Le carnaval de l’Houmeau

Vendredi 7 avril, à 15 h, nous nous sommes déguisés pour faire le Carnaval. Ensuite, à 16h, nous nous sommes mis en rang pour descendre sur la place St Jacques.

Les déguisements des classes

Voici les déguisements variés de la classe de  CE2.

Tous les élèves ont été très contents de pouvoir se déguiser et ils ont tous joué le jeu.

Les CM2 ont été particulièrement conquis par ce carnaval.

La déambulation

Quelques CM2 ont aussi dansé avec les percussionnistes qui nous accompagnaient. Tous les enfants ont bien rigolé, se sont amusés, ont lancé des confettis. Il y a même eu Sarah qui a dansé avec les musiciens africains devant tout le monde.

La chorale

Toute l’école PAUL BERT a  chanté devant tous les parents 3 chansons de Carnaval, les petits de l’école maternelle nous ont également rejoints pour chanter. Il faisait très, très, très chaud !

Au revoir Mme. Carnaval !

Ce sont les élèves du centre de loisirs qui ont fabriqué “PAUL BERTA”, madame Carnaval. Ensuite, nous avons tué Mme Carnaval car elle avait cassé des vitres, elle avait mangé toutes les frites, elle avait volé des ballons…

Les danses

Le centre de loisirs danse sur “Sapés comme jamais “.

Les instituteurs eux aussi se sont déguisés ! Nous nous sommes amusés comme des fous !

“Nous avons trouvé les chansons pas terribles, mais ça ne fait rien car nous nous sommes bien amusés !” Eva-Lina et Marie

Lucie et Mélodie

Petit déjeuner du collège

Mercredi 5 avril, nous avons pris un petit déjeuner au collège Anatole France. On avait tous faim car on n’avait pas mangé ce matin là !

Il y avait : Des céréales complètes, du lait chocolaté, des fruits, des œufs avec du  jambon, des tartines beurrés avec de la confiture, des abricots, du fromage… Sur la troisième photo, on peut voir le buffet avec tous les aliments. Tout le monde a aimé car il y avait beaucoup de choses variées . Nous avons vu beaucoup d’enseignants du collège : Madame Glémet avait travaillé avec ses élèves sur l’importance d’un petit déjeuner équilibré.

Un tuteur de sixième est venu nous aider à porter les plateaux. Il a aussi veillé à ce qu’on ait un aliment de chaque famille pour que notre petit déjeuner soit équilibré !

   

Sur la première et deuxième photos, nous pouvons voir les maternelles qui sont venues après nous prendre le petit déjeuner à leur tour. Après le petit déjeuner, nous devions débarrasser dans différentes poubelles puis nous pouvions aller jouer dehors.

On a tous trouvé ça bon !!

Eva-Lina, Marie, Lila et Sarah

 

La gymnastique

Tous les mardis, nous allons au gymnase de l’ancienne espérance pour faire de la gym. Quand nous arrivons, nous allons mettre notre tenue de sport ( jogging, tee-shirt ) et nous restons pieds nus pour ne pas glisser.  Nous mettons les tapis, les mini trampolines, tremplins… Puis nous nous échauffons : chaque élève montre un mouvement. Et alors nous pouvons commencer.

Mélouan et Timothé

Le grand trampoline

Sur le trampoline, il y a plusieurs sauts à faire: le saut tendu, saut groupé, saut tendu demi-tour. Il faut rester dans le rectangle et bien regarder devant. Sur les photos, les enfants sautent particulièrement haut. “C’est un des agrès que je préfère !” Eva-Lina

Lila et Eva-Lina

La roue

il fallait mettre un pied en avant et tourner sur une main puis la deuxième et atterrir sur les deux pieds en étant redressé. On a bien aimé mais d’autres enfants non ! “J’ai bien réussi la roue!” Emmanuel

Emmanuel et Kézia 

Rouler autour de la barre

Rouler autour de barre, c’est monter sur la barre jusqu’au bassin. Et rouler autour en contrôlant son arrivée. Il fallait serrer le ventre et les fesses et replier les jambes autour de la barre. Brayan et Marvin

“Quand je finissais de rouler autour de la barre, j’avais souvent mal au ventre !”Marvin

La barre fixe

Sur la barre fixe, nous faisons deux sortes de saut mais avant, il faut bien se balancer : le premier saut, c’est sur le dos et le deuxième, c’est sur le ventre. C ‘est drôle de sauter sur des carrés de mousse .

