Les CE2, dans la peau d’un monteur…

Les CE2 sont allés au musée tout mardi 12 et mercredi matin 13 mai pour disposer les œuvres qui allaient être exposées dès le vendredi soir.

Une fois entrés au musée, les enfants se sont installés et ils ont commencé à se séparer en deux groupes : un  groupe a  coupé le tissu pendant que l’autre a observé l’exposition faite par le musée.

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Ensuite, tous les CE2 ont mis les graffitis puis ils se sont séparés en trois groupes :

Un groupe a placé les awalés dans les vitrines pour ne pas qu’ils tombent.

Le deuxième a accroché les masques ( un masque qui s’appelait Hulk a été échangé avec celui de Superman) et installé les vêtements.

Puis  le dernier groupe a mis en place les deux maquettes des CM2 et les pirogues, et a installé du tissu sous le village.

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Enfin, tous les enfants ont décoré le tronc d’arbre et l’ont placé sous les branches suspendues, et ils ont accroché les animaux et les fruits sur l’arbre.

En dernier, ils ont mis les scoubidous à l’entrée.

Les CE2 ont apprécié de faire ce métier !

Brayan, Emmanuel, Jolan, Mathis avec en rédacteurs en chef Nabil et Waniss

Les monteurs au CE2 et les metteurs en scène au CM1

Jeudi 12 Mars, quelques personnes dont l’une venait de Paris (Philippe, que l’on voit sur la 2ème photo, c’est le scénographe et les autres personnes : Émilie la commissaire d’exposition du musée d’Angoulême, Émilie Falk qui est médiatrice et Benjamin qui est transporteur des œuvres) sont venus pour nous expliquer leur métier.

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Au CM1, les élèves vont être des metteurs en scène :

Nous allons être scénographes, c’est à dire qu’ il va falloir mettre en scène les objets qui seront choisis, mettre en valeur les œuvres exposées.

La scénographie :

Émilie, la commissaire d’exposition, nous a expliqué son métier : Il s’agit de savoir comment on va présenter chaque œuvre pour faire une petite histoire.

Mais d’abord, Il faut choisir les œuvres sélectionnées en faisant un dossier de photos qu’il faut envoyer à la commissaire d’exposition ( pour nos œuvres, c’est Émilie Falk qui as pris les photos). Une fois que la commissaire d’exposition a choisi les œuvres, (Emilie est aussi venue à l’école pour voir les œuvres “en vrai”), il faut faire des croquis pour savoir l’emplacement exact : on va dessiner la pièce et voir si on installe les œuvres au mur, au plafond, sur un socle… Ensuite, on doit les emballer et Benjamin doit les transporter au musée.

Aux CE2, les élèves vont être des bricoleurs :

Ceux qui montent les œuvres doivent les accrocher, les mettre à l’endroit où les scénographes disent de les placer. Par exemple les branches, l’ananas pailleté, la pirogue…. on va les suspendre. Certaines œuvres comme la maquette « mélange de territoires » va devoir être posée.
Il va falloir tout bouger sans rien casser, transporter les œuvres dans un camion avec du papier journal autour pour les protéger, parfois même, une sorte de plâtre autour. On va monter sur des échelles : ce qui va être le plus dur, c’est d’accrocher les œuvres au mur et au plafond sans que ce soit de travers !

Sur la 3ème photo, on aperçoit Benjamin, le transporteur, qui va emmener les œuvres au musée.

Au CM2 les élèves vont s’occuper de la communication :

C’est à dire qu’ils vont créer l’affiche, les flyers et qu’il vont être médiateurs lors de l’inauguration !

Anna, Emma, Loreleï, May-Lyn , Wyatt et Zaklina

Jeu d’orientation sur l’île Marquet

Cette année, les CM2 ont travaillé sur l’île Marquet. Vous pouvez y accéder de la passerelle Corto Maltese, en face du musée de la BD.

Afin que vous découvriez aussi l’île, voici notre jeu d’orientation : il s’agit de retrouver les photos et de les situer sur la carte. Bonne balade !

photo A                                  photo B                           photo C

photo D                                photo E                              photo F

photo G

Correction :


 

La sortie à la STGA

Jeudi 5 juin, la classe est allée à la STGA pour voir le fonctionnement de la Société de Transport du Grand Angoulême. Nous sommes allés dans une salle où il y avait des animateurs.On a donné un chronomètre à Souhil car il y avait 4 ateliers et chaque atelier devait durer 20 minutes.

