La retransmission de notre projet de l’année sur l’ïle Marquet

Toute cette année, vous avez pu suivre nos aventures sur le beau milieu naturel de notre quartier qu’est l’île Marquet. En voici la dernière étape : la retransmission devant d’autres classes ayant aussi travaillé avec Charente Nature. Il s’agissait d’un questionnaire sur la faune et la flore de l’île photographiées lors de notre visite au printemps. La maîtresse

Le lundi 6 Juin, nous sommes  partis à pied de l’école jusqu’au plan d’eau par la coulée verte. Nous  avons fait  une pause pour manger et faire une partie de thèque. Puis nous sommes repartis pour arriver  à Nautilis. Dès que nous sommes arrivés sur la patinoire couverte, nous avons  dû attendre les autres classes. Ensuite, dès que tout le monde est arrivé, nous avons pu commencer : la première classe nous a fait  un quizz sur Rouletaboule (travail sur les déchets). Ensuite, une autre classe sur  le cycle de l’eau, une autre classe  sur les climats. Les enfants présentaient des chansons, des affiches, des diaporamas…

Enfin, ça a été à nous : Chacun d’entre nous a présenté quelques photos d’animaux ou de végétaux croisés sur l’ile Marquet en posant des questions. On devait prendre un micro et attendre que la photo s’affiche. C’était bien mais nous n’avons pas eu le temps de chanter  notre chanson sur les milieux naturels.

Nous sommes rentrés en bus  avec en cadeau des herbes aromatiques .

Si vous ne connaissez pas encore l’île Marquet, allez vous y balader cet été !

Farsia et Lucas



 

Les coulisses du musée

Nous avons terminé notre cycle de visites au musée des beaux arts par une visite des coulisses, que peu de gens peuvent découvrir : merci à Lionel Markus, notre guide de l’année et bon courage à lui puisqu’il part d’Angoulême pour s’occuper d’un autre musée. Nous espérons qu’il sera vite remplacé pour que les classes de l’année prochaine puissent aussi travailler sur les merveilles de notre musée municipal gratuit.

Pardon pour la mauvaise qualité des photos, mais pas de flash pour ne pas abimer les œuvres!

Nous espérons, avec nos articles publiés cette année, vous avoir donné envie de visiter le musée. Si ce n’est pas fait, profitez-en pendant les vacances !

La maîtresse de C.M.2

Les métiers cachés

Lionel Markus nous a fait rencontrer les personnes présentes au musée ce jour là. Ils nous ont parlé du musée et de leur métier.

Photo 1 : La directrice du musée nous a dit qu’il fallait revenir avec nos parents car son musée est gratuit et très grand.

photo 2 : Nous sommes allés visiter le studio du gardien de nuit, nous avons aussi vu l’ordinateur avec toutes les caméras .

photo 3 : Nous sommes allés voir le bricoleur bricoler : Il répare les dégâts des expositions, il peint des choses pour les expositions par exemple .

photo 4 : Nous avons porté une phalange de dinosaure trouvée à côté de Cognac. Cette phalange de dinosaure était lourde car elle était fossilisée!!

photo 5 : Nous avons porté une molaire de dinosaure.

photo 6 : Nous avons vu un faux chantier pour faire comme les archéologues, il y avait de faux squelettes mais aussi de vrais objets. En juin cette activité sera ouverte à tout le public.

Tamara, Maëva et Nathan



Les réserves

Nous avons été dans les réserves du musée, où on stocke les objets fragiles : des tableaux qu’il faut restaurer ou qui s’abimeraient s’ils étaient trop à la lumière. Mais aussi des objets que les scientifiques  ne connaissaient pas, comme la sorte de chapeau sur la 1ère photo : il venait d’Afrique, on suppose que ça se met sur la tête.

On a vu pleins d’objets et d’armes bizarres dans des boîtes numérotées avec des codes couleurs pour savoir si on pouvait les afficher. Nous avons aussi vu un fusil des temps anciens, il était très lourd. Il y avait quelques toiles  sans cadre : ces tableaux étaient rangés grâce au compactus (dernière photo.) : il faut tourner une manivelle pour voir les tableaux .

