Notre après-midi sur l’île Marquet avec les sixièmes

Mardi 22 septembre, nous sommes allés sur l’île Marquet ( prendre la passerelle Corto Maltese et descendre par l’escalier) avec les sixièmes pour faire de la science et travailler sur les milieux naturels présents sur l’île. Avant d’y aller, nous avons eu trois feuilles sur lesquelles nous devions écrire sur les animaux qu’on voyait autour de nous, les traces laissées par les hommes et la flore. Nous étions habillés en tenue de sport et quelques enfants étaient en bottes car il y avait des averses.

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En attendant les sixièmes, nous avons trouvé un porte-feuille dans lequel il y avait les papiers d’identité d’un ancien maître. La maîtresse lui a rapporté son porte-feuille quelques jours plus tard et il nous a offert des gâteaux pour nous remercier !

On a fait 3 groupes mélangés, avec des sixièmes et des CM2. Chacun étudiait trois milieux naturels différents, la prairie, la plage et sous les grands arbres. Nous allons vous les présenter :

Les prairies

Il y avait 2 prairies sur l’île. Ce sont des prés avec beaucoup de verdure. L’une d’entre elle avait des arbres fruitiers comme le figuier, le pommier… Dans l’autre, on pouvait voir des sculptures d’animaux. Dans ces deux prairies, on  trouve beaucoup de luminosité et de sécheresse.

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Voici les différents végétaux qu’on peut trouver dans les prairies :

D’abord des fleurs :

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Ensuite les arbres fruitiers car les hommes les ont plantés avant, quand il y avait des jardins sur l’île :

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Le noisetier, le figuier et la vigne.

La plage

C’est un endroit au bord de la Charente plutôt humide, lumineux, froid et petit. Il y a du sable gris-blanc, on a vu des petits coquillages et des poissons dans l’eau, des canards qui volaient au-dessus de nous. Nous avons aussi vu des lentilles d’eau.

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Baptiste a pris un coquillage pour le dessiner, Mathéo T. lui, s’amusait bien ! Et Lucas nettoyait ses bottes !

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Voici les coquillages d’eau douce dans l’eau, le saule que l’on ne trouve que dans ce milieu naturel (au bord de l’eau), et le frêne partout au bord de la Charente.

Sous les grands arbres

C’est un endroit sombre, humide et froid. Il y avait des marronniers (on voit des marrons et leurs bogues), du tilleul et beaucoup de lierre. Il est situé au bord du sentier et au bord du rivage pas loin du club d’aviron. On y trouve aussi des jeux où il faut trouver la puissance des bruits écoutés.

Sacha a trouvé une vertèbre de vache sous les feuilles, ce qui nous montre qu’il y a eu des vaches élevées sur l’île avant.

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Il y avait des cloportes, des limaces sous les feuilles et des termites dans des troncs d’arbre.

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Maintenant avec la classe on se pose des questions : par exemple à quoi sert la bogue des marrons ou est-ce que la limace bave vraiment… On s’entraine aussi à reconnaître des feuilles d’arbres. Ensuite, on échangera nos informations avec les collégiens.

Allez découvrir vous aussi l’île Marquet avant qu’elle ne ferme pour l’hiver, afin que les animaux s’y reproduisent tranquillement !

David, Léo, Lucas, May-Lyn, Mélanie, Milo, Nathan et Sacha R.

Le meilleur conte des CM2

La légende du château sur la colline

Dans un royaume lointain, existait un château maléfique, caché au sommet d’une colline entourée de brouillard. Personne ne s’en était jamais approché, mais on racontait qu’un dragon au cœur désolé y habitait…

Au village d’Elydarya, une jeune fille nommée Aries, enfant d’un fleuriste, rêvait d’entrer à l’intérieur du château ! En effet, depuis toute petite, sa mère lui racontait des légendes à propos de ce lieu. Malheureusement, la vie lui fit subir son sort très tôt. Elle mourut lorsqu’Aries avait 4 ans seulement, la laissant seule avec son père.

Quand elle allait au marché, et revenait en retard, comme toujours, Aries contemplait la colline sur laquelle était perché le château qui avait avalé sa mère 6 ans plus tôt… et c’est là que commence la véritable histoire du monde d’Elydarya.

Aries travaillait dans une bibliothèque en racontant des contes, des histoires aux adultes dans lesquels elle donnait des nouvelles du château chaque vendredi … mais une petite rapporteuse fit chavirer la vie de la pauvre Aries qui ne faisait que raconter des histoires, et qui se fit désormais, voir comme folle.

