Nicolas et la sorcière (conte)

Les enfants de Grande Section de la maternelle et ceux du Cours Préparatoire ont inventé ce conte collectif (en alternance) qu’ils vous soumettent. Nous vous en souhaitons une bonne lecture:

 

C’est l’histoire d’un petit garçon qui s’appelle Nicolas. Il vit dans une roulotte tirée par le cheval Capucin. Sa maman est morte parce qu’elle est tombée de cheval. Son papa s’appelle Mika. Sa mamie Polka vit avec eux. Ils habitent en Russie.

Mais la sorcière Babayaga veut se marier avec Mika. Elle est amoureuse de lui parce qu’il est joli.

Un jour, la sorcière vient chez lui pour le lui dire, mais Mika refuse. Alors pour se venger, elle jette un sort à toute la famille.

Dès le lendemain matin, lorsque Nicolas, Mika et Polka se réveillent, ils se retrouvent perdus dans un épais brouillard. Ils n’y voient rien du tout, et Capucin non plus.

Tout à coup, ils sont pris dans une tornade qui emmène la roulotte et le cheval. Quand la tornade s’arrête, la roulotte se retrouve dans un pays qu’ils ne connaissent pas.

Le brouillard parti, la roulotte se retrouve entourée de loups aux yeux rouges et qui parlent. Il y a tout autour des grands arbres dont les branches ressemblent à des bras. Ils ont aussi les yeux rouges.

Heureusement une fée arrive. Elle s’appelle Elise. Nicolas se présente et lui demande de l’aider et de faire que sa maman revive. Elise prend sa baguette et fait apparaître la maman. Nicolas, Mika et Polka sont très heureux de la retrouver.

Ensuite, Elise aspire les loups avec sa baguette, et dans un tourbillon, elle les envoie par terre dans le château de la sorcière Babayaga. Là, les loups se réveillent, mangent la sorcière et du coup, redeviennent gentils.

Alors, toute la famille décide de partir au Brésil parce qu’ils veulent faire le fête, danser la zumba, aller à la plage et se baigner.

Nicolas grandit, devient champion de foot, se marie et vit heureux avec sa femme et ses enfants.

FIN

 

 

La voile

Tous les mardis, nous faisons de la voile au plan d’eau de St Yrieix, notre monitrice s’appelle Sylvie. On a eu six séances de voile avant les régates. En classe, nous faisons les équipes par 2 ou tou seul puis à 1heure, on s’habille en tenue de voile.

Arrivés à l’école de voile, on pose nos sacs dans les vestiaires, on passe aux toilettes et ensuite on met nos gilets de sauvetage pour ne pas se noyer dans l’eau ! Après Sylvie écrit les équipes sur son tableau blanc pour savoir qui est dans quel bateau. Enfin, on prend la voile, la dérive et le gouvernail et on les emmène sur la plage.

On porte le bateau à quatre, on le retourne, on prend la voile et on plante le mât dans un trou et ensuite on déplie la voile. On met la livarde et on attache l’écoute. Tout cela s’appelle gréer son optimist.

Sur la deuxième photo, Émeline vérifie que le gilet de Ludovic soit bien mis et Félicie grimace car une sangle de son gilet était trop serrée.

Après, nous poussons les bateaux vers l’eau et on doit se préparer pour le départ. Dès que l’on est sur l’eau, l’un met la dérive et l’autre accroche le gouvernail. Chaque séance, nous réalisons un parcours : nous naviguons sur l’eau pour arriver aux bouées de couleur bleue, rouge, verte, jaune en les contournant ou en s’y accrochant.

 

Quand nous sommes tout seul sur le bateau, la voile penche souvent de notre côté et alors, exceptionnellement, nous changeons de coté. Mais quand nous sommes 2 sur le bateau, nous ne devons pas changer de place : celui qui est face à la voile s’en occupe et l’autre dirige.