“Au début, moi j’avais peur de tomber et de me faire mal, mais après, c’était drôle, ça faisait comme un petit oiseau !” Emma 

  Jade et Emma

Le grand cheval

Il fallait courir sur le tapis rouge puis sauter sur le trampoline ou le tremplin (mais c’était plus difficile) à pieds joints. On devait arriver sur le cheval debout et bras écartés.

Aurane et Mélodie

Le cochon pendu

Pour le cochon pendu, nous devons nous assoir sur la barre puis Rêva nous aidait à basculer en arrière. Puis nous essayons de tenir 5 secondes sans les mains. Ensuite nous devons nous relever en faisant une roulade arrière . “Moi je trouve ça cool ! ” Lila

Lila et Eva-Lina

La poutre

Sur les poutres, nous devons faire 4 figures : la cigogne, un balancer de jambe de chaque côté, la fente, la planche. Il faut aussi qu’on soit capable de marcher en avant et en arrière sur la pointe des pieds.

“Quand on est en arrière, ça me fait peur car j’ai peur que la personne qui surveille ne me dise pas attention quand j’arrive à la fin de la poutre…” Emma

Jade et Emma

  Le petit cheval

Sur le petit cheval nous avons fait 3 sortes de saut :  le saut écart , le  saut sur le côté et le saut pieds joints . Nous avons trouvé que le saut jambes écartées était difficile.

Aurane et Mélodie

Les roulades


Il y a 3 sortes de roulades :

  • la roulade avant comme Sarah le fait sur la première photo : il faut faire attention à bien rentrer son cou.
  • la roulade arrière : comme le fait Paul sur la quatrième photo, il faut mettre ses mains au-dessus des épaules et aussi enrouler la nuque.
  • la roulade écart : il faut faire une roulade avant et écarter ses jambes à l’arrivée (2ème et 3ème photo).

” On a tout aimé !” Marie et Sarah

Le salto

On court en prenant de l’élan depuis le poteau. On prend un bon appui sur le trampoline pieds joints et on croise ses mains sur la poitrine en tournant. Le menton doit être collé à la poitrine ! Et on fait un salto. “Ce qui était difficile, c’était d’atterrir debout car le tapis était trop mou ! C’était trop trop bien !” Leeloo et Youani

L’appui tendu renversé

 

Didier nous a aidés à tenir 5 secondes les mains posées sur le tapis et les jambes tendues le long du tapis, car c’était un peu dur. Heureusement, il y avait le tapis pour nous protéger du mur dur pour ne pas se cogner ou se faire mal. “Moi j’ai eu un peu de mal à le faire” Lana

“Didier m’a aidé juste pour mettre les jambes le long du mur” Giovany

La gym, c’était trop bien ! Les CM2

La visite du théâtre

Mercredi 6 mars, nous sommes allés au théâtre d’Angoulême pour le visiter et pour préparer la pièce de théâtre “Don Quichotte” que nous irons voir jeudi à l’espace Franquin.

 

Nous avons visité : la grande salle qui peut contenir 727 personnes, l’odéon ( 2ème ligne, 1ère photo) qui contient 60 places et qui est en-dessous de la grande salle, le studio Bagouet qui a 120 places ( 2ème ligne, 2ème photo), les ateliers de lumière et de décors, les bureaux, les loges, le rangement des projecteurs, l’arrière-scène …

 

Pour faire des apparitions surprise, on enlève une plaque de bois du plancher de la grande scène qui mesure 1 mètre 10. Il y a 120 plaques de bois qui font le plancher de la scène et de l’arrière-scène.(deuxième photo de la 4ème ligne)

 

Avant que la dernière personne du théâtre ne s’en aille, elle allume une petite lumière qui soi-disant, éloignerait les fantômes du théâtre…

Cette sortie a plu à tous le monde : Nous avons eu une super vue du haut, au niveau des loges mais nous avons aussi eu mal aux jambes à force de monter et descendre les escaliers !