En effet, la petite Nina faisait mille et une bêtises, plus ou moins graves, derrière le dos de sa mère. Ce jour-là, elle avait décidé d’aller, après l’école à la bibliothèque pour aller entendre des histoires…jusque là, rien de grave, mais seulement, c’était des histoires d’horreur ! Eh oui, vous avez deviné ! C’était Aries qui était en train de conter toutes les nouvelles concernant le château mystérieux (en rajoutant quelques petites choses à sa sauce, pour effrayer un peu plus) et Nina, l’enfant la plus gâtée d’Elydarya (sa mère la croyait tout le temps ; même si c’était évident qu’elle mentait) gâcha tout :

A peine Aries commença-t-elle son histoire, que Nina se glissa dans la salle où on la racontait. Elle s’évanouit de peur quelques minutes puis pendant son évanouissement, elle eut mille et un cauchemars avant de se réveiller.
Quand elle rouvrit les yeux, elle eut une hallucination ; elle vit un monstre d’une horreur que même moi je ne peux vous décrire ; elle était traumatisée pour de bon !

Alors, Nina sortit de la bibliothèque en courant et hurlant les mains en l’air ; quelques larmes sortirent de son visage tout rouge et à bout de souffle. Ce fut comme ça tout le long du chemin jusqu’à la maison, des fois, on entendait quelques « aaaaaabbbaaaaann !! » et je crois qu’elle voulait dire plutôt « maaaamaaann ! » mais elle était toujours aussi effrayée qu’il y a vingt minutes. Quand elle fut arrivée à destination, elle sauta dans les bras de sa mère.

-Nina ! Qu’est-ce qu’il y a ?

– Aaaaaabbbaaaaann !!

Elle était toujours effrayée, un peu moins qu’avant, mais effrayée ; et puis elle n’avait pas encore eu assez de temps pour trouver un mensonge à dire, elle continua de pleurnicher pendant un bon moment. Quand elle fut calmée, elle avait déjà une idée d’excuse pour être en retard et être arrivée dans cet état. Nina dit à sa mère qu’Aries l’avait kidnappée alors qu’elle passait devant la bibliothèque, et qu’elle l’avait menacée de l’amener avec elle sur la colline si jamais elle avait le malheur de raconter à quelqu’un cette aventure ! Qu’elle s’était échappée en passant sous ses jambes et qu’Aries avait tenté de la prendre, ce qui était totalement faux car elle ne savait même pas que Nina était là !

La famille de Nina était de la plus haute société (après la famille du gouverneur, bien sûr !!) au contraire du père d’Aries, qui était misérable, et encore plus depuis la mort de sa femme. C’était d’ailleurs pour ça qu’Aries devait travailler quatre ans avant sa majorité !

Alors, la famille de Nina prévint la police, qui emmena Aries au palais de justice. Aries expliqua tout mais le juge ne voulut rien entendre ; il décida d’envoyer la pauvre enfant en prison.

C’est ainsi qu’Aries fut séparée de sa seule famille à l’instant même ! Heureusement, une semaine plus tard, elle reçut de la visite, c’était son père qui lui amenait quelques affaires, dont un journal et un stylo pour écrire ses pensées. Il lui indiqua de lui envoyer ce journal quand elle l’aurait fini (parce que la prison était de l’autre coté du pays).
Elle le fit mais tout ne se déroula pas comme vous le croyez !! Mais non elle ne finit pas sa vie comme ça ! Pas dans une prison !!

Il faut dire que le père était quand même assez rusé , et qu’il avait donné à sa fille un stylo-couteau de poche ! En ouvrant son cahier, elle découvrit une petite note lui interdisant de revenir chez elle.

Grâce à ce couteau, il lui suffit d’un mois seulement pour enlever tout le silicone de la vitre de sa cellule. Cet hiver était un des plus froids d’Elydarya, et on aurait dit que son père savait ce qu’Aries allait faire… Il lui avait aussi fourni des habits chauds, une couette plus chaude que le Sahara, son journal et son stylo, des bottes de neige, et un set de couture. Cette nuit, celle du 30 novembre 1809 (l’âge de la Terre), Aries enfila ses habits les plus chauds et un grand manteau qu’elle avait fabriqué avec sa couette et ses trucs de couture. Elle mit ses bottes puis elle s’échappa de cet horrible endroit.

Aries avait aussi pris une sacoche en cuir avec quelques vivres que lui avait aussi fournies son père un mois plus tôt. La faim lui brûlait les entrailles et quand elle décida de prendre quelque chose pour apaiser cette sensation, elle toucha un objet froid, quelque chose en métal ! Elle le saisit tout de suite, c’était une chaîne en or. Elle la tira, tira, tira, tira… jusqu’à ce que ça se bloque entre les vivres.