Dans ces salles, il ne fait ni trop chaud ni trop froid et il n’y a pas beaucoup de lumière afin de ne pas abîmer les œuvres.

C’est très rare pour des élèves d’aller dans les réserves, nous avons eu beaucoup de chance d’y aller,  peu d’élèves ont en eu cette chance !

Dorian et Jean


Les poissons préhistoriques à 2d3D

Le film

Vendredi 18 Février, nous sommes allés à 2d3D qui est un studio d’animation dans la rue de l’école où l’on crée des films.

On y a vu un documentaire en 3D interactif sur des poissons qui vivaient il y a 400 millions d’années.

Au début du film, on voit une mangrove, c’est une zone marécageuse dans laquelle les poissons nagent entre les racines des palétuviers. Puis pendant 15 minutes, on a vu nager des poissons dans la mer avec des commentaires explicatifs.

Ensuite, Florent Mounier, le papa de Kinz qui a créé ce film nous a montré un autre logiciel dans lequel on tenait une manette de joystick pour manipuler la direction de la caméra dans l’océan. Lorsqu’on cliquait sur le poisson, on pouvait le faire tourner dans tous les sens pour mieux le voir et on avait des informations sur lui : on a vu ainsi le podolaspis, le doryaspis qui ont aujourd’hui disparu et le cœlacanthe qui existe toujours.

Amel : C’était dur à manipuler mais bizarre et rigolo à la fois.

Liliah : Ça allait très vite !

Dorian : C’était dur de suivre les poissons qui allaient vite !

Avant de repartir, on est passé dans une grande salle où on a vu, sur des ordinateurs, les premières images d’ “Emilie jolie “,un film qui sortira en octobre prochain sur les écrans français.

L’interview de Florent Mounier


– Combien de temps avez-vous mis pour faire ce film ?

– Environ 3 ans et demi.

– Comment avez-vous su quels poissons vivaient pendant cette période de la préhistoire ?

– Il y a eu Didier Duteil, un chercheur qui faisait sa thèse et aussi Philippe Janvier, un spécialiste mondial, qui travaillent au muséum d’histoire naturelle à Paris qui nous ont aidés.

– Combien de personnes ont travaillé sur ce film ?

– Environ une dizaine.

– Comment vous y êtes-vous pris pour faire ce documentaire en 3 D ?

– Dans une 1ère phase, on fait les dessins de paysages sous-marins et de poissons sur une feuille blanche. Dans une 2ème phase, avec l’ordinateur, on fait comme une sculpture de fil de fer reliée par des millions de petits points pour chaque poisson puis on fabrique un logiciel d’intelligence artificielle qui créera le mouvement.

– Qu’est-ce qui vous a donné envie de faire ce film ?

– J’aime les poissons et le dessin…

– A qui avez-vous vendu votre documentaire ?

-A l’aquarium de La Rochelle dans lequel le film tournait en boucle et où les visiteurs pouvaient prendre la main sur le film grâce au joystick.

– Quand a été créée votre société ?

– En 2000.

– Qu’avez-vous fait comme études pour faire ce métier ?

– J’ai fait un bac technique mais je suis parti au Canada pour faire une école qui apprenait à faire les dessins animés car dans les années 80, il n’y en avait pas en France. Mais maintenant, on peut apprendre tout cela à Angoulême.

La classe de C.M.2

Le lien avec notre leçon de sciences


En classe, nous avons parlé de l’apparition de la vie sur Terre et de l’évolution des espèces :

Nous avons appris que même si les idées des scientifiques ne sont pas sûres, nous savons aujourd’hui que tout a commencé dans la mer : Toutes les espèces ont dû d’abord vivre dans l’eau car il faisait trop chaud sur terre, mais les plantes sont sorties de l’eau en plusieurs siècles. Puis elles ont fabriqué l’oxygène qui s’est rassemblé dans la couche d’ozone.