   

   

 Anna et Nathan

Exposition au collège

Vendredi 17 février, les classes de CM1 et CM2 sont allées au collège Anatole France pour voir une exposition sur le camp d’internement où étaient emprisonnés 350 gens du voyage pendant la 2ème guerre mondiale. Cette exposition a été préparée par une classe de 3ème et quelques élèves de 3ème nous l’ont présentée par groupes. Une grand-mère de 83 ans qui avait connu le camp l’avait raconté aux élèves afin de les aider dans leurs recherches.

Les Tziganes sont formés de 4 peuples : les Roms, les Gitans, les Sintis et les Manouches. On appelle gadjé les gens qui ne sont pas du voyage (gadjo pour un homme et gadji pour une femme).

Avant la guerre, les Tsiganes avaient un passeport donné par la mairie et lorsqu’ils allaient de ville en ville, ils devaient le faire tamponner. A partir de 1940, la circulation des gens du voyage devient interdite par la IIIème république et on les a internés pour mieux les surveiller.

A Angoulême, il y avait le camp des Alliers, (à côté de Leroy Somer aujourd’hui) . 60 % étaient des enfants. Cinq gardes et deux gendarmes gardaient le camp et il y avait des barbelés tout autour.

Le camp était très sale, les Tsiganes mouraient de maladies, de froid, de faim, du manque d’hygiène car ils étaient maltraités par des Français fascistes. Parfois, ces internés dormaient sur de la paille quand ils avaient brulé tous leurs lits pour se réchauffer ! Ils mangeaient de l’eau bleue : une sorte de soupe avec des os et quelques navets, carottes, topinambours, poireaux et beaucoup d’eau ! Ils avaient des cartes d’alimentation. Parfois, quand l’eau du puits n’était plus potable, ils la buvaient malgré tout ! Ils passaient six mois sans se laver et avec la même tenue !!

L’école était obligatoire mais les enfants devaient y aller même malades.

De 7h à 21h, les femmes pouvaient sortir afin de faire les courses dans un rayon de 5km, les hommes, eux, avaient le droit de sortir pour travailler.

Dans ce camp, il y avait de 10 à 20% d’évasion. Mais les fermiers à qui ils demandaient à manger les dénonçaient souvent aux gendarmes !

Les Tsiganes n’ont été libérés que le 11 juin 1946 alors que la guerre était finie en France depuis plus d’un an !

1 500 000 Tziganes furent exterminés dans toute l’Europe pendant la 2ème guerre mondiale.

Aujourd’hui, la carte d’identité des gens du voyage n’est comme la nôtre que depuis janvier 2017 !

Nous avons tous beaucoup aimé cette exposition : cela nous a montré le racisme très fort de la part des Français. Ces derniers allaient très loin dans la maltraitance à l’égard d’un peuple qu’ils jugeaient différents.

A la fin, un élève de 6ème gitan nous a joué trois chansons tsiganes à la guitare : c’est son papou (grand-père) qui lui a appris à faire de la musique et nous lui avons conseillé de s’inscrire à “The Voice” tellement c’était bien !

Les classes de CM1 et CM2

Les fossiles d’animaux du musée

Jeudi 9 février, nous sommes allés au musée d’Angoulême pour étudier les fossiles trouvés en Charente.

On a discuté du film ” Jurassic park” car il parle des dinosaures. Mais comme nous découvrons plein de choses nouvelles en sciences, à l’époque, le réalisateur ne savait pas que les oiseaux étaient les descendants des tyrannosaures. Donc, on aurait dû mettre des plumes aux tyrannosaures du film !