A la fin de la séance, nous retournons à la plage : il faut viser sa place, descendre du bateau là où on a pied. Il faut penser à enlever sa dérive et son gouvernail avant !

Ensuite, on range. Nous retournons les bateaux et les montons sur les pneus puis nous prenons la  voile. Il faut l’enrouler comme un saucisson et la ramener dans le garage ainsi que le gouvernail, la dérive. Après nous enlevons le gilet de sauvetage en nous arrêtant devant la ligne blanche où la maitresse vérifie que nous l’avons bien fermé.

Puis, nous changeons et nous rentrons à l’école.

Si nous gagnons les régates, la maîtresse a dit qu’elle nous offrirait une glace du parfum de notre choix : ça nous motive !

Camille, Emma, Eva, Kelian, Myriam

La sortie à la STGA

Jeudi 5 juin, la classe est allée à la STGA pour voir le fonctionnement de la Société de Transport du Grand Angoulême. Nous sommes allés dans une salle où il y avait des animateurs.On a donné un chronomètre à Souhil car il y avait 4 ateliers et chaque atelier devait durer 20 minutes.

1er atelier

On a été avec un chauffeur : il nous a expliqué plein de choses sur les bus et sur son métier : un bus accordéon mesure 18m et  peut  transporter environ 200 personnes, un bus normal peut transporter environ 100 personnes, il fait 12 m et les mini-bus, eux, ne font que 7 m de long et peuvent porter 20 personnes maximum. Il nous a aussi expliqué l’heure à laquelle les chauffeurs peuvent travailler, de 5h45 à 21h00.

Voilà le parking des bus. On voit  Félicie, sur la photo 3, essayez de rentrer le ticket dans le composteur. Le monsieur nous a expliqué qu’il y avait des rampes P.M.R (pour personne à mobilité réduite) pour monter dans le bus les fauteuils roulants (photo 1) !

 

Le chauffeur nous a aussi dit que dans le bus, il y avait des miroirs pour notre tranquillité (photo 3). Dans les bus urbains, il n’y a pas de ceintures alors que dans les bus qui font de longs trajets, il y en a.

2ème atelier

Le 2ème atelier consistait à visiter le garage et le monsieur nous a dit qu’il fallait 120 litres de gazole pour un bus. Le lavage s’effectue avec des rouleaux et dure1h30 environ. On lave les bus une fois par semaine avec de l’eau de récupération. Les bus sont vérifiés 2 fois par an. Dans un coin du garage, il y a 3 grands bacs pour le tri sélectif (photo 1) : ferraille, cartons et papiers propres et les déchets industriels banals. Maintenant, la STGA consomme moins de papier par an grâce au tri sélectif.

  

3ème atelier

Nous avons vu un conducteur qui nous a fait visiter leur espace : Tous les matins, les chauffeurs regardent  dans leur casier pour voir s’il y a quelque chose et après, il vont voir sur un ordinateur s’ils roulent aujourd’hui.

Dans se service, il y avait 2 échangeurs de pièces contre des tickets. Il y avait aussi un poste central où un monsieur ait tout : quel conducteur roulait et à quelle vitesse.

                                                           4ème atelier

Nous sommes allés rencontrer une dame qui nous a expliqué les règles du jeu de l’oie. On s’est partagé en deux groupes. Il fallait lancer le dé et répondre aux questions en rapport avec la STGA : par exemple, dans combien de communes passent les bus ? (16)  Si on avait juste, on avançait et si on avait  faux, on restait à notre place.

C’est l’équipe orange qui a gagné un mini-bus à construire et un bonbon. Les jaunes ont eu un bonbon aussi. A la fin, la monitrice nous a donné à tous des stylos avec une main au-dessus (pour faire signe au chauffeur !).

Maintenant, nous sommes tous prêts à prendre le bus pour la sixième !

Camille, Édith, Félicie, Myriam, Souhil, Tiphaine

 

 

La faune et la flore des CP !!!