Après que la couche d’ozone ait été formée et ait protégé la terre du soleil, certains poissons sont sortis de l’eau et ont évolué en mammifères et en ovipares. Ils sont souvent sortis de l’eau car il n’y avait plus de nourriture ou car ils  avaient des prédateurs…

Beaucoup d’espèces ont disparu car elles n’ont pas su évoluer pour s’adapter à un changement.

Marine : ” Je ne pensais pas qu’on était tous cousin-cousine  très éloigné s puisque nous venons tous d’une petite cellule qui vivait dans l’eau il y a des millions d’années!”

Arthur : “On n’est toujours pas sûr que ce soit le big bang (gros boum) qui ait formé la Terre.”


Arthur, Marine, Moïna, Nicolas

La sortie sur l’île Marquet

Lundi 29 Novembre, nous sommes partis de l’école et arrivés en face de la Charente, nous avons vu l’île Marquet.

Alexandre, l’animateur de Charente-Nature, nous a demandé de dessiner un croquis d’un bout de paysage qu’on avait encadré avec nos doigts.

Puis nous sommes passés sur la passerelle avec la statue de Corto Maltese. Nous sommes descendus par un escalier jusque dans l’île.

On ne peut plus y aller car l’île Marquet est protégée tout l’hiver. L’escalier est fermé du 1er Décembre au 15 Avril pour protéger les espèces vivantes pendant leur reproduction et leur hibernation. En attendant de pouvoir la visiter, découvrez l’île Marquet à travers nos photos, notre jeu et nos textes explicatifs.

Rendez-vous au printemps pour la suite de nos aventures sur l’île !

Amel, Arthur, Liliah, Mylhéna, Violaine

Le tour de l’île en jouant

Il y a 6 petites îles qui l’entourent, elle est au milieu de la Charente, il y a 2 cascades : une entre l’île et le club d’aviron et la deuxième à côté de l’écluse, il y a 2 bâtiments, une cheminée et une maison.

Il y a 1 trou d’obus de grand diamètre, il se situe au sud-est, il est apparu pendant la 2ème guerre mondiale, la 39-45, quand les allemands possédaient la moitié de la France.

On a fait un jeu ou l’on devait retrouver les 4 photos ci-dessus  : l’écluse, la maison, la forêt de bambou, la cheminée et les situer sur le plan.

Nous étions partagés en 4 groupes. Voici l’équipe de Maëva en train de chercher où a été prise la 1ère photo (l’écluse).

1                                                   2                                                3

1 : Voici la maison que l’on devait trouver, c’était la maison de vacances des arrières-grands-parents d’Arthur qui possédaient l’île autrefois.

2 : Voici la cheminée de l’ancienne usine que l’on devait chercher, cachée par les arbres.

3: Voici un panneau d’information sur les usines s’étant succédées dans le même bâtiment ( de patates, de bois, de carton, de plâtre). On devait tirer sur des plaques pour voir la date.

Sur des rondins de bois, il y avait des panneaux qui nous informait des animaux vivant sur l’île, comme le pic-vert, le martin-pêcheur, le cerf-volant…

Arthur et Lucas


La végétation

Nous avons ramené des feuilles de l’île Marquet mais comme il avait plu et neigé peu de temps avant, elles n’étaient pas toutes en bon état. Mais nous avons quand même préparé un jeu avec pour vous.

1                                      2                                           3

On ne s’attendait pas à ce qu’il y ait du bambou (1), des arbres fruitiers, des palmiers(2). Il y avait aussi des châtaigniers.

Nous  avons fait un jeu (3) où il fallait avoir une feuille que les autres n’avaient pas. Si c’était le cas, on gagnait un point. On pouvait aussi en gagner un si on reconnaissait rapidement la même feuille qu’un groupe présentait : pour regarder les feuilles vite, nous regardions les tiges, les nervures, les petites dents …

Jeu de reconnaissance :

Retrouve la lettre de la feuille qui correspond à la description.


a                                                 b

c                                                     d                                              e

f                                                       g                                               h

i                                                   j

1 : Je suis une feuille en cœur, je suis jaune avec des points noirs et j’ai une grande tige.

2 : J’ai 27 dents, je suis de couleur marron et j’ai un peu de vert. Je suis une feuille palmée.