Les ammonites nous ont appris qu’autrefois, la Charente était sous l’océan. Car l’ammonite est un animal marin.

La coprolithe fossilisée que nous avons touchée était une crotte de crocodile fossilisée, ce qui nous montre que la Charente était alors une sorte de marais, après que la mer s’en soit retirée.

Nous avons aussi vu des squelettes fossilisés d’animaux qui ont vécu dans différents climats : comme en climat tempéré pour l’auroch, l’éléphant antique, le cerf, la hyène et en climat froid pour le renne, l’antilope saïga, le cheval de Solutré. Cela nous montre que la Charente a eu différents climats.

 

Certains animaux comme la hyène, l’ours, l’homme savent s’adapter à différents climats. Alors, même si on retrouve leurs squelettes fossilisés, ça ne nous renseigne pas sur le climat.

Emmanuel, Kézia, Mathis et Paul

Les CE2 et le Festival International de la Bande dessinée

Pour le festival de la bande dessinée, nous avons été choisis pour faire partie du jury du Prix des Ecoles d’Angoulême.

Nous avons lu 5 BD: “La cantoche”, “Petit Poilu le prince des oiseaux”, “Tous super-héros”, “L’assaut du roi”, “Gaspard et Berlingot”. Et nous avons voté pour notre BD préférée. Nous avons voté pour “La cantoche” de Nob.

Jeudi 26 janvier au matin, pendant le FIBD, nous avons rencontré Nob, l’auteur de “La cantoche”,  avec les CE2 de Jules Ferry. Nous lui avons posé des questions sur la BD, il nous a dédicacé “La cantoche” et nous a fait des dessins. C’est l’auteur d’autres BD : “Mamette”, “Dad”, “Les souvenirs de Mamette”…

Jeudi après-midi, nous sommes allés à la CIBDI voir un dessin animé sur les super-héros (Justice League Action).

Jeudi soir, nous sommes allés au théâtre pour remettre le Prix des Ecoles d’Angoulême. C’est Tyrone qui a remis le “fauve” à Nob, avec les trois autres enfants des autres classes jury.

Vendredi 27 janvier au matin, nous sommes allés aux Chais Magélis. Nous avons créé une BD sur ordinateur, en groupe.

Nous avons visité deux expositions : “Le château des étoiles” et la B.D. scolaire. Ensuite nous avons fait une activité qui s’appelait “la tambouille”. Il fallait créer une histoire en 3 pages avec des tampons et des feutres. Anna et Camille nous ont fait choisir un titre parmi : “au pays de la chaussure magique, le brocoli en colère, la chaussure en colère, au pays du brocoli magique”.

Nous avons passé un bon moment au quartier jeunesse. Et maintenant, nous sommes en train de créer des BD en classe….!

La classe de CE2

 

Les transports au musée d’Angoulême

Jeudi 24 Novembre, Émilie Falk, médiatrice du musée des beaux arts d’Angoulême, nous a présenté des œuvres d’art représentant des moyens de transports, sur lesquels nous travaillons en classe.

entree-cote-jardinVoici plusieurs moyens de transport adapté au milieu de vie des hommes :

Mélouan et Timothée

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Dans la salle Océanie, nous avons parlé des pirogues à balancier car les gens se déplacent beaucoup avec parce qu’il y a plein d’iles là-bas. Les pirogues sont faites en bois et la voile est faite en écorce : le tapa. Chaque pagaie a un dessin gravé dessus et certaines ne sont pas faites pour ramer mais pour les fêtes.

Emma et Jade

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Le peuple qui vit dans le désert est nomade. Sur le premier tableau (de Louis-Eugène Ginain, 1864), nous voyons des guerriers en train de faire la fête, elle  s’appelle “Fantasia”.

Les nomades s’habillent avec des vêtements fluides afin que la transpiration s’évapore facilement.