Alors, Aries enleva sa gourde d’eau chaude, quelques fruits, et enfin, elle arriva au bout de sa chaîne : là, elle vit que la chaîne tenait à son extrémité une boussole, et cette dernière était magique…Quoi ? Vous ne me croyez pas ?? Vous voulez une preuve ?? Très bien, la voici :

– Bonjour ma jeune maîtresse, lui dit la boussole ; pendant qu’une espèce de fumée opaque en sortait.
Aries hurla, et laissa tomber la boussole, car elle crut que c’était un policier :

– J… j… je croyais que vous ne faisiez pas de rondes en hiver !! dit-elle d’une voix aiguë, claire et tremblante !
– Mais voyons !! Je ne fais point de tours !! Je ne sers que de GPS !!
– J’ai pet quoi ??
– Oh non rien, laissez tomber, on n’en est pas là encore.
– Encore où ??
– Mais rien, c’est rien !! Bon, quelle est votre destination ??
– Quelle destination ??
– Ben… où voulez-vous aller ?
– Comment ça ?
– Ben…rêvez-vous d’aller quelque part ? Traverser le monde peut-être ?
– Euh,…ben oui, mais d’abord tutoie-moi…et je ne sais pas si c’est trop dangereux…
– Où est-ce ?
– Ben, il y a une espèce de montagne là-bas, tu la vois ?? demanda Aries en désignant la montagne sur laquelle était perchée le château où sa mère avait disparue.
– Oui, bien sûr ! Tu souhaites escalader des montagnes ? Il y a le mont Everest, ça promet des sensations fortes ! En tout cas, plus que cette petite colline !
– Euh non, j’aimerais beaucoup regarder le mont… euh… ton… euh…ebebete là, mais j’ai déjà ma petite idée derrière la tête.
– Ah oui ? C’est quoi ?… Allez ! Dis-moi, tu m’impatientes !
– Beeeeen, tu vois l’espèce de château au-dessus ?
– Euh, tu veux vraiment l’escalader?
– Mais non, idiote ! Je veux rentrer dedans !
– Aah ! D’accord, mais tu sais qu’il y a des monstres dedans ?
– Je m’en doute bien !
– Si je peux me permettre, pourquoi tu veux y entrer ?
– Quand j’étais petite, ma mère aimait se promener tout près du château, et un jour, lorsqu’elle réussit à m’endormir, elle m’avait laissée dans un petit hamac sur un arbre tout près de celui-ci. pendant ce temps, elle entrait dans ce château et elle ne revint plus. Mon père, qui revenait du travail, ne vit point de dîner, ni de lettre qui l’expliquait. A ce moment-là, il entendit mes pleurs affamés. Curieux, il suivit son oreille et arriva jusqu’à mon lit. Il me prit dans ses bras, me berça, et me posa par terre. C’est à ce moment qu’il remarqua une petite note…Elle venait de ma mère :
« Ma petite fleur,

Si je ne suis pas là à ton réveil, ne t’en fais pas, je suis allée faire un petit tour dans ce mystérieux château, je reviendrai bientôt…

Maman »

Depuis, on ne l’a plus vu, malgré les recherches qu’on a faites, d’ailleurs, personne n’est jamais revenu de là-bas.

– Que veux-tu dire par là ?
– Que ce truc N’EST PAS un château, et que toutes les personnes qui ont osé y rentrer NE SONT PAS revenues non plus !
– Donc, si j’ai bien compris, tu es suicidaire, c’est ça ?
– QUOI ? MAIS NON ! T’AS RIEN COMPRIS !
– Ben quoi ? Tu disais que personne n’en revenait !
– Justement ! Je veux en sortir saine et sauve !
– Aah ok ! Mais puis-je savoir comment tu vas t’y prendre ?
– Been, je verrai sur place ce que je peux faire …
– Et avec quelles armes ?
– Avec de la ficelle, tiens !
– Très drôle ! Non mais sérieusement ?
– Ben, je ne sais pas moi, mais s’il y a un monstre, avec mon couteau, ça ne marchera pas !
– Parce que tu as un couteau ?
– Oui, et il me reste une aiguille et un rouleau de ficelle violette, tu les veux ?
– Pourquoi tu ne me l’as pas dit plus tôt ?
– Ben maintenant tu le sais, t’es collectionneuse de couteaux ?
– Et voilà de quoi faire un poignard et une bonne épée.
– Pardon ?
– Je te ferai de belles armes ce soir, quand tu dormiras, grâce à tes affaires.
– Pourquoi ce soir, et pas maintenant ?
– Parce qu’autrement, tu verras mes formules et ma vraie forme.
– Très bien, je te fais confiance.
La fumée se transforma alors en tourbillon, qui creusa une grotte dans une colline en face d’elle, qui poussa Aries dans la grotte, qui recouvrit l’entrée par un fin rideau de glace, et qui finit par s’éteindre en plein milieu de la grotte, et qui devint du feu.

