Des marins motivés gagnent la finale de voile !

Mardi 3 Juillet, la classe de C.M.2 a gagné les régates voile 2012 au plan d’eau de St Yrieix et a ramené la coupe U.S.E.P. à la maîtresse qui n’avait pu y assister. Ce fut une journée tendue car peu de points séparaient l’école Jean Mermoz de l’école Paul Bert mais nos moussaillons étaient de loin les plus volontaires !

C’est grâce à un entrainement survitaminé avec Sylvie Gibouin que les équipages ont pu réaliser de telles performances : en voici quelques photos prises au mois de juin.

Avant le départ : le gréement

On se range avec son équipier et bien s’entendre avec lui n’est pas le plus facile ! Surtout, on vérifie que son gilet de sauvetage est bien attaché. Sylvie attribue un numéro d’optimist et c’est parti !

On grée de plus en plus vite au long des semaines et certains s’en sortent même tout seul !

Avant de partir, surtout, bien écouter le parcours donné : à gauche de la bouée verte, à droite de la rouge, à gauche de la blanche et on s’accroche à la noire. Si on inverse, c’est l’élimination : 2 paires d’oreilles ne sont parfois pas suffisantes…

Pas de vent

Nous avons eu une séance sans vent pendant laquelle nous avons joué au naufragé en nous musclant les biceps ! C’est rigolo, mais ce n’est pas de la voile !

Le vent se lève enfin

Ce jour là, nous avons gréé sur l’eau et nous avons pu admirer l’équilibre et la persévérance de certains…

Le plus difficile pour cette classe de bavards est de garder le cap…

mais aussi de conseiller son partenaire…

de prendre son mal en patience quand le vent retombe…

et au final, d’arriver à tous s’accrocher au bateau à moteur afin d’être remorqués !

On rentre à la plage

Il faut viser le numéro de son pneu sur la plage  sans s’empêtrer dans les roseaux des berges ! Il ne faut pas se jeter à l’eau trop tôt sinon la maîtresse râle ! Et on doit penser à bien enlever dérive et gouvernail avant qu’ils ne touchent le fond sinon Sylvie râle aussi…

Dur, dur d’être un bon matelot, mais certaines gagnantes de la régate du jour on droit à une consolation : un tour de bateau à moteur à toute allure : ouais !!!

Le rangement

Les fesses mouillées et les doigts gourds, il faut vite, car on est toujours pressé, bien rouler la voile et tourner les bateaux à 4 : gare aux resquilleurs !

On range tout et en dernier le gilet de sauvetage qui doit être attaché et remis exactement là où on l’a pris !

Et enfin, on a le droit de se changer, voire de se doucher pour ceux qui ont un peu trop pris l’eau …

Connaissez-vous bien la STGA ?

Mardi 12 Juin, les CM2 sont partis à la Société des Transports du Grand Angoulême (STGA). C’est une entreprise locale qui fait partie du secteur tertiaire, c’est à dire qu’on nous vend un service et pas un produit.

Cette après-midi là, nous avons partagé la classe en 2 groupes et nous avons fait des ateliers pour découvrir :

– comment cela fonctionne dans le bus ou à l’arrêt

– comment sont entretenus ou réparés  les bus (garage)

– que font les conducteurs quand ils reviennent au dépôt

– encore mieux les lignes de bus à travers un jeu de l’oie

1- Voici “Bussy”, a-t-il été peint pour :

a- faire joli

b- pour fêter son anniversaire

c- pour voir la vie en rose

2- Bussy a quel âge : a- 18 ans, b- 20 ans,  c- 15 ans

3- A quoi servent les caméras dans le bus ?

a- à enregistrer tout ce qui se passe dans le bus en cas de violences

b- à ce que le chauffeur observe ce qui se passe derrière

c- à passer à la télé

4- A  quoi sert ce panneau et par qui est-il utilisé ? A quoi sert le bouton au-dessus du panneau ?

5- A quoi servent les fosses qu’on voit ici ?

a- à récupérer le carburant dont on ne s’est pas servi..

b- à ce que les mécaniciens puissent regarder le dessous du bus.

c- à se brancher sur les égouts pour évacuer l’eau usagée.