La flore

Les CP ont planté des haricots, il y a déjà des fleurs et des haricots verts.

Ils dessinent les étapes de leurs plantations.                                                                             

La faune

Ils élèvent aussi des escargots, des têtards et des phasmes. Ils ont beaucoup d’œufs de phasmes (3ème photo) : les CP savent quand les femelles vont commencer à pouvoir pondre des œufs, car sous leurs pattes, ça devient rouge (1ère photo) !!!

 

Les CP ont également des têtards qui sont presque des grenouilles avec les 4 pattes, ils vont bientôt perdre leurs queues. Mais il y avait des morts !!!!!

Il y a eu une grenouille qui s’est échappée et tous les autres sont morts.

Les CP ont un élevage avec beaucoup d’escargots des petits et des grands. Azalyne en a ramené deux de chez elle et trois pots de chez sa grand-mère, en tout il y en a 24 : les escargots mangent des feuilles que les CP vont chercher dans le jardin derrière les classes, de l’herbe et de la salade.

 

Les CP n’ont donc plus de têtards mais ils ont toujours des escargots et des phasmes.

Thomas, Souhil

 

Des mythes au musée

Vendredi 23 mai, nous sommes allés au musée des beaux arts d’Angoulême afin d’étudier les œuvres d’art en rapport avec la mythologie.

Emilie Falk, la médiatrice, nous a ainsi raconté 4 histoires de personnages peints ou sculptés.

Nous allons vous les faire découvrir et si vous lisez bien nos histoires, vous pourrez faire le petit jeu après !                                                                    La classe de CM2

La douleur d’Orphée

C’est l’histoire d’Orphée et d’Eurydice, sa femme : un jour, Eurydice se fit piquer par un serpent et elle mourut. Elle alla donc aux enfers, là où Hadès la retenait prisonnière.

Orphée voulut ramener sa femme de l’enfer mais pour y entrer, il fallait passer par Cerbère, le chien à 3 têtes, le gardien de la porte des enfers. Comme Orphée était un très bon musicien, il lui joua de la lyre et Cerbère devint gentil et laissa passer Orphée. Quand il entra dans les enfers, il vit un dieu (Hadès) et sa femme et il leur demanda s’il pouvait ramener Eurydice avec lui. Hadès et sa femme acceptèrent à condition qu’il ne se retourne pas jusqu’à la sortie des enfers pour voir Eurydice qui le suivrait.

Malheureusement, il n’entendit pas les pas de sa femme, il se retourna et il fut transformé en statue.

Sur la sculpture “La douleur d’Orphée”, de R. Verlet, on voit la lyre, Cerbère et la position d’Orphée en statue.

Myriam

Psychée

 

Nous avons vu une sculpture de marbre blanc de J.A.Peiffer, c’est Psychée. Elle était une femme très belle, plus belle que Vénus qui est la déesse de la beauté romaine ! Vénus avait un fils Cupidon , elle décide de se servir de Cupidon pour piéger Psychée, car elle est jalouse de sa beauté. Mais Cupidon tombe fou amoureux de Psychée et l’emmène dans un château où il ne vient la voir que la nuit car son identité doit demeurer secrète, Psychée ne doit pas savoir qu’il est est un Dieu. Mais comme ses soeurs disent à Psychée de regarder son visage car ça peut être un monstre, une nuit qu’il est endormi, elle prend sa lampe à huile, éclaire son visage et le reconnait ! Malheureusement, une goutte d’huile brûlante tombe sur son bras ! Il se réveille dans un grand sursaut, rentre dans une grande colère et part.

Au bout de bien des épreuves, Psychée retrouvera Cupidon qui l’emmènera dans le royaume des DIEUX et grâce à un fruit divin, Psychée deviendra immortelle comme les Dieux. Emma et Kelian

Vénus et Adonis

Après, on a été voir le tableau de Vénus et d’Adonis, de Paul Bril : l’histoire était que Vénus, la déesse de l’amour était amoureuse d’un humain. Adonis était un chasseur mais Vénus avait eu une vision : elle avait vu Adonis mourir à la chasse et elle essayait de l’empêcher d’y aller. Mais malheureusement, il y alla et il se fit tuer par un sanglier !