Aries n’avait pas dormi aussi paisiblement depuis qu’elle avait été séparée de son père. Le lendemain, quand elle se réveilla, elle découvrit un bol plein de baies multicolores : des framboises, des myrtilles, du cassis, des fraises, des mûres, des groseilles…et elle les mangea toutes avec grand appétit.

Puis elle fouilla dans son sac. Tout était comme promis : elle avait un poignard, une épée dans son étui, et elle avait même de nouveaux habits !

– Tu es prête ?
– Plus que jamais !
Alors, Aries prit toutes ses affaires, et une tornade l’emporta. Puis, plus rien, inconsciente !

Elle se réveilla sur un sol noir et blanc, autour d’elle, le noir, rien d’autre qu’une petite fenêtre juste au-dessus d’elle qui laissait passer une faible lumière, de petits cris au loin, et c’est tout.

– Alors c’est ça le château ? Pas de réponse.
– Il y a quelqu’un ? Toujours rien !
– Eh oh !!
Cette fois, une réponse, mais par un grognement.

– Euh, tout doux mon petit, tout doux !!
Aries aurait dû garder sa salive pour elle, car ça n’empêcha pas la bête d’enlever son voile d’obscurité. C’était un énorme dragon noir qui fit de lourds pas, qui, au passage, firent de grands nuages de poussière.

– Qui ose s’aventurer sur mon territoire ? gronda le dragon.
– Une petite fille…
– Et quel est le nom de celle-ci ?
– Euh…je m’a…m’appelle A…ries…
– Et que fait-elle ici ?
– Je voulais savoir ce qui était arrivé à ma mère.
– Et bien, tu vas le savoir après avoir été brûlée par ma gorge, comme elle, tiens ! Ici, c’est mon territoire et tu n’as rien à faire ici !
– Vous êtes un monstre !
– Tu es aveugle en plus ?
– Très drôle !
– Bon maintenant, voyons ce que ça donne l’Aries sauce au feu !
– Oh non, oh non ! hurla Aries.
– Oh que si !
Et le dragon la poursuivit en crachant du feu mais comme Aries était beaucoup trop rapide, il n’arriva pas à l’atteindre. Ses flammes finirent par brûler le château qui lui tomba dessus avant qu’il ne puisse toucher Aries. Mais malheureusement, celle-ci fut intoxiquée par la fumée avant même qu’elle ne puisse sortir de l’incendie.

C’est ainsi que mourut Aries, et depuis, il n’y a plus de château au-dessus de la colline…On dit que les soirs de pleine lune, on aperçoit là-haut une femme et une petite fille avec une tresse au vent, et qu’elles chuchotent aux oreilles de ceux qui dorment tout près…                                             Sari

La sortie des CE2 à Vars, chez les correspondants

Mardi 23 juin, nous avons pris le bus pour aller au stade de Vars voir nos correspondants.

Le matin, nous avons fait de l’athlétisme. C’était une petite compétition en équipe. Il y avait 6 ateliers et 6 équipes.

Il y avait 3 ateliers de course : course de vitesse, endurance et course de haies.

Pour la course de vitesse, on courait un par un, il fallait faire le meilleur temps possible.

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Même le maître des corres’ a participé à la course!

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Pour la course longue, il fallait faire le plus de tours possible en équipe, en 6 minutes. A chaque tour, la maman de Brayan nous donnait un ticket. A la fin des 6 minutes, on comptait tous les tickets.

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Les 3 autres ateliers étaient du lancer. Le lancer de marteau  et le lancer de poids :

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Le lancer de vortex :

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Après les 6 ateliers, nous avons fait une course de relais. Les 6 groupes étaient rassemblés en 2 grandes équipes.

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Ensuite, nous avons pique-niqué au stade, et après le repas nous avons eu une grande récré : nous avons pu jouer au foot, au frisbee, à la balle au prisonnier, à la tomate…

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Ensuite, nous sommes allés jusqu’à leur école à pied.

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Nous sommes allés sous le préau et les corres’ nous ont raconté leur séjour au Puy du Fou. Nous sommes allés dans leur classe regarder un film sur leur séjour. C’était un diaporama avec de la musique.

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Avant de repartir, on a eu une petite récré. Dans leur cour, il y a un bac à sable, c’est génial, certains y ont beaucoup joué. Il y a aussi des échasses et des “pédalos”. Il y a aussi une table de ping-pong et un panier de basket, par contre le foot est interdit. Ils nous ont aussi montré le potager.

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Nous sommes rentrés à l’école. On s’est bien amusé. On a adoré cette journée.

Les CE2

 

“Comment porter secours.”

Irène, l’infirmière du collège Anatole France, est venue nous “apprendre à porter

secours” (APS).

Elle nous a rappelé les numéros d’urgence :

15 (samu), 17 (police), 18 (pompiers), 119 (enfance maltraitée),

112 (numéro d’urgence européen), 115 (numéro d’appel pour

les personnes sans domicile fixe).