6- A quoi servent les tris  sélectifs mis en place dans l’atelier :

a- à faire joli

b-à trier les déchets de façon à mieux les recycler

c-à ranger le matériel de la STGA

d- à protéger l’environnement

7- Où est situé le moteur ?

a- à l’avant

b- sous le bus

c- à l’arrière

8- Sur la 2ème photo, on voit une grande pièce, à quoi sert-elle ? Et sur la 3ème, la plus petite pièce ?

a- à peindre les nouveaux bus

b- à nettoyer les bus

c- à poncer les navettes

d- à changer les roues

9- Qu’est-ce qui est écrit en haut du poteau d’arrêt ?

a- le nom de l’arrêt b- le nom du conducteur c- les heures auxquelles le bus passe

10- A quoi sert le pc contrôle ?

a- à localiser les bus, s’il se passe un problème sur la route ou avec le conducteur du bus

b-à  appeler si on a perdu sa magicarte

c-à appeler à l’arrêt de bus pour savoir  s’il y a des personnes qui veulent prendre le bus

11- Pendant la visite, nous avons fait un jeu qui est comme le jeu de l’oie : il y avait 2 équipes, après avoir lancé le dé, nous devions lire une question sur les ateliers qu’on avait vu juste avant. Si on répondait juste à la question, on avançait du chiffre qu’on avait obtenu. Voici une des questions à laquelle nous avons dû répondre :

Combien de lignes il y a sur l’ensemble du réseau STGA ?

 

12- Quels sont les 3 sortes de bus existant ? Mets-les du plus petit au plus grand.

 

13- Avec quoi est fait le carburant des bus ?

 

14- Quelle est la marque des bus ?

 

15- Combien utilise-t-on d’eau pour nettoyer un bus standard, une fois toutes les 3 semaines ?

a- 75 litres

b- 350 millilitres

c- 350 litres

 

Correction

1- b

2- c

3- a

4- Le bouton sert pour les handicapés, pour qu’ils appuient facilement avant de descendre.

5- b

6- b et d

7- c

8- 2ème photo : a ; 3ème photo : c

9- a. Les horaires sont indiqués plus en bas sur le poteau et le nom du chauffeur : il change et on n’a pas besoin de le savoir !

10- a

11- 24

12- la navette (le plus petit), le standard et l’articulé (le plus grand)

13-le carburant est fait de gasoil et de diester comportant de l’huile de colza

14- Heuliez

15- c

Jeux sur l’habitat

Cette année, les C.M.2 ont travaillé sur le climat et sur l’habitat. Voici quelques maisons et des jeux pour mieux les connaître.

Les habitations de L’Houmeau

Dans notre quartier de L’Houmeau, il y a des maisons mais aussi des immeubles. La Charente y passe.

Avant,  L’Houmeau était habité par des gens riches car ils habitaient près de leurs commerces : comme ils  naviguaient sur la Charente,  ils avaient des bateaux pour ramener du cognac, des tuiles… Et ces commerces les enrichissaient. Et c’est pour ça qu’ils construisaient des belles maisons bourgeoises au bord de la Charente, pour être prêt de leur lieu de travail. Arthur

a)                                               b)

Voici des  habitats collectifs : ce sont des immeubles avec plus de 10 fenêtres.

Photo a : Voici un habitat collectif dont la façade donne au sud.

Photo b : Voici un habitat collectif dont la façade donne au nord, sur la Charente.

Quel immeuble est le plus frais en été et le plus dur à chauffer en hiver ? Violaine

a)                                               b)                                                c)

photos a et b : Voici une maison bourgeoise qui fait partie de notre quartier et qui se trouve juste au bord de la Charente. Elle est très grande : autrefois, une famille riche y habitait. Aujourd’hui, plusieurs appartements ont été aménagés à l’intérieur pour plusieurs familles. Le toit est en ardoise, le mur est est en pierre de calcaire, il y a plusieurs cheminées et plus de 10 fenêtres.

Qu’est-ce qui montre le plus la richesse des propriétaires de cette maison ? Nasser

photo c :  Voici une autre maison bourgeoise qui aujourd’hui, est aussi un habitat collectif. Devant la maison, il y a la place St Jacques.

A votre avis qu’y-a-t-il de l’autre coté de la maison ? Lorenzo

Photo a : Les murs de cette maison sont en parpaings. Le toit est pentu car quand il pleut il faut que l’eau s’évacue, il y a 5 fenêtres.

