! Mais comme je m’étais mise à genou au lieu d’accroupie, c’était évident de ne pas réussir !” Joséphine

Séphora et Joséphine

Les roulades

Pour faire la roulade arrière, il faut partir les mains derrière les oreilles comme Julie. Pour nous entrainer, Chantal nous mettait un tapis incliné au début. Il faut arriver debout, sans les mains.

Pour faire la roulade avant,  il faut partir accroupi et rouler en rentrant ta tête, pour se relever il faut le faire sans les mains, pas comme Camille. On s’est aussi entrainé en prenant appui sur le cheval car tu es plus en l’air ce qui t’aide à réussir ta roulade, comme Lény.

Kinz

Le cheval d’arçon

Sur le cheval d’arçon, il fallait avoir les jambes derrière et les passer devant sans toucher le cheval d’arçon. Cela fait travailler les muscles des bras car il fallait rester 5 secondes les jambes pliées sans s’assoir. J’ai trouvé ça un peu difficile surtout pour passer les jambes, mais après, j’y arrivai quand même !

Camille

Le saut de cheval

Là, il faut courir sur le tapis rouge et sauter sur le trampoline pour rouler sur le cheval et atterrir sur les pieds. Faire une roulade sur ce cheval peut être difficile car on peut tomber sur les côtés, mais heureusement, ça n’est pas arrivé ! J’ai bien aimé mais une fois, quand je suis retombé sur le cheval, j’ai mal atterri et j’ai rigolé !

Lorenzo

Sortie sportive

Mardi 7 juin 2011, les classes de CE2 et CM1 sont allées au stade des Trois Chênes pour participer à une rencontre d’athlétisme.

Nous étions avec les CE2 et CM1 de l’école Victor Hugo, et avec les CE1 – CE2 de l’école Ronsard.

Maïté, la maman d’ Émeline Moreau et la maman de Lény nous ont accompagnés.

Nous avons été accueillis et encadrés par les moniteurs sportifs:  Chantal, Colette, Richard, Jean-Jacques, Jean-Claude, André, Jean, Éric…

Nous avons travaillé en binômes: pendant qu’un élève faisait une épreuve, son co-équipier l’observait et écrivait ses performances.

Comme épreuves il y a eu:

– le lancer de vortex

– la course de haies

– la course de vitesse

– le multi-bonds

– la course de relais

 

L’après-midi, nous avons joué au béret, à l’épervier, à la thèque…

Les CM1 ont terminé vainqueurs de la course de relais !

A midi, monsieur Astoul nous a apporté le pique-nique. C’était bon !

Avant de repartir, nous avons eu un goûter avec une boisson.

C’était super ! On s’est bien amusé !

Les classes de CE2 et CM1

 

 

Aviron classe CM1

Nous avons pris une photo devant le hangar de l’aviron, puis quelques enfants sont allés sur l’eau pendant que les autres qui ne sont pas allés sur l’eau sont allés au tank a ramer. Puis nous sommes rentrés à l’école.

Audrey

Avant de faire de l’aviron, nous avons mis un gilet de sauvetage. Nous avons pris les bateaux (ce sont des rames tonic) et nous les avons mis sur l’eau.

Dylan

Nous avons fait une photo de groupe, c’est la maman d’Élise qui a pris la photo.

Manon

Quand nous avons tous mis notre gilet de sauvetage, la maman d’Élise nous a pris en photo.

Arthur

Jeudi nous avons fait notre première séance l’eau. Maxime est tombé à l’eau. J’avais mal au ventre. Nous connaissons tout le vocabulaire (la coulisse, tribord, bâbord…).

Julie

On aide ceux qui vont monter sur le bateau qui s’appelle la yolette.

Lorenzo

On était sept enfants à porter le bateau que vous voyez.

Dylan

Dans le hangar nous sommes allés chercher la yolette. Tout le monde a aidé à la porter. Sous la yolette il y avait comme une remorque. Nous avons mis le bateau sur l’eau ; cinq enfants sont montés dedans, quatre rameurs plus un barreur. L’aviron est un sport qui se pratique sur l’eau.