1er atelier

On a été avec un chauffeur : il nous a expliqué plein de choses sur les bus et sur son métier : un bus accordéon mesure 18m et  peut  transporter environ 200 personnes, un bus normal peut transporter environ 100 personnes, il fait 12 m et les mini-bus, eux, ne font que 7 m de long et peuvent porter 20 personnes maximum. Il nous a aussi expliqué l’heure à laquelle les chauffeurs peuvent travailler, de 5h45 à 21h00.

Voilà le parking des bus. On voit  Félicie, sur la photo 3, essayez de rentrer le ticket dans le composteur. Le monsieur nous a expliqué qu’il y avait des rampes P.M.R (pour personne à mobilité réduite) pour monter dans le bus les fauteuils roulants (photo 1) !

 

Le chauffeur nous a aussi dit que dans le bus, il y avait des miroirs pour notre tranquillité (photo 3). Dans les bus urbains, il n’y a pas de ceintures alors que dans les bus qui font de longs trajets, il y en a.

2ème atelier

Le 2ème atelier consistait à visiter le garage et le monsieur nous a dit qu’il fallait 120 litres de gazole pour un bus. Le lavage s’effectue avec des rouleaux et dure1h30 environ. On lave les bus une fois par semaine avec de l’eau de récupération. Les bus sont vérifiés 2 fois par an. Dans un coin du garage, il y a 3 grands bacs pour le tri sélectif (photo 1) : ferraille, cartons et papiers propres et les déchets industriels banals. Maintenant, la STGA consomme moins de papier par an grâce au tri sélectif.

  

3ème atelier

Nous avons vu un conducteur qui nous a fait visiter leur espace : Tous les matins, les chauffeurs regardent  dans leur casier pour voir s’il y a quelque chose et après, il vont voir sur un ordinateur s’ils roulent aujourd’hui.

Dans se service, il y avait 2 échangeurs de pièces contre des tickets. Il y avait aussi un poste central où un monsieur ait tout : quel conducteur roulait et à quelle vitesse.

                                                           4ème atelier

Nous sommes allés rencontrer une dame qui nous a expliqué les règles du jeu de l’oie. On s’est partagé en deux groupes. Il fallait lancer le dé et répondre aux questions en rapport avec la STGA : par exemple, dans combien de communes passent les bus ? (16)  Si on avait juste, on avançait et si on avait  faux, on restait à notre place.

C’est l’équipe orange qui a gagné un mini-bus à construire et un bonbon. Les jaunes ont eu un bonbon aussi. A la fin, la monitrice nous a donné à tous des stylos avec une main au-dessus (pour faire signe au chauffeur !).

Maintenant, nous sommes tous prêts à prendre le bus pour la sixième !

Camille, Édith, Félicie, Myriam, Souhil, Tiphaine

 

 

La Charente aux temps préhistoriques

Le 24 Septembre, nous sommes allés au musée des Beaux Arts pour parler de la Charente aux temps préhistoriques.

Arrivés dans la première salle, Émilie nous a expliqué que la Charente était recouverte par la mer, c’est pourquoi nous observons des fossiles d’ammonites dans les vitrines.

Émilie nous a montré comment étaient les ammonites autrefois. La 3ème photo, c’est un fossile d’oursin, c’est aussi un animal marin.

Quand la mer s’est retirée, les dinosaures sont apparus comme ce sauropode dont nous voyons l’os de la cuisse. Puis Félicie nous a montré  l’endroit sur la maquette .

 

Un peu plus loin, nous regardons les animaux du climat froid (photos 1 et 2). Puis, dans la vitrine d’en face, nous découvrons les défenses de l’éléphant qui a vécu dans le climat chaud (photo 3). C’est ainsi que l’on sait que la Charente a connu différents climats !

Nous avons tous été surpris de découvrir qu’ autrefois, vivaient en Charente des éléphants et des dinosaures…!!

Emma, Édith et Éva

Les p’tits archéologues au travail !