Cette maison a été construite avant ou après 1950 ? Cette maison est un chalet, une maison bourgeoise ou un pavillon ? Lény, Nathan

Photos b et c : Voici le self du collège Anatole France, il a plus de 10 fenêtres. Il est fait en aluminium, en bois, en verre, et le bâtiment est en bloc. La salle d’arts plastiques est au-dessus.

Pourquoi fait-il chaud dans ces 2 salles ? Maxime et Emma-Louise

Jeu des maisons françaises

Retrouve la région de France où l’on peut trouver ces maisons : la Bretagne 1, les Pyrénées 4, l’est de la France 2, le pays basque 5, l’île de Ré 3.

a)                                                b)                                              c)

d)                                               e)

Elise, Nolwen

Jeu des maisons du monde

Redonne à chaque maison son climat parmi les climats : continental, polaire, désertique, méditerranéen, tropical et équatorial

a)                                             b)                                                 c)

d)                                              e)                                              f)

Photo a : Les toits de cette maison sont plats car il ne pleut presque jamais, les fenêtres sont petites pour garder la fraîcheur.

Pourquoi, les murs sont blancs ? Mathilde

Photo b : Cette maison est faite en bois car il y a des forêts de conifères à proximité. Les fenêtres sont assez grandes car il fait nuit la plupart du temps et donc, cela permet d’avoir plus de lumière. Pourquoi les volets sont-ils à l’intérieur ? Séphora

Photo c : Les murs sont en bois car il y a plein de forêts à proximité, le toit est en paille pour les mêmes raisons et il a une forme conique. Il y a de grandes baies vitrées pour aérer en saison chaude et pour se protéger de la pluie en saison humide.

Pourquoi le toit est-il pentu ? Joséphine

Photo d : Nous allons en Afrique. Cette maison se trouve dans le désert du Sahara. Elle est faite en terre et en brique crue, la terre est la matière qu’on a prise à proximité, les murs sont épais de 50 à 80 cm, pour garder la fraicheur. Comment les briques  sont-elles séchées ? Jason et Julien

Photo e : Il fait chaud et humide toute l’année. C’est une maison sans murs, le toit dépasse de la maison pour éviter que l’eau ne rentre. Pourquoi la maison n’a pas de murs ? Marina

Photo f : C’est une maison qu’on trouve dans l’est de la France. Son toit est très pentu pour évacuer les fortes pluies. Comme matériaux qui la construisent, on trouve du bois et au-dessus, du torchis (mélange de terre et de paille).

En quoi est construite la base des murs et pourquoi ? Camille

Correction :

Question de Violaine : C’est l’immeuble de la photo b.

Question de Nasser : L’ardoise, car il fallait la ramener de Bretagne et la faire tailler et poser sur place !

Question de Lorenzo : de l’autre côté, il y a la Charente puisque c’est une maison de riches commerçants qui menaient leur commerce grâce au fleuve.

Questions de Lény et Nathan : après 1950, un pavillon

Question d’Emma-Louise et de Maxime : Il y fait chaud car le soleil tape sur les vitres et cela fait comme l’effet de serre.

Jeu des maisons françaises : ( a 5 ), ( b 1), (c 2), (d 3), (e 4)

Jeu des maisons du monde : a méditerranéen, b polaire, c tropical, d désertique, e équatorial, f continental

Question de Mathilde : Parce que le blanc n’attire pas le soleil

Question de Séphora : C’est pour se prémunir du froid. On ferme les volets sans ouvrir les fenêtres.

Question de Joséphine : C’est pour évacuer la pluie en saison humide (la mousson).

Question de Jason et Julien : Elles sont cuites par le soleil et pas dans un four.

Question de Marina : C’est pour que l’air circule et qu’on ait moins chaud.

Question de Camille : La base est en pierre pour éviter les remontées capillaires (que l’eau ne remonte et que la maison ne soit humide).

 

Notre projet sur l’habitat

Cette année avec Marie-Emmanuelle (c’est l’animatrice de Charente-Nature) et Christelle (animatrice de maison paysanne) nous avons parlé du réchauffement climatique mais plus précisément de comment se protéger du chaud et du froid dans nos maisons.

Nous avons été au musée où nous avons appris que la Charente avait connu différents climats et où nous avons vu différents habitats de l’homme. Nous avons aussi fait des expériences en classe avec du coca, des thermomètres, des glaçons , du coton … que vous avez pu découvrir sur le blog pour voir les effets du réchauffement climatique.