 

Irène nous a parlé des différentes blessures et elle nous a appris à intervenir :

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En cas de fracture d’un bras, on peut immobiliser le bras blessé dans

le vêtement de la victime avant d’appeler les secours.

S’il s’agit d’une brûlure légère (de taille inférieure à la moitié de

la paume de la main), il faut laisser un petit filet d’eau froide refroidir

la blessure jusqu’à ce que la douleur disparaisse, en attendant les secours.

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Si la personne a fait une chute, il ne faut pas qu’elle bouge : en attendant les

secours, on doit immobiliser la tête et la nuque de la victime.

En cas d’ hémorragie (saignement) d’un membre, nous devons mettre

des gants (ou un sac plastique) puis faire une compression (appuyer

fortement) sur la blessure pour arrêter le saignement.

Si on ne peut pas atteindre le téléphone, on peut prendre un objet (linge,

paquet de mouchoirs, serviette nouée…) pour stopper l’hémorragie. Il ne

faut surtout pas faire de garrot.

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Nous avons appris à mettre la victime en PLS : position latérale de sécurité).

Il faut d’abord vérifier si la victime est consciente ou pas : lui prendre la main,

l’appeler, lui demander de serrer notre main ou d’ouvrir les yeux.

Si la personne est inconsciente,on appelle à l’aide et ont la met en sécurité

pendant que quelqu’un d’autre appelle les secours.

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Il faut faire basculer la tête de la victime en arrière en appuyant légèrement

sur son front ; de cette façon la personne ne s’étouffera pas avec sa langue.

On lui ouvre doucement la bouche, et on vérifie qu’elle respire en regardant

vers son ventre. On met la personne sur le côté, on la couvre pour qu’elle

n’ait pas froid, on vérifie sa respiration.

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Amandine, May-Lyn, Zoé, Andy, Baptiste

Visite de la STGA en mode VIP

Vendredi 13 juin, nous sommes allés à la STGA. Savez-vous ce que veut dire S.T.G.A. ?

Ça veut dire Société de Transport du Grand  Angoulême. On est allé voir comment fonctionne l’entreprise.

Visite du poste de contrôle

Quand nous sommes arrivés, on est rentré par la salle du PC, nous avons vu comment les conducteurs savaient quel bus prendre et quelle ligne il devait faire.

IMG_1968 Voici le tableau où est marqué : si les  bus ont du retard ou de l’avance, si le service est terminé, si le bus est au parking…Quand il y a des points d’interrogation, c’est qu’on ne sait pas où est le bus.

IMG_1964Ici, ce sont les feuilles où sont écrites toutes les déviations que le conducteur peut trouver sur sa ligne.

IMG_1962Ceci est une feuille de service. Quand le conducteur arrive, il va à l’ordinateur où il rentre un mot de passe. Ça  imprime une feuille sur laquelle  il y a les lignes de son service.

Maeva et Rose

Le jeu

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Au départ, il fallait lancer le dé pour déterminer l’ordre des équipes, après on lançait le dé chacun son tour. On regardait le numéro puis la dame nous posait une question comme “Combien coûte une carte d’un jour ?” “Est-ce qu’il faut montrer la carte au conducteur du bus ?” , “Combien il y a de lignes de bus ?”…

Si on avait la bonne réponse, on avançait du nombre qu’il y avait sur le dé mais si on ne répondait pas juste, on restait à sa place. C’était celui qui arrivait le premier qui avait gagné. A la fin, l’animatrice nous a donné un bonbon chacun et une BD de Bussy pour les gagnants (les oranges)  !

Réponses : 1€40 ; non, il faut la rentrer dans le composteur ; 9 lignes principales

Abel et Elyjah 

Que doit-on faire dans le bus ?

IMG_1976 Pour ne pas faire de bêtises, il y a des caméras dans le bus, surtout pour votre tranquillité.

IMG_1977 Là où il y a écrit bip! sa veut dire qu’il faut passer la carte de bus, et où il y a les flèches, ça veut dire qu’il faut insérer un ticket de bus.IMG_1973Et voici le parking STGA,  là où sont garés tous les bus.

Dans le bus on a le droit de manger mais proprement.

On n’a pas le droit de mettre les pieds sur les fauteuils.

Les handicapés ont le droit de rentrer par la porte arrière : il y a un système pour grimper leur fauteuil roulant.

On a le droit d’écouter de la musique mais avec des écouteurs, de parler dans son portable, mais discrètement.

Louis et Salim

Le garage

Le garage est un des endroits les plus importants de la STGA. Les mécaniciens ont des machines qui permettent de refroidir le moteur pour qu’il ne chauffe pas trop ! Sinon, on peut endommager le moteur qui coûte environ 15 000 € .