Nous avons fait des fouilles archéologiques au musée des Beaux Arts avec l’aide d’Émilie,  une médiatrice (guide). Dans une salle spéciale, grâce à des pinceaux, des demi-bouteilles et des seaux pour mettre le sable, nous avons déterré des squelettes, des poteries et des outils…

Tout ce que nous avons trouvé était des moulages car cet endroit est un chantier école.

Nous étions placés dans des sortes de carrés délimités par des fils, car les archéologues visualisent en gros plan !

 

Thomas a trouvé des petits objets (photo 1) : c’était des petits présents pour offrir aux dieux, pendant l’Antiquité. Édith et Camille ont trouvé le mur d’une maison de l’antiquité et Ludovic des vases, un pot et un outil, une sorte de tournevis : pendant l’Antiquité, cet endroit était une maison.

 

Kelian, Éva et Tiphaine ont trouvé des squelettes d’hommes : c’étaient des squelettes enterrés au Moyen Age dans un cimetière, par-dessus la première maison de l’Antiquité, qui était démolie à cette époque!

Certains d’entre nous ne pensaient pas que le travail d’archéologue demandait autant de patience !

Camille, Kelian, Ludovic et Tiphaine

La STGA

Notre visite à la S.T.G.A.

Jeudi 13 juin, nous sommes allés visiter la S.T.G.A. (Société de Transport du Grand Angoulême) : Nous sommes partis en bus à neuf heures à l’arrêt Denis Papin, il y avait aussi la classe de M. Renaudin qui y allait. La maman de Julia nous a accompagnés. Quand nous sommes arrivés, il pleuvait et nous avons fait 4 ateliers:

Le jeu de l’oie géant


Le but du jeu était de jeter un dé en mousse et de répondre à des questions : Nous avons ainsi appris qu’il y avait 9 lignes régulières qui passent à Angoulême et 10 en périphérie, qu’un ticket coûte 1€30, qu’il y a 5 sortes de tickets différents…

Les gagnants ont eu un mini bus en carton à construire. Et nous avons tous eu des bonbons.

Visite du garage 

.Nous avons assisté au lavage d’un bus : L’eau qui sert à cela est de l’eau de pluie qui est ensuite filtrée et réutilisée. On utilise 350 litres pour laver un bus, mais seulement une fois toutes les trois semaines.

Nous avons vu aussi l’atelier de peinture et le magasin de pièces détachées. L’essence utilisée est un mélange de gasoil et d’huile de colza, c’est plus écologique.

 

Comment sont les bus ?

Il y a plusieurs bus :

Les bus standards qui peuvent loger 80 personnes, ils mesurent 12 mètres et pèsent 12 tonnes.

Il y a aussi des bus accordéons (articulés) qui peuvent loger 150 personnes, qui mesurent 18 m et pèsent 18t.

A l’avant du bus, il y a une machine qui permet de valider son ticket ou sa mobili’carte.

Il y a une caméra de sécurité pour savoir s’il y a eu du bazar dans le bus ou si le chauffeur s’est fait agresser . Cette caméra enregistre ce qui s’est passé dans chaque bus .

La salle de contrôle

On a vu la pointeuse qui sert à voir si les chauffeurs ont embauché. Il y a aussi un psychologue parce que les chauffeurs peuvent se faire agresser.

Tous les matins, chaque chauffeur a une feuille qui lui permet de savoir sur quelle ligne il doit rouler, à quelle heure….

Dans une autre pièce, sur le mur, un écran permet de voir si les chauffeurs roulent ou s’ils sont en retard.

A la fin de notre visite, nous sommes repartis en bus jusqu’à l’arrêt Denis Papin.

Agathe, Dounia, Léo, Luca, Lucas et Valentin T.

Notre jeu

1- Combien coûte un ticket de bus pour un voyage ?

2- Combien il y a de lignes de bus du Grand Angoulême ?

3- Combien un bus” normal” peut contenir de personnes ?

4- Combien un bus accordéon peut contenir de personnes ?

5- Que veut dire le mot STGA ?

6-Combien de tonnes pèse un bus standard ?

7-Combien de mètres mesure un bus standard ?

8-Combien de mètres mesure un bus accordéon ?

9-Combien pèse le bus accordéon ?