Mardi 5 Juin, nous sommes allés aux retransmissions à la patinoire de Nautilis  pour montrer aux autres élèves qui ont travaillé avec Charente-Nature ce que nous avons appris pendant l’année.  Nous avons fait découvrir les jeux que nous avons préparés. Nous avons pique-niqué au plan d’eau de St-Yrieix.

Manon, Marina

 

En premier, nous avons fait défiler notre diaporama. Une par une, des photos de maisons défilaient. Dès qu’une photo passait sur le grand écran, un élève  présentait le type de maison que c’était : les matériaux, le climat, les personnes qui habitaient dedans à l’époque, si elle était bourgeoise ou pas…

Sur la 3ème photo, on voit la maison équatoriale présentée par Marina.

Après, nous posions une question chacun sur la maison que l’on avait présentée aux autres classes.

Ces présentations étaient faites pour  introduire les jeux. Séphora

Nous, on a fait des jeux sur les maisons : des mémorys, des puzzles, des maisons à placer sur une carte, etc…  Chaque élève a animé le jeu qu’il avait préparé. Arthur

On changeait de jeu quand les grands arrivaient car il y avait des jeux plus ou moins faciles.

” Moi ce que j’ai aimé, c’est animer le jeu des puzzles des 3 parties de la maison et m’occuper du stand quand il y avait les petits” Flore

Là, on fait les jeux des autres :

– 1ère photo : on fait un domino sur les déchets, créé par l’école Jean Moulin de l’Isle d’Espagnac.

– 2ème photo : on fait le chamboule- tout sur les symboles qu’il peut y  avoir sur des panneaux, des aliments…

– 3ème photo : c’est moi qui suis en train de mettre une louche d’eau dans un grand vase car on devait  l’avoir rempli à la fin de la journée. Et dans ce vase, il y avait une carte au trésor. Elle remontait au fur et à mesure qu’on mettait de l’eau quand chaque groupe donnait une bonne réponse à la question posée par Marie-Emmanuelle à la fin de chaque jeu.

Cette carte nous a permis de retrouver une caisse de plantes cachée sous un arbre à l’extérieur de Nautilis. Dans cette caisse, il y avait du thym, de la citronnelle et de la menthe qu’on a ramenés chez nous. Mathilde

Des mythes au musée

Jeudi 31 Mai, nous sommes allés au musée et nous avons été dans la partie “arts” avec Émilie une guide, qui nous a expliqué les mythes qui s’y trouvaient.

Voilà quatre de ces œuvres et leur histoire. Maxime

Psyché

Cette statue s’appelle Psyché et je vais vous raconter son histoire :

Des personnes trouvaient Psyché plus belle qu’Aphrodite, la déesse de l’amour, et celle-ci n’aimait pas qu’on trouve quelqu’un plus belle qu’elle ! Donc Aphrodite a envoyé son fils Cupidon pour qu’il s’arrange afin que Psyché tombe amoureuse d’une personne très moche.

Mais en voyant Psyché, Cupidon  est tombé amoureux et Psyché aussi, même si elle n’avait jamais vu son visage car ils se voyaient la nuit. Alors, ils se sont mariés mais Psyché a promis de ne pas chercher à voir le visage de son mari.

Une nuit, Psyché a eu envie de voir l’homme qu’elle avait épousé car des amies à elle lui disait qu’il était peut-être laid ! Donc elle a pris une lampe à huile (qu’on voit dans la main de la statue)  pour regarder le visage de son mari. Mais malheureusement, une goutte d’huile tomba sur l’épaule de son mari et le réveilla : ils divorcèrent mais se remarièrent plus tard, tout est bien qui finit bien. Nathan

 

Orphée

C’est l’histoire d’un jeune homme nommé Orphée qui voulait aller récupérer sa femme dans les enfers. Malheureusement, pour y accéder, il fallait vaincre Cerbère (le chien aux trois têtes). Mais c’était plus dur qu’il ne le pensait, car dès que l’on lui coupait une tête, deux autres repoussaient. Alors, Orphée amadoua Cerbère en lui jouant une douce musique provenant de sa harpe celtique.

Quand Orphée vit Hadès, le dieu des enfers, ce dernier lui proclama qu’il pourrait ramener sa compagne à condition de ne pas la regarder avant d’avoir dépassé la porte des enfers !