3 : Je suis la seule feuille composée de ce jeu.

4 : Je suis une feuille palmée avec la tige sur le côté. Je suis verte avec un

5 : J’ai 2 trous et je suis de couleur verte. Je suis une feuille palmée.

6 : Je suis une feuille palmée, verte et j’ai de grandes pointes. J’ai un peu de noir autour.

7 : Je suis la feuille simple la plus longue.

8 : Je suis une feuille lobée,  jaune et rouge avec des points noirs.

9 : Je suis une feuille arrondie et de couleur verte. J’ai une petite tige.

peu de jaune en haut.

10 : Je suis une tige de bambou très longue avec plein de feuilles accrochées dessus.

Correction : a2, b5, c9, d1, e6, f10, g4, h8, i7, j3

Farsia, Nathan et Nicolas


Les métiers d’avant sur l’île.


Lors de notre sortie sur l’île Marquet, nous avons trouvé des traces de métiers d’autrefois. Il y avait aussi des silhouettes en métal pour nous repérer et nous donner des indications.

La lavandière : Nous avons vu un grand bac. C’est quand les femmes y lavaient le linge et nous avons surtout vu du faux linge étendu, car avant, il n’y avait pas de sèche-linge et on étendait le linge en grande quantité sur l’île.

Le jardinier: Nous avons trouvé un pommier, un cerisier, un noyer, des arbres fruitiers que les hommes ont planté autrefois.

Les ouvriers d’usine : Nous avons vu une cheminée  qui était dans les arbres. C’était une usine de pommes de terre. Puis ensuite, elle s’est transformée. Donc des ouvriers venaient y travailler. Ils devaient traverser en barque.

Tamara, Liliah et Mylhéna

l’ouvrier d’usine                    la cheminée                        le panneau d’informations

Un groupe suit le poteau d’explication

A l’endroit du jardinier, nous avons vu des anciens clapiers redécorés avec des panneaux de légumes et de fruits plantés autrefois sur l’île

La salle archéologie du musée d’Angoulême

Jeudi 25 Novembre, nous sommes allés pour la 2ème fois au musée des Beaux Arts d’Angoulême et nous avons travaillé au rez-de-chaussée, dans la salle archéologie.                           La classe de C.M.2


Les fossiles marins

Quand nous sommes arrivés au musée, nous avons parlé des différents fossiles marins trouvés en Charente : la mer avait recouvert notre pays ( sauf le Massif Central et la Bretagne) .

Dans les vitrines, nous avons vu des ammonites (7), des mâchoires de crocodile (6), un grand bout de bois fossilisé(2), des coquillages (1 et 9), des poissons et même un champignon (5)…

Les ammonites étaient des coquillages préhistoriques en forme d’escargot. Elles vivaient dans l’eau mais quand l’eau s’est retirée, les ammonites se sont enfouis sous la terre. Des millions d’année plus tard, des Charentais les ont découvertes et nous les avons mises dans le musée d’Angoulême.

Nous avons fait un jeu (3 et4) qui consistait à retrouver dans la vitrine, les fossiles pris en photo sur des étiquettes magnétiques. Ensuite, on devait les placer sur un tableau magnétique en face de la période où ces êtres vivants avaient vécu.

Amel, Maëva, Moïna

1                                                 2                                                    3

4                                                   5                                               6

7                                                   8                                               9

Les différents climats en Charente

Au musée, dans 2 salles,  sont exposés des squelettes de renard polaire, de hyène, de cheval de Solutré, de cerf, d’auroch et des défenses et molaires d’éléphant antique (3)… Ce sont des animaux qui ont vécu pendant la préhistoire en Charente.

En climat tempéré, vivaient une sorte de gazelle (2), le cheval de Solutré (2), l’auroch (1 et 2).

En climat, froid vivaient l’éléphant antique, l’auroch et le cerf (2).

Ce qui montrait qu’en Charente, pendant la Préhistoire, il existait 2 climats : le climat tempéré et le climat froid.

Nous avons été surpris de savoir qu’en Charente il y avait eu 2 climats différents.