Manon

On a porté la yolette, Il fallait le faire tous ensemble, toute la classe, car c’était très lourd. Nous n’avions pas les mêmes pelles que sur les rames tonic, celles de la yolette sont plus grandes.

Lény

Le bateau à cinq est tellement lourd qu’il faut tout la classe pour le mettre sur l’eau.

Milosz

Les bateaux individuels sont des bateaux où il y a un seul rameur, ils sont lourds.

C’est impressionnant la première fois sur l’eau car ça bouge beaucoup. Sur notre bateau il n’y avait pas de place pour le barreur (celui qui dit tribord, bâbord…). Il y a quelqu’un qui est tombé, alors il devra amener un gâteau à la prochaine séance. Dans le bateau il y avait un cale-pieds, et une coulisse. Le premier jour on a ramé sans utiliser les jambes.

Élise

Le bateau individuel est un bateau à deux places, la première place est la place du passager, et la deuxième est la place du rameur. Le passager (ou barreur), dit a « tribord » ou « bâbord » ou « continue tout droit ».

Damien

Sur cette photo il y a quelques bateaux individuels et dans le hangar il y a tous les autres bateaux.

Nasser

Les bateaux ne sont pas lourds, on peut les sortir  nous-mêmes.

Milosz

Nous avons aidé Itziar et Sacha à poser les bateaux individuels sur la Charente pour que les enfants puissent naviguer sur l’eau. Les enfants qui n’avaient pas toute leur tenue d’aviron sont allés dans le hangar pour s’entraîner. (Maxime qui est allé sur l’eau est tombé à l’eau, ce qui fait que la prochaine fois nous aurons un gâteau).

Mathilde


La yolette est un grand bateau à cinq places. Celle qu’on voit sur la photo est une yolette à quatre rameurs et un barreur.

Damien

Le bateau que vous voyez sur la photo s’appelle la yolette. On peut y monter à cinq, quatre rameurs et un barreur. Les pelles sont plus grandes ; le bateau est plus difficile à diriger car les rameurs doivent ramer en même temps.

Joséphine

Le jour où nous sommes allés sur l’eau, les garçons ont dû prendre un bateau à cinq places donc quatre places rameurs et une place barreur. Le bateau s’appelle la yolette.

Marina

La maîtresse, les animateurs et les enfants ont mis les bateaux à l’eau. Dans la yolette il y avait Simon, Lény, Milosz… Moi, je suis tombé a l’eau. Il faut que j’apporte un gâteau la prochaine fois.

Maxime

Dans le plus grand bateau, la yolette il y avait : Simon, Nathan, Lény et moi. C’était génial, on ramait à l’envers. Le barreur, Damien, nous disait la direction ; au début c’était dur, mais après c’était mieux. Au bout d’un moment on a failli rentrer dans un grand bateau.

Arthur

Sacha, un de nos moniteurs, nous aidait à monter dans un bateau individuel : on tient le bord du bateau avec la main droite, après on tient les poignées des pelles et puis on monte dans le bateau.

Jason

Simon, Nathan, Arthur, Lény et Damien sont montés sur la yolette, et Sacha, notre moniteur les a aidés à avancer grâce au bateau à moteur.

Lorenzo

La classe de CM1 est allée faire de l’aviron. Certains sont montés sur une yolette puis il en ont fait, et Sacha, sur un bateau à moteur les aidait.

Emma Louise

Cinq garçons de la classe de CM1 sont allés dans la yolette (bateau). Il y avait quatre rameurs et un barreur (celui qui guide les rameurs) car les bateaux vont à l’envers alors il y a besoin d’un barreur.

Séphora

La yolette est un bateau à quatre places pour les rameurs et une place pour le barreur (qui dirige). Il y avait Simon, Nathan, Arthur et Lény.

Le barreur était Damien ;  Lény et Milosz échangeaient leur place en allant dans  le bateau à moteur.

Jason

Mathilde, Nolwenn, Dylan se sont entraînés à ramer et le barreur dirigeait les rameurs ; il y avait deux groupes d’enfants au tank à ramer.