Mais Orphée ne put pas s’empêcher de la regarder, et malheureusement sa femme, elle, n’était pas encore sortie des enfers. Orphée ne put récupérer sa jolie femme qui disparut après un claquement de porte !

“Une très belle histoire mais un peu triste puisqu’elle finit mal” Joséphine et Kinz

Dionysos

C’est la statue de Dionysos étant bébé. Dionysos est un dieu grec : c’est le dieu de la vigne. C’est pour ça que sur la statue,  il est représenté avec une grappe de raisin. C’est un Dieu qui aime le théâtre et faire la fête. On le voit sur des peintures et il est souvent en train de boire avec des amis à lui. C’est pour ça qu’il a l’air heureux . Camille

Pâris, Priam, Hector

C’est l’ histoire d’un jeune homme prénommé Pâris (qu’on voit sur le tableau avoir honte) : il aimait une femme, Hélène et elle l’aimait aussi mais cette femme avait déjà un mari, Ménélas. Alors Ménélas , après avoir découvert qu’ ils  étaient amoureux,  a déclenché une guerre : c’était la guerre de Troie. Et c’est pendant cette guerre qu’il a tué Hector, le frère de Pâris.

Priam, le père de Pâris (le vieillard au centre du tableau), est désespéré de voir le corps mort de son fils trainé par des chevaux. Alors, il va voir ceux qui ont tué son fils et leur dit : “J’ aimerais récupérer mon fils pour l’enterrer”.

Alors pour lui laisser une chance, Ménélas  accepte, le père de Pâris a pu enterrer son fils Hector mais la guerre continua .

“Ce tableau m’a beaucoup intéressée car c’était une histoire d’ amour !”

Emma-Louise

La création de notre clip vidéo

 

C’est en entendant la chanson faite par les cm2 de l’an dernier “Vers de nouveaux horizons” que le papa d’une élève, Florent Mounier, a eu l’idée de produire un clip vidéo cette année avec les cm2.

 

Étape 1

Voilà pourquoi, vendredi 3 Février, on est allé à 2d 3D où monsieur Mounier nous a expliqué l’histoire du dessin animé. Nous avons appris plein de choses.

Nous sommes allés au studio 2d 3d (dans la rue de notre école) qui fabrique des dessins animés. Là-bas, nous sommes descendus dans la petite salle de projection pour regarder des extraits de film ainsi que des petits documentaires sur les premiers réalisateurs de dessins animés comme Emil Cohl ( 1857 _ 1938), le créateur du “Cauchemar de Fantoche” .

Monsieur Mounier, qui est lui-même réalisateur, nous a expliqué comment nous allons procéder. Nous avons parlé de ce que nous allons faire pour le clip : avec le texte de la chanson, nous allons pouvoir faire des petites animations en papier découpé, fabriquer des décors pour le thème et faire des costumes. Ensuite, nous ferons le tournage avec Philippe Lhomme et avec quelques élèves du Lisa et peut-être qu’il y aura aussi certains élèves qui étaient là en cm2 et qui ont inventé la chanson.

Manon, Séphora et Kinz

Nous avons vu un vieux film fait avec des épingles dont le réalisateur s’appelle Alexeieff (il est né en 1901 et mort en 1982)  : pour faire le film, le réalisateur créait un tableau qui représentait un paysage. Puis, il le prenait en photo et ensuite il bougeait les épingles qui faisaient une sorte d’ombre sur le paysage. Et il reprenait une photo. Pour faire le film, on rassemblait toutes les photos dans l’ordre et on les projetait très vite.

Nous avons aussi vu un film fait en papier déchiré noir : le film s’appelle “prince et princesse”, il a été créé par Michel Ocelot qui a aussi créé “Kirikou”. Ce film parle d’un prince et d’une princesse qui sont dehors. Et le prince demande à la princesse un seul baiser, la princesse dit “oui”, alors ils s’embrassent. Mais dès qu’ils se sont embrassés, le prince devient un crapaud alors il lui demande un autre baiser en espérant reprendre sa forme initiale , mais quand la princesse l’embrasse, elle  se transforme en animal ! Puis ils ne font que s’embrasser jusqu’à ce que le prince redevienne princesse et l’inverse ! Ce film était cool !

Nasser

Étape 2

Nous avons cherché et écrit sur une affiche tout ce qu’on va dessiner pour après découper nos dessins puis les monter.

On les a classés par personnages ( hérisson, fourmis très musclées…), décors (Angoulême, le fleuve Charente, la forêt équatoriale…) et les objets ( la coque et le mât, les fruits…).