1                                                   2                                                  3

Crâne de renard polaire et os d’autres animaux…

Restes de repas d’une hyène préhistorique

Amaury, Guillaume, Ismaël, Jean


L’évolution des hommes

David nous a montré deux crânes : un de l’homme de Neanderthal et un de l’homo sapiens. L’un était un moulage et l’autre était un vrai.

Nous avons comparé l’homme de Neanderthal à celui de l’homo sapiens : il n’avait presque pas de front, et donc le crâne était plus en arrière et plus gros. Il avait aussi les sourcils en avant (bourrelets).

Alors que le crâne de l’homo sapiens, lui, avait un front en avant et des sourcils plats.

On ne descend pas de l’homme de Neanderthal, il y a quelques temps, on a découvert qu’il avait disparu mais on ne sait pas pourquoi. Par contre, on descend de l’homo sapiens.

Elisa, Julian, Marine, Violaine


Les outils et les armes au Paléolithique

Le paléolithique : de 3 millions d’années à 80 000 ans avant J-C

Pourquoi les hommes préhistoriques faisaient-ils des outils ?

Les hommes préhistoriques chassaient pour survivre. Les outils leur servaient à découper les morceaux d’animaux. Ils prenaient aussi les os des animaux pour faire des outils.

Comment faisaient-ils des outils ?

Nous avons vu un film qui nous racontait comment faire les outils : avec un galet, ils tapaient sur du silex pour faire leurs outils.

Quels étaient les outils de nos ancêtres ?

Les aiguilles : Servaient à coudre les peaux pour faire des tentes ou des vêtements. Elles étaient taillées dans l’os.

Les bifaces : Sont des silex à deux faces qui servaient à couper, à entailler…

Les harpons : Servaient plus souvent à pêcher les poissons mais aussi à tuer les animaux.

Les racloirs : Servaient à enlever la chair puis à découper la peau des animaux qu’ils venaient de tuer pour en faire des vêtements…

Les poignards : Servaient à tuer les animaux, mais le problème était qu’on devait les tuer de près, et c’était dangereux.

Les hommes préhistoriques ont évolué et leurs armes aussi qui sont devenues plus performantes et précises.

Accel, Dorian, Maxime

La sortie d’automne des C.M.2 le long de la Charente

Avant le jour de la sortie, on a dessiné la Charente de la passerelle de Bourgines : nous avions pris un crayon de papier et une feuille et nous avons essayé de dessiner le paysage qu’on voyait. En classe, nous avons pris une nouvelle feuille pour refaire notre dessin et le colorier avec des craies grasses. Ce qui était difficile était de trouver la couleur de la Charente. Ensuite, nous avons voté pour choisir nos tableaux préférés à mettre dans le blog.

Maëva                                         Amel                                           Accel

Jean                                               Liliah                                        Dorian

Amaury                                            Elisa                                        Nathan

Maxime                                        Moïna

Jeudi 7 Octobre, la classe avait rendez-vous avec David, un animateur du musée des beaux arts. Il nous a dit comment était Angoulême avant, en nous montrant la ville et les bateaux sur la Charente. Ensuite, on a pris la coulée verte

pour rejoindre le musée du papier. En chemin, on s’est arrêté devant les chais Magelis. David nous a aussi montré la maison alsacienne. Dans le musée du papier, on a regardé les photos des usines à papier charentaises. Puis on est monté sur les remparts en passant par le jardin vert. David nous a donné des photos d’Angoulême avant, et il fallait retrouver l’endroit : c’était un peu difficile parce que les photos n’étaient pas en couleur.

On est arrivé en ville pour rentrer dans le musée des beaux arts.

David nous a montré plusieurs photos du fleuve Charente. Enfin, on est allé au 3ème étage pour voir ce qui avait changé entre la Charente aujourd’hui et au XIXème siècle sur le tableau du peintre Boucart.

Cette matinée était intéressante mais on a beaucoup marché ! Julian

Le paysage fluvial aujourd’hui

Péniches sur la Charente                                   Club d’aviron

Coulée verte et passerelle Corto Maltese

Une écluse           Le musée du papier et au fond, le C.I.B.D.I.