Dans le garage il y a 3 sortes de bus : le mini, le bus articulé et le bus standard. Le bus hybride coûte 450 000 € contrairement au bus standard qui ne vaut que 240 000€. Le bus hybride peut économiser jusqu’à 25 % d’essence car il fonctionne avec de l’électricité  et un peu d’essence .

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Les mécaniciens ont aussi des pièces de rechange dans une salle. Lorsqu’on recherche des pièces sur un ordinateur, elles sont rangées dans des boites numérotées avec des chiffres et des lettres.

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Les bus endommagés de l’extérieur peuvent être repeint dans des conditions spéciales dans une salle entièrement fermée. 2 peintres maximum par bus travaillent avec une combinaison.

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Le garage était un lieu très grand et il était un peu dangereux à visiter !

Nabil et Yan

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les CM1 à l’aviron !

Depuis le 16 avril, nous sommes allés à l’Aviron Club d’Angoulême sur l’île de

Bourgines.

La classe a été encadrée par Itziar et Sacha. Ils nous ont appris à pratiquer ce sport,

mais aussi du vocabulaire et des règles de sécurité.

Pour aller sur un bateau, il faut d’abord mettre un gilet de sauvetage.

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Le matériel (bateau, avirons ou pelles, gilets….) sont à prendre dans le hangar.

Zaklina nous montre comment tenir une pelle (ou rame).

Pour ramer sur un rame tonic (le bateau de la photo), il faut deux rames :

une verte (TGV ; tribord, gauche, vert) et une rouge (bâbord, droite, rouge). On dit

qu’on rame “en couple”.

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Avant  de prendre le bateau, nous vérifions la barre de pieds. Puis nous l’emmenons

jusqu’au ponton. Les avirons sont posés sur le fil. Le ponton doit parfois être

nettoyé.

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Les bateaux sont lourds, il faut donc travailler en équipe. Quand un groupe va sur

l’eau,

Itziar et Sacha nous accompagnent sur des bateaux à moteur.

Le rameur (ici Amandine) embarque en premier. Puis le barreur (ici Charline) peut

monter à son tour.

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Le jour  de la dernière séance, nous avons fait un mini-championnat en trois

épreuves :

– sur l’eau, il fallait contourner deux bouées, revenir au ponton. C’était un rallye.

– A terre, nous avons fait un rallye d’ergomètres (machines à ramer).

– Il y avait aussi une épreuve de connaissances.

C’est l’équipe des “faucons de l’enfer” qui ont gagné… mais tout le monde a été

récompensé.

Merci à Sacha et Itziar de nous avoir appris à faire de l’aviron.

Zaklina, Dimitri, Léo, Nathan et Sacha

Comment faire de la voile ?

Tous les lundis matin, nous posons nos affaires de rechange dans les vestiaires. Ensuite nous mettons les gilets de sauvetage et nous devons nous mettre en rang devant un tableau où nous inscrivons nos prénoms sur le tableau en face du n° de bateau que nous allons prendre.

Le gréage des bateaux

Nous devons installer les affaires devant les bateaux (voiles, rames, gouvernail et dérive) . Les rames étaient exceptionnelles ce jour-là car il n’y avait pas beaucoup de vent. Nous avons donc monté les voiles sur l’eau alors que d’habitude, nous le faisons sur le sable.

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Malone était en train de nous montrer comment on utilise la rame. Après nous étions en train de pousser les bateaux sur l’eau.

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Avant de démarrer, nous devons mettre le devant du bateau dans l’eau. Notre partenaire doit pousser le bateau puis doit vite monter dedans.

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Gréer sur l’eau n’est pas facile, surtout pour accrocher la livarde !

La navigation

Dès que l’optimist s’éloigne du rivage, on doit mettre le gouvernail (photo 1) et la livarde (photo 2).

Une fois sur l’eau, on doit se positionner assis, face à face avec son partenaire, de manière à ce que quand la voile est derrière moi, je dois tenir le gouvernail et mon partenaire doit tenir l’écoute (la corde de la voile) et vice versa quand le vent tourne.

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Une fois le parcours fait, c’est le premier qui arrive à la bouée qui doit s’attacher à celle-ci .Tous les bateaux doivent s’attacher les uns aux autres afin de se faire remorquer par le bateau à moteur.

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Le rangement

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Avant d’arriver au rivage, il faut enlever le gouvernail et la dérive et ensuite, on tire le     bateau sur le sable.

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On sort la voile pour l’étaler sur l’herbe et la plier. Ensuite on va la ranger dans le hangar.