10-Que met-on dans l’essence pour moins polluer ?

 

1 : 1,30€    2 : 19 lignes passent sur le Grand Angoulême    3 : 80 personnes    4 : 150 personnes    5 : société de transport du grand Angoulême    6 : 12 tonnes    7 : 12 mètres    8 : 18 mètres    9 : 18 tonnes    10 :  de l’huile de colza

 

 

Des couples d’amoureux au musée…

Mardi 4 juin, nous sommes allés au musée des beaux arts, voir une exposition sur les mythes et certains couples de la mythologie : plus particulièrement, Psychée et Cupidon, Adonis et Vénus, Pâris et Hélène et Orphée et Eurydice.

En premier, Marion Cornebise et une stagiaire nous ont raconté les histoires de chaque œuvre, des tableaux et des sculptures, devant lesquelles nous nous sommes assis pour écouter.

A la fin, nous avons fait un petit jeu où il fallait  reconnaître les couples et certains objets qu’ils avaient (leurs attributs) puis expliquer l’histoire de chacun d’eux.

Agathe, Alizée, Céleste, Ryan, Steffy

Orphée et Eurydice

Il était une fois une fille, Eurydice, qui mourut, piquée par un serpent vénimeux. Elle partit donc en enfer. Mais elle était en couple avec Orphée, qui était un artiste : il dansait, chantait et jouait de la lyre magnifiquement. Donc, Orphée décida de partir chercher sa femme qui était en enfer.

Pour entrer dans l’enfer,  il faut passer une rivière. Pour la traverser, il faut faire appel au passeur, mais, celui-ci ne voulait pas faire passer Orphée car il était encore vivant. Orphée joua donc de la lyre et ça endormit le passeur.

Ensuite, Orphée rencontra Cerbère, le chien à 3 têtes, gardien de l’enfer (on le voit sur la sculpture) et, lui aussi, il l’endormit grâce à sa danse et sa musique.

Orphée réussit ainsi à entrer dans l’enfer. Là, il alla voir le dieu Hadès et sa femme Perséphone et il leur demanda s’il pouvait ramener avec lui Eurydice. Mais Hadès et Perséphone refusèrent. Comme Orphée n’était pas près de renoncer, il prit sa lyre et joua, les deux dieux furent envoutés et finalement lui dirent oui ! Mais à une condition : sa femme devait rester derrière lui et il ne devait pas la regarder jusqu’à la sortie des enfers. Il accepta et il partit sans voir Eurydice, mais elle était derrière lui et puis, il entendait ses pas. Malheureusement, à un moment, il ne les entendit plus, alors, il s’inquiéta . Et finalement, il regarda sa femme si belle, et au même moment, elle disparut pour toujours !

Céleste, Emeline, Marcus, Romain

Psychée et Cupidon

Psychée était une femme très belle, tellement belle que la déesse Aphrodite tomba jalouse et demanda à Cupidon (Cupidon s’appelait Apollon dans la mythologie Grecque), de jeter une flèche sur un garçon moche qui tomberait donc amoureux d’elle ! Mais Cupidon, dès qu’il vit Psychée, tomba amoureux d’elle et sa flèche se retourna contre lui !

Psychée avait 2 sœurs. Mais ses sœurs étaient mariées et avaient des enfants. Son père voulait que sa fille est un mari aussi. Alors, il alla voir la pythie, une sorte de médium, qui lui dit d’emmener Psychée en haut d’une colline, où un dragon l’emmènerait et l’épouserait. Heureusement, le vent la poussa jusqu’à un château en or avant que ce dragon n’arrive. Quand elle y entra, Psychée vit un festin qu’elle mangea et elle se coucha dans un lit.

Psychée resta dans ce palais quelques semaines. Et toutes les nuits , Cupidon la rejoignait dans le noir. Mais elle ne savait pas qui il était, pourtant, elle devint amoureuse de lui mais sans jamais le voir car Cupidon lui avait bien dit de ne jamais chercher à le regarder, sinon il disparaitrait à jamais.