Vendredi 17 Février, M. Mounier est venu dans la classe pour nous expliquer comment construire notre story-board (le scénario) : il faudra 5 séquences correspondant à nos 5 couplets, et dedans il faudra réfléchir aux choses les plus convaincantes à filmer.

Lorenzo

Étape 3

Jeudi 23 Février, nous avons fait des groupes puis on a fait des dessins : il y avait le groupe animaux, décors, objets. On pouvait dessiner dans les 3 groupes. Nous nous sommes bien amusés.

Après monsieur Mounier a photocopié nos dessins pour qu’on les colorie en gardant les originaux…

Nolwen , Elise

Étape 4

En Mars, nous avons utilisé de l’encre, de la peinture, des feutres, des crayons de couleur, des craies grasses, de l’aquarelle et des crayons aquarellables pour embellir nos dessins.

“Le plus précis était le crayon de couleur et le feutre” Elise

“Moi j’ai aimé l’encre sauf que ce n’est pas facile car des fois, ça débordait !” Nolwen


Étape 5

Jeudi 12 Avril, M.Mounier est venu avec son stagiaire Simon. Par deux, nous avons pris des photos de certains animaux que nous avons faits bouger sur un paysage. Certains ont pu voir tout de suite le petit court métrage qu’ils venaient de faire.


Étape 6

Nous sommes allés à 2d 3D pour voir les dessins animés que nous avons faits le 12 avril. Ensuite, nous avons vu une partie de clip : Simon nous a expliqué comment il avait découpé, fait bouger nos animaux sur le décor de la cathédrale, de la forêt…

Philippe Lhomme est venu nous rejoindre pour voir ce que nous avions fait et il a trouvé ça plutôt créatif et coloré !

Ça a plu à l’ensemble de la classe.

Arthur et Nathan

Étape 7

Jeudi 10 Mai, nous avons créé des peintures concernant les paysages de notre chanson : fond marin, la forêt amazonienne, une île sur laquelle  il y a un trésor, la forêt charentaise où les animaux construisent le bateau en bois. Les 3 responsables d’art plastique Jason, Arthur, Kevin ont fait l’art du scotchage et ils nous les ont montrés.

Nous avons fait ces décors pour qu’on nous filme avec le mardi 15 Mai.

Emma-Louise et  Mathilde

Étape 8

Mardi 15 Mai quelques anciens et anciennes cm2 qui avaient créés la chanson, sont venus pour  tourner le clip avec nous.

Les élèves du L.I.S.A nous ont filmés. Philippe Lhomme est revenu pour nous encourager, il chantait en play back, il faisait l’andouille pour nous faire rigoler.

Nous avions mis les décors faits à l’étape 7 en fond et nous nous étions déguisés ou nous avions des accessoires.

Nous avons vraiment chanté, avec la bande son et avec les paroles du refrain affichées, tout en dansant et sautant partout.

Maintenant, il reste le montage à faire : c’est le C.D.D.P. qui s’en occupe.

“C’était classe, amusant ! On est impatient de voir le clip en entier. Vous pourrez le voir en Décembre prochain, au Chantécole où il sera diffusé sur l’écran géant à l’espace Franquin.”

Mathilde, Nathan, Séphora


Les CP riment avec leurs prénoms

rimons avec nos prénoms

 

 

Souhab dort sous un baobab.

Zoé fait du canoë.

Paolo mange des marshmallows.

Andy fait du sport le jeudi.

Amandine pêche une sardine.

Zaklina mange un ananas.

Oriana ferme son cadenas.

Dimitri joue de la batterie.

 

Sacha fait ses achats.

Nathan remonte le temps.

Chafik a une baguette magique.

Baptiste est un grand artiste.

Mansour court dans la cour.

Lou-Anne monte sur un âne.

Kalyan est dans la caravane.

Léo présente la météo.

 

Ana pêche des piranhas.

Leeloo caresse le loup.

Océane donne à manger à la cane.

Imed a trouvé un remède.

Mathéo T. fait du rodéo.

Maïly est très jolie.

Angèle se gèle.

Mélanie a tout fini.

Mathéo N. déchire le paréo.

David laisse son assiette vide.