Sur la 2ème photo, il y a  sac en cuir qui pouvait avoir différentes tailles, et de belles décorations comme des broderies, perles…Ici, il y a de la soie et le vert est de la teinture de plantes (sac touareg, fin XIXème s.) Il se met sur le dos des chameaux ou des dromadaires.

Sur la 3ème photo, nous pouvons apercevoir un dromadaire. Dans le désert, les nomades utilisent beaucoup le dromadaire car il peut marcher 50 km sans boire. Par contre il ne va pas très vite et aujourd’hui, on peut utiliser un 4 x 4 !

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Le bac (une sorte de grande barque à fond plat) servait à transporter des vaches, des personnes de l’autre coté de la rivière. On tirait le bac avec une corde attachée à des poteaux fixés au fond de l’eau. Cela permettait aux vaches d’aller pâturer de l’autre côté de la rivière dans les prairies.

Marvin et Paul

f14aLe cheval est le plus ancien moyen de transport : nous l’avons dressé pendant plusieurs époques. Au musée, nous avons vu des étriers, des fers à cheval (comme sur la photo), des éperons, des selles…Les plus vieilles traces proviennent du Néolithique. Le cheval servait pour la guerre (les chevaliers), à tirer des charrues, des charrettes…

Kézia et Leeloo

C’est l’Houmeau au XIXème siècle (tableau de G.Boucart, 1927). On aperçoit le bord de Charente. Il y a un bateau au bord du quai, c’est une gabarre. La gabarre est un bateau à fond plat, au mat repliable pour naviguer sur les fleuves et pour pouvoir passer sous les ponts. Quand elle passait sous les ponts, elle était tirée par des femmes, des chevaux, sur les sentiers de hallage (la coulée verte aujourd’hui). La gabarre permettait de transporter des marchandises, comme ici on voit des tonneaux car en Charente, on fait du cognac. La petite grue verte servait à déposer les marchandises sur la gabarre

derrière la gabarre, on voit un bateau lavoir avec une petite tente blanche pour que les femmes soient abritées. Elles nettoyaient le linge dans la Charente. C’était un bateau fixe.

Anna, Sarah

Relecteur Emmanuel

L’athlétisme

Lundis après-midi, nous avons fait de l’athlétisme au stade Léonide Lacroix ou bien à l’école, avec Jean-Jacques Baïola. Au début, nous avons appris à faire de la course longue (ça s’appelle aussi de l’endurance). Pour courir longtemps, il faut courir doucement pour ne pas s’épuiser. Nous avons réussi à courir pendant 8 minutes (alors qu’au début on ne courait que 3 minutes). Nous nous sommes aussi entrainés à faire de la course de vitesse. Pour réussir la course de vitesse, il faut courir vite et rester dans son couloir. Il faut aussi être attentif au départ. On s’est entrainé avec un signal sonore ou bien un signal visuel.

Après les vacances de la Toussaint, nous avons appris à faire du saut en longueur et du lancer de vortex et de balle.

En premier, nous nous échauffons : nous faisons quatre colonnes. Nous devons sauter par dessus des plots ou des haies : à cloche-pieds ou pieds joints ou en faisant de grandes foulées. Nous avons aussi cherché notre pied d’appel pour le saut en longueur.sortie-petit-fresquet-027 sortie-petit-fresquet-026 sortie-petit-fresquet-025

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Ensuite nous avons fait le saut en longueur en deux groupes. Le premier groupe devait courir, mettre son pied d’appel dans le cerceau et sauter par dessus la haie. Après chaque saut, la maitresse reculait la coupelle. Il fallait arriver pieds joints dans le sable après la coupelle.

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Le deuxième groupe était avec Jean-Jacques qui mesurait nos sauts. Il fallait essayer d’améliorer son record de la dernière fois.

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Ensuite, nous avons lancé des balles. A deux, on devait lancer la balle dans le cerceau. Il faut lancer  “à bras cassé”.

Les autres étaient avec Jean-Jacques pour lancer des vortex. Jean Jacques mesurait nos lancers.

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La classe de CE2