Un jour, ses sœurs, qui étaient jalouses de Psychée parce qu’elle vivait dans un château en or, lui dirent : « Tu devrais voir qui est ton amoureux … » Le soir même, Psychée fit ce que ses sœurs lui avaient dit de faire : elle prit une lampe à huile pour regarder qui était son amoureux et elle reconnut Cupidon qui était très beau. Malheureusement, elle renversa une goutte d’huile sur son bras et il se réveilla. (C’est pour ça que Psyché tient une lampe à huile sur la sculpture, c’est son attribut).

Alors, Cupidon lui dit qui ne fallait plus qu’ils se revoient et il s’en alla. Psychée était triste car elle ferait tout pour lui ! Donc le lendemain, elle partit à sa recherche. Elle alla le chercher sur le territoire des dieux, qui devant tant de peine, lui donnèrent à traverser beaucoup d’épreuves afin de retrouver Cupidon.

A la fin, ils se retrouvèrent et eurent une fille qui s’appelait Volupté.

Agathe, Chloé, Léo

Pâris et Hélène

On a vu un tableau (“La mort d’Hector”),  qui parlait de la guerre de Troie :  il y avait une femme qui priait le roi Priam ( c’est le personnage barbu qu’on voit en 1er, il porte une grande tunique rouge), elle le priait d’aller chercher le corps de son fils qui était mort, pour l’enterrer.

On voit ce fils nu se faire tirer par un char, au fond du tableau. Il s’appelle Hector, c’est Achille qui tire le char car Hector avait tué son meilleur ami Patrocle au cours d’un combat.

Mais dans un coin du tableau, on voit Pâris, le frère d’Hector qui se cache le visage car il est responsable de la mort de son frère : en effet, un jour Pâris avait rencontré 3 déesses qui lui avaient demandé qui était la plus belle d’entre elles. Comme Pâris avait choisi Aphrodite, en cadeau, Aphrodite lui offrit une pomme d’or (qui symbolise sa beauté ), et en plus, elle lui promit de lui trouver une fiancée, qui soit la plus belle du monde. Cette femme s’appelait Hélène et elle vivait, déjà mariée, à Sparte. Effectivement, quand Pâris la vit, il tomba amoureux d’elle et il l’enleva. Donc, c’est à cause de Pâris qu’il y eut cette guerre qui causa la mort de son frère !

Tous les jours, Achille tire le corps d’Hector autour de Troie. Mais Priam, le roi de Troie, récupèrera finalement le corps de son fils, qui grâce aux dieux, ne s’est pas décomposé et il l’enterrera.

Sur la gauche du tableau, on voit aussi une femme évanouie, Andromaque, c’est l’épouse d’Hector et une autre vieille femme, Ecube, qui a l’air choqué, c’est la femme de Priam et la mère d’Hector et de Pâris.

Luca, Steffy, Marcus

Adonis et Aphrodite

Un père voit que sa fille est enceinte sans être mariée, donc il veut la tuer. Mais Aphrodite (Aphrodite s’appelle Vénus dans la mythologie romaine) a pitié d’elle. Donc quand le père arrive avec sa hache, elle le transforme en arbre et l’ arbre est tranché en deux. Mais le bébé est toujours vivant et quelques mois plus tard, il naît entre le tronc tranché.

Aphrodite prend alors le bébé et décide de le confier à Perséphone, déesse des fleurs qui vit dans l’enfer avec son mari Hadès.

Elle revient pour le reprendre quelques années plus tard mais Perséphone veut le garder car elle l’aime comme son fils. Zeus décide donc qu’Adonis restera un tiers de l’année avec Perséphone, un autre tiers avec Aphrodite et un autre tiers de l’année tout seul. Mais Aphrodite le veut pour elle seule pendant plus longtemps, donc elle va utiliser ses pouvoirs pour qu’Adonis reste plus longtemps avec elle et elle tombe amoureuse de lui !

Quand Perséphone apprend ce qu’Aphrodite a fait, elle dit à Arès, un des amants d’Aphrodite, qu’Aphrodite aime Adonis plus que lui. Arès n’est pas content et il va essayer de tuer Adonis, mais pas directement : il va faire qu’un sanglier le tue quand Adonis ira à la chasse. C’est le moment qu’on voit sur le tableau : justement, Adonis part à la chasse et il se fait tuer par le sanglier ! Et Aphrodite, à côté, se désole…

Céleste et Ryan

Comment faire une fresque antique ?