Rencontre avec Gwen Le Gac

Dans le cadre du festival du Livre Jeunesse, les CE2 ont rencontré l’illustratrice Gwen Le Gac

(Le Cahier de Temps, Avant Avant, Le terrible Six Heures du Soir, Le Cheval d’Ernesto…)

Voici le récit de cette rencontre par les élèves :

Gwen Le Gac est bretonne. Elle a commencé le métier d’illustratrice à environ 25 ans. Quand elle était petite, elle savait qu’elle voulait faire un métier créatif, mais elle ne savait pas lequel exactement.

Elle aime bien mélanger les techniques : elle aime coller des tissus (par exemple dans Le Terrible Six Heures du Soir, elle a utilisé des tissus africains), utiliser des pastels, des crayons feutres, de la gouache, des bâtons d’huile, de l’encre de Chine…

Elle aime dessiner elle-même, plus que sur l’ordinateur, même si elle le fait aussi un peu.

Elle aime les couleurs, elle essaie qu’il n’y ait pas de blanc sur ses pages. Elle choisit la couleur des pages des livres qu’elle illustre.

Elle fait environ un livre par an. Avant de commencer, elle cherche des idées en allant se promener, en visitant des musées.

Gwen Le Gac nous a fait faire une oeuvre : nous avons tracé au crayon de papier le contour de notre profil.

Nous l’avons découpé.

Nous avons dessiné sur ce profil tout ce  à quoi on pense dans notre tête : les rêves, les cauchemars, ce que l’on aime…

Nous avons tous beaucoup aimé cette rencontre et l’atelier d’illustration!!!

Princesse Verdurette

Après la lecture de “Pauvre Verdurette” de Claude Boujon,  nous quittons la pauvre grenouille de retour à sa mare, toute déçue de n’avoir pas trouvé le Prince Charmant qu’elle était allée chercher. Les enfants ont pensé qu’il pourrait bien y avoir une suite à cette histoire. Ils l’ont écrite et vous la livrent sous le titre de PRINCESSE VERDURETTE.

Princesse  Verdurette texte et illustrations: les enfants du CP.

  

Verdurette ne savait pas que son prince charmant était à sa recherche. Ce prince s’appelle Balthazar. Il se promène dans la forêt qui entoure son château.

  

Mais cette forêt est habitée par une méchante sorcière qui s’appelle Georgette Maléfique. Ce jour-là, Georgette avait décidé de se promener dans la forêt. Elle voulait cueillir des pommes, des champignons et des orties pour faire une potion magique.

  

Balthazar en se prpomenant, rencontre le sorcière Georgette. Il lui dit bonjour. Mais sans faire exprès, son cheval marche sur le chat de Georgette Maléfique et l’écrase.

  

“ça va pas la tête? tu as écrasé mon chat, affreux jojo!” crie Georgette. “Puisque c’est comme ça, je vais te transformer en crapaud!” C’était en fait le crapaud de l’histoire: celui qui voulait absolument embrasser Verdurette.

  

Transformé en crapaud, Balthazar tout triste, retourne dans son château. Avec sa longue langue, il arrive à ouvrir la porte. En arrivant dans la salle à manger, il voit sa marraine la fée.

  

Il met la couronne sur sa tête pour lui faire comprendre, car il ne peut pas parler. Quand la fée comprend, elle prend sa baguette magique et lui en met un coup sur le nez. Il redevient le prince Balthazar.

  

Il demande à sa marraine la fée quel est le chemin pour trouver la mare de Verdurette. La fée prend sa longue vue magique et trouve le chemin. Elle accompagne le prince jusqu’à la mare pour le protéger au cas où ils trouveraient Georgette Maléfique.

  

La fée dit qu’elle la transformerait en cornichon. Ils arrivent à la mare, mais Verdurette n’est pas là, puisque elle est partie à sa rencontre. Mais la fée, grâce à sa baguette magique, fait revenir Verdurette dans sa mare.

Balthazar peut maintenant embrasser Verdurette. Elle se transforme en une très belle princesse.

 Ils se marièrent. Ils furent heureux et eurent beaucoup d’enfants.

Visite des CP et atelier au musée du papier

Nous sommes allés au musée du papier. Nous avons visité l’exposition sur les différents papiers et les différentes machines utilisées pour le fabriquer ou le découper. Puis David nous a expliqué l’histoire des écritures et nous avons uilisé des calames et des plumes pour écrire sur de l’argile et du parchemin.