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On range le gouvernail et la dérive dans le hangar puis on retourne les bateaux.IMG_2095  IMG_2100  IMG_2097

Ensuite, on va au hangar pour enlever notre gilet de sauvetage et on s’arrête devant une ligne bleue où l’on doit enlever notre gilet de sauvetage. On le referme et on le montre à un adulte pour le ranger puis on va au vestiaire pour se changer.

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Aurélie,Laurine, Loreleï, Malone, Waniss et Wyatt

Aujourd’hui nous avons gagné le premier tour des régates contre les écoles de Brie et de Condorcet, on espère passer les quarts de finale !

Lundi 29 juin nous avons gagné au 2ème tour, on a juste pagayé car il n’y avait pas de vent ! Malheureusement, les demi-finales ont été annulées pour cause de canicule ! Alors, on ne saura jamais si on aurait gagné ! Dommage !

La visite des correspondants

Mardi 16 juin, nous avons rencontré nos correspondants. Au début, certains étaient timides.

Nous sommes allés au musée d’Angoulême pour leur montrer notre exposition. Nous avons fait des groupes. Un groupe a visité notre exposition, un groupe a regardé des dessins animés sur l’Afrique (ça n’a pas marché pour tous les groupes) et regardé des livres sur l’Afrique. Le dernier groupe a répondu à des questions sur un livret dans l’exposition “Afrique, la croisée des mondes”, mais celle du musée.

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Après, on est retourné à l’école pour prendre les sacs pour aller pique-niquer au bord de la Charente. Monsieur Astoul nous a apporté le pique-nique. On a mangé et on s’est amusé sur les jeux. On a vu un chien sauter dans l’eau, il voulait manger les canards mais ce sont les canards qui l’ont pourchassé.

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On est retourné à l’école et on a fait 2 groupes : un dans la classe et un dans la salle d’arts plastiques. On a aidé nos correspondants à faire des arbres à palabres. Ils étaient tous jolis.

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Cette journée était super, on s’est bien amusé. Mardi 23 juin, nous irons les voir à Vars.

Leeloo, Marvin et Yanis, CE2

Des mythes au musée

Jeudi 4 juin, nous sommes allés au musée des beaux arts à Angoulême pour voir des œuvres et écouter les mythes que les œuvres montraient, comme Pâris et la pomme d’or… Nous avons vu quatre sculptures et une toile énorme…

A l’école, nous avons nous aussi commencé à écrire des mythes, des contes ou des légendes.

C’est Émilie Falk qui nous a raconté tous ces mythes. Ensuite, on a fait un jeu : il fallait réunir les couples mythologiques ainsi que leur objet (attribut). Par exemple, l’attribut de Dionysos est la grappe de raisin car c’est le dieu du vin.  Yan

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La Guerre De Troie

Priam-872.1.4 Un jour lors des fiançailles de deux dieux, tout le monde avait été invité à la fête sauf la déesse de la discorde. Cela la mit dans une colère si noire qu’elle voulut mettre la discorde partout. Alors, il lui vint une idée : elle laissa une pomme destinée à la plus belle. Seulement trois déesses pouvaient y prétendre : Athéna, Aphrodite et Héra. Zeus, qui ne voulait pas trancher, demanda alors à Pâris de départager les trois déesses. Aphrodite lui promit l’amour de la plus belle femme du monde, il lui donna donc la pomme. Mais la plus belle femme du monde habitait à Sparte et était déjà mariée ! Pâris alla tout de même la chercher et la ramena à Troie. Cette plus belle femme du monde s’appelait Hélène. Quand le mari d’Hélène apprit son départ, il se mit en route pour Troie et déclencha la guerre, on l’appela la guerre de Troie.

Sur le tableau on voit Hector, le frère de Pâris, se faisant tuer et mutiler par Achille et ses soldats. Et sa famille désolée par sa mort pendant que Pâris se cache le visage car il se sent coupable. Rose et Tristan

Psyché

D874.1.2Psyché est une jeune femme merveilleusement belle qui a deux sœurs aussi jolies qu’elle. Elle est si ravissante que les gens de son peuple se mettent à l’adorer. Alors, Aphrodite folle de jalousie demande à son fils Cupidon qu’elle tombe amoureuse et qu’elle se marie avec l’homme le plus laid du monde. Pour le malheur de sa mère, Cupidon tombe sous le charme de Psyché. Elle se fait enlever par le vent  au sommet d’une montagne, et elle apparaît dans un magnifique palais d’or avec de beaux banquets. Elle se marie avec un homme qu’elle ne voit pas car il ne vient que pendant les nuits noires. Mais un jour Psyché commence à s’ennuyer et elle demande au vent si elle pourrait inviter ses sœurs au palais. Psyché raconte alors à ses sœurs toute l’histoire de son mariage et elle leur dit qu’elle ne voit son mari que la nuit. Ses deux sœurs, vertes de jalousie du luxe dans lequel vit Psyché, lui disent de faire attention car ça pourrait être un monstre… Au fil du temps, la curiosité la démange : elle prend une lampe à huile et regarde si son mari est un monstre une nuit qu’il est endormi. Elle découvre alors que son mari est Cupidon mais une goutte d’huile brûlante tombe sur l’épaule de son mari. Cela le réveille et il en veut beaucoup à Psyché d’avoir rompu sa promesse. En colère, il s’enfuit du palais de son épouse. Psyché, malheureuse, demande à toutes les divinités où est Cupidon mais quand elle demande à Aphrodite, sa belle-mère, cette dernière lui demande de faire des tâches impossibles. A l’aide de divinités et d’animaux, Psyché réussit à faire les épreuves, mais…elle est si fatiguée qu’elle tombe dans un sommeil si profond que quand Cupidon, qui était prisonnier dans une des chambres de la maison de sa mère réussit à s’échapper de ses griffes, elle est encore endormie. Cupidon pardonne alors à Psyché et la transforme, elle aussi en sa déesse.