Audrey

Nous nous sommes entraînés au tank à ramer. Le tank à ramer a cinq places comme la yolette. Le tank à ramer est dans le hangar, là où on met tous les bateaux. Dans le hangar il y a aussi le carnet de sortie.

Nasser

Sur la photo le bassin s’appelle « le tank à ramer ». C’est comme la yolette sauf que c’est sur un bassin ; sur ce bassin on est à quatre rameurs et un barreur.

Joséphine

Il y a des enfants qui n’ont pas emmené tous leurs habits donc ils ont fait du tank à ramer. Le tank à ramer c’est une piscine avec un faux bateau à l’intérieur ; c’est pour s’entraîner à ramer à plusieurs.

Nolwenn

Certains élèves qui n’avaient pas toutes leurs affaires sont allés dans le tank à ramer (petit bassin). Ils se sont quand même entraînés à ramer.

Séphora

Des élèves ne sont pas allés sur l’ eau car ils avaient oublié certaines de leurs affaires , donc ils sont allés au tank à ramer : c’ est une sorte de piscine transformée avec une sorte de bateau en métal à l’ intérieur et avec des rames. Moi j’aime bien le tank à ramer, car on peut s’y entraîner et c’est rigolo parce qu’il faut ramer ensemble ; c’est dur.

Marina

Nous avons ramené les bateaux individuels et la yolette sur l’eau, après on a pris les pelles de couples, on les a mises dans les dames de nage. Pour aller dans le bateau, le rameur monte en premier: il met son pied devant la coulisse, après il met le deuxième pied dans le cale-pieds et s’assoit.

Quand le barreur est installé, le rameur prend les poignées des avirons, puis le bateau peut partir.

Kinz

Cinq personnes étaient sur le bateau qui s’appelle la yolette. Il y avait Simon, rameur, Arthur, rameur, Lény, rameur, et moi Nathan, rameur, et enfin Damien, barreur. Nous sommes presque rentrés dans le bateau restaurant. Sacha et Itziar nous ont fait faire un exercice: lever les pelles ; le bateau penchait de l’autre coté.

Nathan

La voile

Nous avons commencé un cycle de voile au plan d’eau de St Yrieix, et ce, jusqu’aux vacances de la Toussaint. J’ai pris ces photos le mardi 21 Septembre, jour de grand soleil et sans beaucoup de vent, avant que l’automne ne s’installe et que moussaillons et photographe n’affrontent des conditions climatiques plus rudes… Nous espérons ainsi donner envie à tous de pratiquer ce sport !

La maîtresse des C.M.2

Avant de partir à la voile, on mange puis avant que la cloche  ne sonne, on s’habille en tenue de voile et on va en récréation. Puis, dès que la cloche sonne, on part et le bus nous amène au plan d’eau de St Yrieix. On pose nos affaires dans les vestiaires puis si on veut, on peut aller aux toilettes. Ensuite, on entre dans la voilerie… Lucas


La voilerie

En rentrant dans le club de voile , nous posons nos sacs et nous allons dans la voilerie , nous prenons un gilet de sauvetage : nous nous l’attachons en fonction du poids et de la taille qu’on fait, il ne faut pas qu’il touche aux oreilles, sinon il nous tient mal.

Puis nous allons  devant le tableau pour que Damien ou Sylvie marque les groupes de 2 en face du numéro du bateau ,  ensuite il y en a deux qui sortent la voile du trou où elle est rangée, il faut aider l’autre sinon on la fait tomber!

Après, celui qui ne porte pas la voile prend la dérive et le gouvernail et les pose sur le banc devant son bateau.