  

  

On a vu la grande roue du moulin, une machine à écrire, un rouleau filigranneur, des écritures d’autres pays: la chine, l’egypte, des étiquettes de camembert et de l’écriture pour les aveugles. On a écrit avec un calame et une plume. Zoé.

On a vu la roue du moulin, du moulin, du bois pour fabriquer le papier, des étiquettes de camembert, une machine à écrire, une pointeuse pour savoir à quelle heure on commence et on finit le travail. On a vu l’écriture braille et des écritures d’autres pays. j’ai écrit avec une plume sur un parchemin. j’ai écrit mouton et berger sur de l’argile avec un calame. Amandine.

On a vu la grande roue du moulin et on a écrit sur un parchemin avec une plume. Angèle.

On a vu l’écriture chinoise, la roue du moulin, la machine à fabriquer le papier, du bois,un livre pour les aveugles. On a écrit sur de l’argile et avec une plume. Souhab.

J’ai écrit avec une plume et j’ai vu un livre pour les aveugles. Maïly.

On a vu la grande roue, des étiquettes de camembert, un livre pour les aveugles et on l’a touché avec nos mains. On a écrit sur de l’argile et avec une plume et de l’encre. Nathan.

On a vu des alphabets chinois, français, maya, égyptien. On a écrit sur de l’argile. On a appris comment on a inventé l’écriture. Dans la salle du bas, on a vu la grande roue du moulin et dans la salle du haut, on a vu la machine à fabriquer le papier, des étiquettes de camembert et du papier à cigarettes. Zaklina.

J’ai écrit sur de la terre et avec une plume. J’ai vu l’écriture pour les aveugles, l’alphabet chinois, égyptien et braille. On a vu la roue du moulin et on a vu une machine à faire des confétis. j’ai dit à toute la classe qu’il y avait des photos. Baptiste.

J’ai vu la roue du moulin, la machine à fabriquer du papier. j’ai écrit sur du parchemin avec une plume. Chafik.

Avec David, j’ai écrit sur de l’argile et aussi avec une plume. Avec Marilyne, on a vu la grande roue du moulin. Imed.

J’ai vu la roue du moulin et une machine à faire le papier. On  a écrit sur de l’argile et aussi avec une plume. Mansour.

Avec David, on a vu des écritures chinoise, arabe et pour les aveugles. On a écrit avec une plume et sur de l’argile. Avec la maman de Kalyan, on a vu la roue du moulin, la machine à mesurer le papier et des étiquetets de camembert. David.

J’ai vu la grande roue, une machine à découper le papier, du bois, des étiquettes de camembert, de l’eau, une machine à fabriquer le papier, des photos, du papier à cigarettes, une pointeuse. David nous a montré l’écriture chinoise et un livre pour les aveugles. J’ai écrit sur de la terre avec un calame et aussi avec une plume. Dimitri.

On a vu une machine à couper le papier. Leeloo.

On a vu la grande roue et une machine à écrire. Kalyan.

J’ai vu la grande roue. J’ai écrit avec un calame sur de l’argile. Ana.

On a écrit sur de l’argile et avec une plume. On a vu la grande roue du moulin et un livre pour les aveugles. Léo.

On a vu la roue du moulin, une machine à écrire, une pointeuse et des étiquetets de fromage. On a vu des alphabets maya, chinois, égyptien et français. On a écrit avec une plume. Océane.

Avec David, j’ai écrit à la plume. J’ai vu la roue du moulin, une pointeuse, du papier à cigarettes et des photos. Sacha.

On a vu la grande roue du moulin, la machine à fabriquer le papier, des étiquetes de fromage. On a écrit avec une plume. Mélanie.

On a vu une pointeuse et la roue du moulin. On a vu un livre pour les aveugles. On a écrit au calame et à l’encre. Paolo.

On a vu la roue du moulin et des écritures chinoise, maya et égyptienne. On a écrit avec un calame sur de l’argile. Mathéo T.

On a vu la grande roue, une machine à faire le papier, des étiquettes de camembert, une machine à écrire, une pointeuse qui dit l’heure à laquelle on commence et on finit le travail. On a vu l’écriture pour les aveugles. On a écrit avec une plume. Mathéo N.

J’ai écrit sur de l’argile et avec une plume. J’ai vu la roue du moulin, une machine à fabriquer le papier, des étiquettes de camembert, du papier à cigarettes et un livre pour les aveugles. Lou-Anne.