Laurine et Sari

La douleur d’Orphée

992_12_1aIl était une fois un homme qui s’appelait Orphée. Il était amoureux d’une femme nommée Eurydice. Un jour, lors de leur mariage, elle se fit mordre par un serpent et en mourut, elle alla en enfer. Fou de rage, Orphée fit un pacte avec Hadès pour reprendre sa bien-aimée et il lui demanda de récupérer sa femme. Hadès fut d’accord mais à condition qu’Orphée ne se retourne pas pour voir Eurydice qui le suivait jusqu’à ce qu’ils soient sortis des enfers. La légende dit qu’Orphée se retourna car il n’entendait plus les pas d’Eurydice et elle c’est ainsi qu’elle s’évapora. Enzo et Malone

Vénus et Adonis

838.1.4 Vénus est tombée amoureuse d’un garçon qui se dénommait Adonis mais il y avait un problème, une autre déesse, Perséphone, l’aimait aussi. Alors, les filles se disputent et Zeus décide de partager l’année en trois : pour chacune, un tiers et donc Adonis faisait ce qu’il voulait le dernier. Mais comme il était très amoureux de Vénus, il décida de rester plus de temps avec elle. Ce qui rendit très jaloux Arès, dieu de la guerre, qui est l’amant officiel de Vénus. Alors, il va provoquer un accident de chasse à Adonis, qui va mourir à cause d’un sanglier, attribut d ‘Arès. Mais il y a de nombreuses autres versions probables concernant l’assassin d’Adonis (peut-être Perséphone jalouse ou Héphaïstos, le mari de Vénus…)

Sur ce tableau, on voit le début et la fin de cette histoire en même temps !

Loreleï et Tristan

Le vernissage de notre expo temporaire

Au vernissage de l’exposition temporaire de l’école Paul Bert, nous, deux CM2, avons tenu le rôle de médiateurs à l’exposition. Nous avons présenté les œuvres à ceux qui l’ont visitée pour savoir ce qu’elles signifiaient.

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Sur la 1ère photo, nous étions en train de faire une répétition avant le grand jour. Émilie, maître Clément et la maîtresse de CE2 nous ont donné des conseils.

Les deux dernières photos ont été prises vendredi 15 mai au soir quand nous avons  inauguré l’expo :

D’abord, nous avons présenté chacun de notre côté les œuvres à différentes personnes, on allait vers les gens afin de leur expliquer l’œuvre qu’il regardait (quelle importance ça avait en Afrique, comment on avait métissé l’objet…). “Moi, j’ai fait la visite guidée entière à Céline !” Tristan Moi, j’ai expliqué à ma maman car elle ne savait pas trop ce que les œuvres représentaient” Elyjah

Puis tout le monde est redescendu dans le hall afin de faire les discours. Il y a Émilie Salaberry qui était commissaire d’exposition puis Samuel Cazenave, l’adjoint à la culture de la mairie d’Angoulême, qui ont expliqué comment l’exposition avait été préparée. Enfin, nous nous sommes relayés pour lire un texte que nous avions écrit avec la classe.

“J’avais tellement peur que j’avais envie de faire pipi dans mon pantalon !” Elyjah “Mais moi aussi, j’avais peur !” Tristan

Nous avons bien lu notre texte et on s’est fait entendre de toute la salle en grimpant sur une chaise. Après, on nous a félicités pour notre lecture. Après les discours, il y a eu un buffet pour manger.

“Moi, j’ai aimé présenter les œuvres aux autres personnes !” Tristan

“Moi, j’ai plus aimé faire le discours.” Elyjah

Si vous n’avez pas encore vu l’expo “A La croisée des mondes”, il vous reste jusqu’à fin août ! N’hésitez pas, venez nombreux !

Tristan et Elyjah du CM2