Pour la première séance, le bateau ci-dessous nous a permis de revoir le vocabulaire , et de voir comment installer la voile.  Mylhéna et Moïna


Avant le départ

Là, on vient de gréer notre bateau et on s’assoit pour entendre les explications des moniteurs : on regarde le drapeau pour savoir d’où le vent vient. Sylvie nous rappelle les consignes de sécurité qu’on avait vues à l’école,  puis elle nous dit quand on doit partir et le parcours qu’on va faire. Marine



Le départ

Avant de partir, nous avons mis le gouvernail et la dérive à l’avant du bateau. Puis, on a mis le mât dans le trou et on a accroché la bôme au mât. Parfois c’est dur car sur certains mâts, le crochet est dur à manipuler ! Après, on accroche la livarde à la voile grâce à un élastique tenu sur le mât. On peut relever la bôme pour que ce soit moins difficile. Enfin, on accroche le mousqueton de l’écoute qui tient la voile mais des fois, on se fait gêner par la bôme des autres bateaux qui nous cogne !

Notre partenaire monte dans le bateau et l’autre  le pousse dans l’eau. Et il saute lui aussi à bord ! Le plus difficile, c’est de pousser le bateau : il est quand même assez lourd car c’est du fer ! Et il ne faut pas trop le pousser car, sinon, l’autre se mouillerait en sautant! Violaine et Dorian

Quand on arrive sur l’eau, si on a bien écouté Sylvie, on va vers la bouée demandée et le premier arrivé a gagné. Si c’est une régate, on gagne un tour de bateau à moteur : moi j’aimerais bien, mais il faut gagner !

Il faut bien sentir le vent  car il peut y avoir un coup de vent et si on ne met pas bien la voile, on pourrait rater le coup de vent ! Il faut savoir d’où le vent vient et bien diriger la voile.  Jean

Sur l’eau

Nous pouvons accrocher la voile à un crochet sur la bôme pour ne pas nous la prendre dans la tête, car ça raccourcit la voile. Mais ça va moins vite.

Sur l’eau il ne faut  pas faire n’importe quoi car on peut chavirer et tomber à l’eau ! Mais moi, je mets souvent les bras hors du bateau pour les tremper dans l’eau et à cause de ça, la dernière fois, je me suis pincée entre 2 bateaux et j’ai eu un bleu qui est devenu violet autour !   Amel

Il ne faut pas se lever dans le bateau. Quand la voile est en face d’une personne, c’est elle qui la dirige pendant que l’autre gouverne. Les deux enfants sont assis face à face : celui qui gouverne regarde l’endroit où il va et essaie d’aller tout droit. Celui qui tient l’écoute ( la corde qui tient la voile) doit essayer de trouver la meilleure position pour sa voile afin d’aller le plus vite. Elisa

Nous avons fait une régate (course de bateau), il y avait beaucoup de slaloms  jusqu’à l’arrivée. Il ne faut pas s’emmêler dans la bouée en passant trop près, car la dérive se prend dans les câbles ! Mais on est obligé de passer assez près quand même pour tourner.

Ça va plus vit quand il y a du vent, c’est mieux, tout le monde est content ! Arthur

Quand il y a du vent, on doit tirer l’écoute pour trouver où ça tire le plus pour aller le plus vite et c’est compliqué. Il faut baisser la tête car la bôme change vite de sens. Il faut alors changer de rôle. Julian

Quand on est sur l’eau, on ne doit pas se mettre debout sur le bateau. Mardi dernier, nous avons fait trois parcours.

Premier parcours : on devait partir de la plage puis aller à la bouée bleue puis Sylvie nous a remorqués de l’autre côté du plan d’eau, au sud.

Deuxième parcours  : le même,  on était dans le sens du vent.

Troisième parcours : on devait faire des slaloms entre des bouées. Guillaume

La voile c’est assez dur quand il n’y a pas de vent et que nous n’avons pas de rame parce qu’on n’avance pas vite. Les premières séances sans trop de vent nous ont permis d’apprendre à diriger et à choisir la bonne position pour la voile. Tamara


Pour être remorqué…

Sylvie nous dit par exemple : “On doit aller s’accrocher à la bouée bleue”. Ceux qui arrivent en 1er à la bouée bleue prennent l’attache de la bouée et la corde devant leur bateau et ils les attachent entre elles. Le 1er bateau se prépare ensuite à attacher le suivant : un des enfants prend la corde du bateau qui arrive et l’accroche à la corde à l’arrière de son bateau et ainsi de suite… Maëva