Pendant notre séjour à Lessac, nous sommes allés à Embourie, près de Villefagnan, visiter les vestiges d’une villa gallo-romaine.

 

 

 

 

 

 

 

Aurélie, notre guide, nous a expliqué qu’on n’avait pas encore découvert tous les restes de la villa. Nous avons pu reconnaître l’emplacement de plusieurs murs (photo 1), des seuils de porte (photo 2),  et une canalisation pour évacuer les eaux usées (photo 3).

 

Cette villa nous a paru grande, mais on a eu du mal à l’imaginer en entier. Heureusement, nous avons visité le musée, et nous avons pu admirer une maquette de la villa telle qu’elle pouvait être.

 

 

 

 

 

 

 

Les archéologues ont retrouvé ce “chapeau” (le haut d’une colonne). Dans cette villa il y avait une colonnade : un grand couloir avec plein de colonnes sur le côté. De là, les habitants de la villa antique pouvaient admirer le jardin.

Beaucoup de morceaux de fresque ont été retrouvés. Les spécialistes les ont regroupés par couleur, puis ont essayé de former un “puzzle”.

La classe de CM1 

 

L’après-midi, nous avons créé une fresque antique. Nous allons vous expliquer comment faire.

1. D’abord, il faut : de la chaux, du sable, de l’eau et des pigments (couleurs en poudre).

2. Prendre une auge (une bassine) et verser la chaux, le sable et l’eau. C’est mieux de le faire à l’extérieur, car la chaux fait beaucoup de poussière.

 

 

 

 

 

 

3. Mélanger ces trois éléments à l’aide d’une truelle, en soulevant bien pour que le mélange soit homogène. On obtient une sorte de mortier.

 

 

 

 

 

 

 

 

4. Etaler le mélange sur une tuile à l’aide la truelle, et bien lisser ; cela fait remonter l’eau à la surface.

 

 

 

 

 

 

 

5. Décorer avec des pigments (préalablement mélangés à de l’eau) et à l’aide de pinceaux.

Et voilà votre fresque est terminée. Attention elle reste très fragile.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Tiphaine, Farah et la maitresse

 

 

L’Houmeau, notre quartier

Mardi 12 mars, nous avons fait une sortie pour découvrir L’Houmeau de 1800 jusqu’à 1900 environ.

En premier, nous sommes allés au musée des beaux arts pour regarder 2 tableaux en particulier : l’un parle de l’intérieur d’une toute petite maison et l’autre de l’Houmeau.

Après, nous sommes partis au musée du papier, en chemin nous avons regardé le musée du haut des remparts. Quand nous sommes arrivés, nous avons remarqué que l’eau de la Charente faisait un bruit épouvantable, donc David Garandeau nous a prêté un casque et un petit boitier pour mieux entendre ce qu’il nous disait. Nous avons parlé des anciennes usines à papier, de leurs ouvriers, des toilettes…

Céleste, Doriane et Julia

 Les tableaux du musée

Dans les maisons comme celle-ci, il y avait seulement  deux pièces : une pièce dans laquelle il y avait le salon et la cuisine ; et une autre dans laquelle il y avait une chambre.

Sur ce tableau d’Armand Vergeaud “le berceau“, on voit une maie où on rangeait la pâte à pain et la farine. On voit aussi un berceau de bois posé à côté de la cheminée, sûrement pour se réchauffer comme il n’y avait pas de radiateurs !

Dans la cheminée, on faisait cuire les plats. Les femmes de la campagne étaient habillées de la même façon : elles portaient souvent des coiffes et des tabliers.

Lucas et Ryan

Sur le 1er tableau : Les villageois  transportaient les animaux avec un bateau d’une rive à l’autre. Il y avait des cordes parce que les femmes devaient faire avancer le bateau grâce à leur force.

Sur le 2ème tableau : A l’époque les femmes mettaient un bout de bois  qui tenaient les bidons de lait derrière leur nuque.

Sur le 3ème tableau : C’était l’inauguration de l’église St Martial.

Batiste et Eva

 

Voici un tableau de Gaston Boucart intitulé “La Charente à l’Houmeau“.