Le tableau avait 2 parties : Adonis vivant avec Vénus et Adonis mort avec le sanglier.

Ludovic

La guerre de Troie

Il était une fois deux mariés qui pour leur mariage, avaient invités tous les dieux et les déesses, sauf une : la déesse de la discorde.Tellement furieuse, celle-ci décida de s’y rendre et jeta sur la table une pomme d’or. Sur cette pomme, il y avait écrit “à la plus belle”. Donc Zeus choisit trois déesses parmi les plus belles : il choisit sa femme, sa fille et Aphrodite. Mais comme Zeus n’avait pas pu choisir entre les trois déesses, il demanda à un paysan, Pâris (qui était en fait le fils du roi de Troie) de le faire.

Chaque déesse dut promettre quelque chose à Pâris pour qu’il la choisisse. Aphrodite la déesse de l’amour, lui a promis l’amour de la plus belle femme au monde, alors, Pâris l’a choisie.

Plus tard Pâris s’est rendu à Sparte, l’endroit où habitait la plus belle femme au monde (Hélène), le problème était qu’Hélène était mariée à Agamemnon donc, il enleva Hélène un jour où il n’était pas là. Quand le mari revint chez lui, il ne vit pas sa femme et il sut qu’elle avait été enlevée par Pâris, donc il décida de prendre tous les gens de sa ville  et de combattre la ville de Troie (grâce au cheval de Troie) : c’est ce qui a provoqué la guerre et a tué le frère de Pâris ainsi que plein d’autres troyens.

Sur le tableau “La consternation de la famille de Priam, de E.B.Garnier”, nous voyons le corps d’Hector, frère de Pâris, trainé par un char. On voit aussi la femme d’Hector évanouie et son père qui veut aller rechercher le corps de son fils pour l’enterrer normalement. Pâris est aussi peint dans un coin du tableau, il se cache le visage car il a honte que tout cela soit arrivé par sa faute.

Ce qui m’a marqué, c’est quand la guerre a été déclenchée.

Félicie

Jeu

Associe chaque couple à son objet ou à son animal (tu dois donc avoir 4 groupes de 3 lettres) :

a- Orphée, b- Pâris, c-Vénus, d-Eurydice, e- Psychée , f- Hélène, g- Adonis, h- Cupidon

i- la pomme d’or, j- la lampe à huile, k- la lyre, l- le sanglier

Réponses :

La douleur d’Orphée : a d k
Psychée : e h j
Vénus et Adonis : c g l
La consternation de la famille de Priam : b f i

                           

L’exposition sur les dragons

Lundi 19 mai, nous sommes allés voir une  exposition sur les dragons : les CE1 le matin et les CM2 l’après-midi. C’était au C.D.D.P : on a fait deux groupes, un groupe avec le guide et l’autre avec la conteuse (photo 1) qui nous a raconté des histoires sur les dragons. Le but de cette exposition était de retrouver les traces du dragon Azuli : son œuf a éclos le 19 mai et il existait depuis 1052 ans ! Nous avons porté des amulettes autour du cou car elles font peur aux dragons ou les attire !!

Dans le conte du dragon des mers, il y avait des pêcheurs qui pêchaient des baleines quand, tout à coup, est apparu un dragon des mers. Il était gentil mais les pêcheurs lui ont fait peur alors il a plongé tout au fond de l’eau puis il a sauté en remontant et a fait basculer les pêcheurs. Depuis, ils sont revenus avec des canons et un jeune homme appelé Nino (c’était un chanteur) est arrivé au village pour aller voir sa mère. Il a vu les pêcheurs prêts à se battre et ils lui ont demandé de chanter toute la nuit : c’est ainsi que le dragon est sorti de l’eau pour écouter le chant de Nino. Il était très calme. Alors les pêcheurs ont voulu tirer leurs boulets de canon sur lui mais quand Nino a vu cela, il a crié pour que le dragon plonge. Depuis, plus personne n’a revu le dragon !