La Charente est un fleuve sur lequel, aujourd’hui, nous ne lavons plus le linge , les femmes n’y tirent plus les bateaux. Ce sont seulement des activités de loisirs qu’on peut y voir:

Nous voyons 3 bateaux, l’Angoumois, la Bélandre et le bateau du propriétaire de la Bélandre : ce sont des péniches pour se promener sur l’eau, et à l’intérieur il y a un petit restaurant. Tout au long de la Charente, des écluses permettent de naviguer.

Nous pouvons y faire aussi de l’aviron, du canoë…

A pied ou en vélo, on peut se balader le long de la Charente,  sur la coulée verte, qui s’appelle comme ça parce qu’il y a des arbres. Nous avons construit une passerelle sur laquelle  nous pouvons passer pour y accéder. Maintenant, il y a une aire de jeux au port de L’Houmeau pour y jouer.

Autour du fleuve, nous avons construit des bâtiments (C.I.B.D.I., le musée d’art contemporain et le musée du papier). Ce sont des centres culturels.

Aujourd’hui le paysage fluvial a vraiment changé par rapport à autrefois. Élisa, Moïna et Mylhéna

les gabares

Les gabares sont des grands bateaux à fond plat car la Charente n’est pas très profonde, sur lesquelles il n’y avait que des hommes qui travaillaient. La voile se baissait pour que les gabares passent sous les ponts. Alors, pour faire avancer les gabares,  c’était soient des femmes, soient des animaux  qui les tiraient avec des cordes, de la berge. Il n’y avait pas d’arbres le long de la coulée verte  pour les gêner. Ce n’est que depuis 100 ans que les arbres ont poussé.

Les gabares servaient à transporter des marchandises, sur le pont, comme des tonneaux d’alcool : du cognac qu’on allait chercher dans la ville de Cognac pour les ramener dans la ville d’Angoulême. Elles transportaient aussi des canons car la fonderie de Ruelle existait déjà.

Aujourd’hui, les gabares ne servent qu’à faire du tourisme, il n’y a plus de transport de marchandises sur la Charente et sur tous les océans du monde, ce sont les cargos qui transportent les marchandises.     Accel, Guillaume, Maxime

Le paysage fluvial au XIXème siècle

Les chais Magelis    Au fond, la maison au toit d’ardoise

Le paysage fluvial du XIXème siècle était différent de celui d’aujourd’hui : par exemple, les chais Magelis étaient faits, avant, pour ranger de la bière, du cognac en tonneaux… Les familles qui possédaient ces chais étaient très riches.

On pouvait déjà y voir la maison au toit d’ardoise et la maison Alsacienne qui se situent  à St Cybard.

L’Houmeau faisait ainsi de la concurrence à Angoulême car les marchands vendaient beaucoup et étaient riches, ce commerce qui marchait super bien, existait dans notre région grâce au fleuve qui pouvait faire naviguer les gabares transportant des canons, des vaches, des tonneaux…

Il  n’y avait pas d’arbres à proximité des ponts pour que les gens tirent les gabares avec des cordes.

On a vu, sur une vieille photo, qu’ un cirque était passé et avait fait baigner ses éléphant dans la Charente. Arthur, Jean, Nicolas

Notre fleuve Charente

Carte de la Charente                 Maquette                      Vue des jardins verts

Le fleuve  Charente prend sa source à Chéronnac, dans un petit trou pas profond, en Haute-vienne, à 295 mètres d’altitude.

La Charente se jette dans l’océan Atlantique à Port des barques, près du fort Lupin, à côté de Rochefort. Longue de 370km, la Charente y termine sa course. Le fleuve Charente est un petit fleuve.Le fleuve passe par Angoulême, Cognac, Saintes… Il y a 21 écluses entre Angoulême et Rochefort.

On peut commencer à naviguer seulement à partir d’Angoulême parce que le fleuve est trop étroit avant : Le roi Louis XIV voulait construire un passage entre un affluent de la Loire et notre fleuve, mais la Charente était trop peu profonde à cet endroit.                             Amaury, Dorian, Nathan