Un bateau lavoir (on l’aperçoit derrière la gabare, il est recouvert d’une sorte de chapiteau) servait à nettoyer le linge, il restait immobile : les femmes  se penchaient près de l’eau pour laver les draps, les vêtements… C’était un travail difficile car en hiver, elles avaient les doigts gelés ! On étendait ensuite ce linge pour le sécher, sur l’île Marquet, juste en face. Benoît, Tim

On aperçoit derrière une usine à gaz, elle n’existe plus car comme la ville s’est agrandie, il ne fallait pas que ça explose dans la ville !

Avant, on utilisait du gaz pour faire fonctionner les réverbères : quelqu’un allait les allumer tous les soirs. ” Ça devait être pénible de monter et descendre à l’échelle et de la transporter !”  Romain, Léo

Le fleuve Charente

Sur la photo 1, à gauche : Le Nil  était une ancienne usine qui fabriquait du papier pour les cigarettes. Ce nom et son logo (l’éléphant) ont été donnés car ils vendaient du papier jusqu’en Égypte. Cette papeterie est maintenant fermée ( depuis 1970 )  et va devenir une école d’ images. La proximité de l’eau permettait d’en prendre pour faire ce papier.

Sur la photo 2 : On voit une maquette qui montre les anciennes papeteries le long de la Charente (en vert). Celles qui sont fermées ont des points rouges, et il y en a beaucoup.

Dans les papeteries, on fabriquait du papier en : 1 il faut découper du lin (ou un autre tissu); 2 il faut préparer la pâte avec le lin   ; 3 le mélange de la pâte ;  4  le tamisage ;  5 la presse  et en 6 le séchage .

Sur la photo 3 : La Charente se jette dans l’océan Atlantique à Rochefort et traverse plein de villes : Angoulême, Jarnac, Cognac, Saintes et Rochefort. Il y avait plein de méandres et on commerçait à partir d’Angoulême jusqu’à l’océan Atlantique.

Alizée, Luca, Marcus, Ryan, Steevy et Valentin T.

Nous avons vu une photo qui représente une gabare, avec des voiles blanches. Avant, ce bateau transportait beaucoup de marchandises ( barriques de vin, du calcaire, des briques, des tuiles…) et de temps en temps du bétail.

Le mât de la gabare se repliait pour pouvoir passer sous les ponts et les femmes tiraient les cordes reliées au bateau sur les sentiers de hallage. Aujourd’hui, ces sentiers sont la coulée verte ! Emeline et Ryan

“Je trouve qu’avant, les femmes travaillaient beaucoup !” Ryan

Maintenant la Charente n’est plus un fleuve pour le commerce. Sur la Charente, on y fait des loisirs comme l’aviron, le canoë (etc…). Beaucoup de bateaux y naviguent l’été comme loisirs. Chloé et Dounia

 Le musée du papier autrefois

1ère photo : Il y avait une crèche dans l’usine de papier pour garder les enfants des ouvrières  car il n’y avait pas de crèche à l’extérieur. C’était une époque où les femmes devaient rester chez elles pour garder leurs enfants. C’était le début du travail des femmes, 2 tiers des ouvriers de cette papeterie étaient des femmes.

2ème photo et 3ème photo : Les ouvriers fabriquaient du papier à cigarettes avec des machines et aussi à la main. Il y avait des jeunes personnes qui y travaillaient aussi.

Batiste et Eva

Voici les toilettes anciennes de l’usine du Nil.

A quoi servaient-elles et pour qui ?

Elles servaient quand les employés en avaient besoin .

Est-ce que c’était pratique ?

A leur époque, c’était plus pratique que d’aller dehors !

Est-ce que c’était plus rapide ?

Oui, cela permettait de gagner du temps de travail !

Agathe  et Alizée

Angoulême toujours à la page

Nous avons vu Angoulême dans le futur sur le 1er écran : Angoulême était un personnage qui se promenait dans la ville.

Les autres écrans montraient qu’Angoulême est toujours “à la page” : Avant, un papier de très bonne qualité était vendu au roi de France (nous avons aussi vu la roue qui fabriquait l’ énergie pour faire du papier). Aujourd’hui Angoulême est à la pointe de la création d’images (jeux vidéo, B.D., dessins animés…).

Chloé et Dounia