Les dragons sont des animaux mythologiques qui vivaient autrefois dit-on. Mais dans l’exposition, on nous le fait croire (1ère photo) car on nous montre un petit squelette fabriqué avec des cornes et des ailes !!

Les dragons auraient ainsi existé comme des animaux imaginaires dans tous les pays du monde puisqu’on en retrouve dans plein de légendes. Mais ils ne se ressemblent pas tous : celui de la France a des pattes de poule, des ailes de chauve-souris, une peau de serpent…(2ème photo) Alors que celui d’Amérique du  sud ressemble à un serpent à deux têtes (3ème photo), il est symbole de la nature.

En Chine, le dragon est célébré au nouvel an, une fois sur 12 car c’est un des signes astrologiques. C’est l’emblème des empereurs car il porte bonheur. Autrefois, on lui faisait des sacrifices dans des temples. C’est pourquoi on trouve des dragons sur tout : des assiettes, des vêtements…Le dragon fait partie des 4 animaux qui portent bonheur comme la licorne, la tortue, et le phénix !

  

Dans la cour du château, il y avait un dragon en robot et le guide l’a conduit : c’était amusant (il y avait des petits sièges où les enfants pouvaient s’asseoir).

 

A la fin, le dragonnier nous a montré un petit film sur les dragons qui auraient pu exister mais ils ont eu un défaut : par exemple, sur la première image le dragon a un éventail sur sa tête, alors quand il y a du vent, il s’envole ! Sur la deuxième image, le dragon a du feu autour de lui et quand il y a de la pluie, il n’a plus de pouvoirs ! Quant au 3ème dragon, il est trop gros avec de petites ailes alors, quand il va dans la rivière, plouf, il se noie !

Cette exposition nous a beaucoup plu et nous aussi, nous vous parlerons de dragons, dans les histoires que nous sommes en train d’écrire ! A suivre sur le blog…

Camille, Édith, Eva, Félicie, Kelian, Myriam, Souhil, Tiphaine, du CM2

 

Le test vélo

Jeudi 15 mai, nous sommes allés passer un test de vélo sur la piste de l’école Cézanne-Renoir. Il fallait le passer pour aller en sixième. Dans ce test, il y a deux étapes : une étape pratique ( le test qu’on a passé ) et un test écrit que nous avons passé mercredi 21. A la fin de l’étape pratique, nous avons reçu nos notes. La meilleure note de la classe est 16/20, c’est Émeline qui l’a eue. Elle a reçu un stylo turquoise !

Avant de rouler, les 3 messieurs de l’association “la prévention routière” nous ont fait visiter le parcours et nous nous sommes équipés : casque et dossard avec un numéro.

Sur ses trois photos, il y a une seule faute : c’est Édith qui l’a commise car elle s’est arrêtée en plein milieu de la route et pas avant le panneau de stop !

Ludovic et Kélian n’ont  pas fait de faute : il fallait bien s’arrêter au stop pour Kélian et pour Ludovic, indiquer où il allait tourner. Certains ont eu du mal à indiquer dans quelle direction ils allaient tourner car c’est difficile de tourner à un bras !

Félicie : Ludo et Kélian y arrivaient bien mais moi, j’avais du mal à mettre ma main pour indiquer ma direction.

Sur la 2ème photo, Souhil fait une faute car ses pieds touchent le sol alors qu’il a la priorité. Sur un sens giratoire, il faut cédez le passage mais à ceux qui viennent de la gauche !

Sur le parcours, il y avait de grands virages assez difficiles mais la plupart d’entre nous se débrouillaient assez bien.