C’est difficile car on arrive en même temps et on ne sait pas qui est déjà accroché. Et aussi de viser le bon bateau et pas un bateau qui n’est pas accroché. On risque de se faire mal aux doigts en attrapant un autre bateau donc il faut attendre qu’il s’approche et après, on le ramène vers notre bateau. Maxime



L’arrivée sur la plage

Quand Sylvie nous dit de rentrer, on vise notre pneu : il y a des pneus pour poser les bateaux retournés dessus, il faut compter pour savoir lequel est notre pneu. Si on n’a pas visé le bon pneu, il y a plus de travail à faire car il faut porter le bateau s’il est sur la plage, ou tirer le bateau dans l’eau jusqu’à son pneu.

On enlève la dérive, dès qu’on est à quelques mètres de la plage, mais pas trop tôt sinon le bateau n’écoutera pas ; puis le gouvernail, pas trop tôt sinon on ne pourra plus tourner.

Un enfant descend alors du bateau et il  le tire sur le sable. Après nous remontons le bateau à 4 minimum puis nous ramenons les bateaux à leur pneu. On doit remonter les bateaux qui sont dans notre équipe, mais si on a fini, on peut aller aider les autres équipes. Liliah et Amaury


Le rangement

D’abord, je range le gouvernail et la dérive dans la voilerie. Puis,  je vais étendre la voile sur l’herbe pour qu’elle sèche. Après, on porte les bateaux à 4 minimum pour les retourner et vider l’eau. On les pose sur les pneus. Enfin, on plie notre voile en triangle, on pose la bôme au milieu contre  le mât et c’est avec la corde (l’écoute) qu’on serre bien la voile. Et on va la ranger. Ce n’est facile car on est mouillé, on a les mains qui glissent et donc, on a envie d’aller se sécher !  Farsia, Nicolas et Nathan.


Pour aller se changer, on doit d’abord enlever le gilet  de sauvetage, on le referme par les 3 attaches. On va le mettre où il était. Ensuite, on va se changer dans les vestiaires : il faut se dépêcher car le bus est tout le temps à l’heure  et des fois, c’est dur parce qu’on doit se changer entièrement ! Accel

La rencontre hand/rugby des C.M.2

Le rugby

Tous les jeudis, avec Jean notre entraîneur du rugby, nous nous entraînions à  faire des matches et des passes. Pour le jour du tournoi, le 15 Juin, les équipes étaient formées ainsi :

– groupe 1 : Lucas, Angélique , Idrisse, Rémy, Pauline, Emma, Adèle, Cédric, Sophian. Ils sont arrivés 2 ème/7

– groupe 2 : Léo, Florian, Mickaël, Bryanna, Maëva, Charline, Clarisse, Iulia. Ils sont arrivés 5ème/7.

Nous étions très contents mais la pelouse était très glissante.

Conclusion: tout le monde a bien joué même si certains n’ont pas aimé perdre…

Florian P et Sophian G.

Hand-ball

L’après-midi, nous avons commencé le hand-ball. Nous avons été partagés en 3 groupes car il y avait 4 terrains. Les écoles étaient divisées en équipes de 5 joueurs,  il y avait Paul Bert 1 : Florian, Idrisse, Iulia, Clarisse, Rémy, Adèle → 1 égalité, 3 victoires, 0 défaite

Paul Bert 2 : Léo, Lucas, Angélique, ,Charline, Pauline → 1 victoire, 2 défaites,1 égalité

Paul Bert 3 : Maëva, Emma , Sophian, Mickaël, Bryanna → 4 victoires : donc nous avons failli gagner au classement !

Nous avons affronté les C.M.2 de Victor Duruy et Ferdinand Buisson. Le terrain était en gravier rouge et les buts n’avaient pas de barre horizontale, il ne fallait pas tirer trop haut.

Malheureusement, nous avons joué sous la pluie puis nous avons arrêté car la pluie était devenue plus forte. Donc nous nous sommes réfugiés, dans la salle du skate park .

Nous avons tous apprécié malgré la pluie.

Emma C. Maëva F.