Thomas, Myriam et quelques autres ont eu du mal à gravir la petite côte car il fallait prendre un bon élan !

Emma, Félicie, Kelian et Souhil du CM2

Les CP et les CE1 font de l’argile

Avant les vacances, les élèves de CP et de CE1 ont fait de l’argile. Chacun a fabriqué des sortes de lames qu’ils ont décorées de façons différentes, pour en faire des carillons.

D’abord pour modeler l’argile, ils ont eu de la terre de plusieurs couleurs (il y avait de la noire, de la marron et de la grise). Chacun a malaxé une boule de terre puis ils ont pris un rouleau et ils ont aplati la boule comme une pâte à tarte. Ensuite, ils ont gratté pour faire un dessin creux : ils ont fait des triangles, des carrés. Le papa de Madeleine leur a prêté plein d’outils, comme des couteaux en bois, des fourchettes en bois, des mirettes, des ébauchoirs…

Après, ils ont dilué la terre pour faire de la peinture et ils ont peint leur création avec.

Ils ont découpé ce qu’ils ont fait en lames. La maitresse, le maitre et le papa de Madeleine ont fait des trous dans chaque lame pour pouvoir les accrocher. Chaque lame fera un petit son différent quand elle sera cuite.

Le papa de madeleine est venu avec son four pour les faire cuire :

Les deux classes ont aimé l’argile !

Édith du CM2

Princesse Verdurette

Les enfants du CP ont lu l’album “Pauvre Verdurette” de Claude Boujon. La grenouille n’étant pas transformée en princesse à la fin de l’histoire, l’envie leur est venue d’inventer une autre fin. Nous vous la livrons avec les illustrations. Bonne lecture.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le clavecin à l’école

Le lundi 31 mars, la maman de Madeleine est venue jouer du clavecin et nous faire partager sa passion avec enthousiasme.

Il y a plusieurs types de clavecin Italien, flamand, français, anglais, mais le clavecin allemand est plus complexe. Il existe aussi le petit clavecin, (l’épinette) et le clavicyterium.

Le clavecin est un instrument à cordes. La différence avec le piano est que pour le piano, les cordes sont frappées alors que pour le clavecin, elles sont pincées. Il y a quelquefois 2 claviers superposés. Il n’y a pas de pédale comme au piano et le clavier étant plus court, la tessiture est moins importante.

Le sautereau permet de pincer la corde du clavecin.

Les clavecins ont été brûlés à la révolution française car cet instrument représentait la noblesse. Très peu ont été retrouvés et ils ont été mis au musée vers 1950, car on s’est réintéressé à la musique ancienne.

On appelle le fabricant de clavecin un facteur.

Le clavecin de la maman de Madeleine date du XXème siècle. Il est de style italien et le facteur est japonais.

La maman de Madeleine a joué aux grandes classes un morceau de François Couperin, et aux petites, elle a joué “le dromadaire” pendant que les petits chantaient. (1ère photo)

Sur la 2ème photo, on voit des chevilles en métal qui tiennent les cordes. Les cordes sont  très fragiles (elles peuvent s’oxyder). Les cordes du clavicyterium sont faites avec des boyaux de mouton.

Certains élèves ont fait les apprentis clavecinistes.

Dans l’est de la France, nous allons chercher du bois dans les scieries, les facteurs regardent les essences de bois qui résonnent le mieux. Il existe plusieurs arbres qui servent à fabriquer des clavecins comme le tilleul, le noyer (pour les touches foncées), le peuplier et le buis (pour les touches claires).

Si vous avez envie d’écouter Judicaëlle Giraudeau-Bureau, rendez-vous à l’église Saint Jacques le 21 juin 2014, afin d’écouter le clavecin et l’orgue, accompagnés des merveilleuses voix des enfants de l’école Paul Bert!

Camille, Kelian, Thomas, Tiphaine