La sortie à la STGA

Jeudi 5 juin, la classe est allée à la STGA pour voir le fonctionnement de la Société de Transport du Grand Angoulême. Nous sommes allés dans une salle où il y avait des animateurs.On a donné un chronomètre à Souhil car il y avait 4 ateliers et chaque atelier devait durer 20 minutes.

1er atelier

On a été avec un chauffeur : il nous a expliqué plein de choses sur les bus et sur son métier : un bus accordéon mesure 18m et  peut  transporter environ 200 personnes, un bus normal peut transporter environ 100 personnes, il fait 12 m et les mini-bus, eux, ne font que 7 m de long et peuvent porter 20 personnes maximum. Il nous a aussi expliqué l’heure à laquelle les chauffeurs peuvent travailler, de 5h45 à 21h00.

Voilà le parking des bus. On voit  Félicie, sur la photo 3, essayez de rentrer le ticket dans le composteur. Le monsieur nous a expliqué qu’il y avait des rampes P.M.R (pour personne à mobilité réduite) pour monter dans le bus les fauteuils roulants (photo 1) !

 

Le chauffeur nous a aussi dit que dans le bus, il y avait des miroirs pour notre tranquillité (photo 3). Dans les bus urbains, il n’y a pas de ceintures alors que dans les bus qui font de longs trajets, il y en a.

2ème atelier

Le 2ème atelier consistait à visiter le garage et le monsieur nous a dit qu’il fallait 120 litres de gazole pour un bus. Le lavage s’effectue avec des rouleaux et dure1h30 environ. On lave les bus une fois par semaine avec de l’eau de récupération. Les bus sont vérifiés 2 fois par an. Dans un coin du garage, il y a 3 grands bacs pour le tri sélectif (photo 1) : ferraille, cartons et papiers propres et les déchets industriels banals. Maintenant, la STGA consomme moins de papier par an grâce au tri sélectif.

  

3ème atelier

Nous avons vu un conducteur qui nous a fait visiter leur espace : Tous les matins, les chauffeurs regardent  dans leur casier pour voir s’il y a quelque chose et après, il vont voir sur un ordinateur s’ils roulent aujourd’hui.

Dans se service, il y avait 2 échangeurs de pièces contre des tickets. Il y avait aussi un poste central où un monsieur ait tout : quel conducteur roulait et à quelle vitesse.

                                                           4ème atelier

Nous sommes allés rencontrer une dame qui nous a expliqué les règles du jeu de l’oie. On s’est partagé en deux groupes. Il fallait lancer le dé et répondre aux questions en rapport avec la STGA : par exemple, dans combien de communes passent les bus ? (16)  Si on avait juste, on avançait et si on avait  faux, on restait à notre place.

C’est l’équipe orange qui a gagné un mini-bus à construire et un bonbon. Les jaunes ont eu un bonbon aussi. A la fin, la monitrice nous a donné à tous des stylos avec une main au-dessus (pour faire signe au chauffeur !).

Maintenant, nous sommes tous prêts à prendre le bus pour la sixième !

Camille, Édith, Félicie, Myriam, Souhil, Tiphaine

 

 

Des mythes au musée

Vendredi 23 mai, nous sommes allés au musée des beaux arts d’Angoulême afin d’étudier les œuvres d’art en rapport avec la mythologie.

Emilie Falk, la médiatrice, nous a ainsi raconté 4 histoires de personnages peints ou sculptés.

Nous allons vous les faire découvrir et si vous lisez bien nos histoires, vous pourrez faire le petit jeu après !                                                                    La classe de CM2

La douleur d’Orphée

C’est l’histoire d’Orphée et d’Eurydice, sa femme : un jour, Eurydice se fit piquer par un serpent et elle mourut. Elle alla donc aux enfers, là où Hadès la retenait prisonnière.

Orphée voulut ramener sa femme de l’enfer mais pour y entrer, il fallait passer par Cerbère, le chien à 3 têtes, le gardien de la porte des enfers. Comme Orphée était un très bon musicien, il lui joua de la lyre et Cerbère devint gentil et laissa passer Orphée. Quand il entra dans les enfers, il vit un dieu (Hadès) et sa femme et il leur demanda s’il pouvait ramener Eurydice avec lui. Hadès et sa femme acceptèrent à condition qu’il ne se retourne pas jusqu’à la sortie des enfers pour voir Eurydice qui le suivrait.

Malheureusement, il n’entendit pas les pas de sa femme, il se retourna et il fut transformé en statue.

Sur la sculpture “La douleur d’Orphée”, de R. Verlet, on voit la lyre, Cerbère et la position d’Orphée en statue.

Myriam

Psychée

 

Nous avons vu une sculpture de marbre blanc de J.A.Peiffer, c’est Psychée. Elle était une femme très belle, plus belle que Vénus qui est la déesse de la beauté romaine ! Vénus avait un fils Cupidon , elle décide de se servir de Cupidon pour piéger Psychée, car elle est jalouse de sa beauté. Mais Cupidon tombe fou amoureux de Psychée et l’emmène dans un château où il ne vient la voir que la nuit car son identité doit demeurer secrète, Psychée ne doit pas savoir qu’il est est un Dieu. Mais comme ses soeurs disent à Psychée de regarder son visage car ça peut être un monstre, une nuit qu’il est endormi, elle prend sa lampe à huile, éclaire son visage et le reconnait ! Malheureusement, une goutte d’huile brûlante tombe sur son bras ! Il se réveille dans un grand sursaut, rentre dans une grande colère et part.

Au bout de bien des épreuves, Psychée retrouvera Cupidon qui l’emmènera dans le royaume des DIEUX et grâce à un fruit divin, Psychée deviendra immortelle comme les Dieux. Emma et Kelian

Vénus et Adonis

Après, on a été voir le tableau de Vénus et d’Adonis, de Paul Bril : l’histoire était que Vénus, la déesse de l’amour était amoureuse d’un humain. Adonis était un chasseur mais Vénus avait eu une vision : elle avait vu Adonis mourir à la chasse et elle essayait de l’empêcher d’y aller. Mais malheureusement, il y alla et il se fit tuer par un sanglier !

Le tableau avait 2 parties : Adonis vivant avec Vénus et Adonis mort avec le sanglier.

Ludovic

La guerre de Troie

Il était une fois deux mariés qui pour leur mariage, avaient invités tous les dieux et les déesses, sauf une : la déesse de la discorde.Tellement furieuse, celle-ci décida de s’y rendre et jeta sur la table une pomme d’or. Sur cette pomme, il y avait écrit “à la plus belle”. Donc Zeus choisit trois déesses parmi les plus belles : il choisit sa femme, sa fille et Aphrodite. Mais comme Zeus n’avait pas pu choisir entre les trois déesses, il demanda à un paysan, Pâris (qui était en fait le fils du roi de Troie) de le faire.

Chaque déesse dut promettre quelque chose à Pâris pour qu’il la choisisse. Aphrodite la déesse de l’amour, lui a promis l’amour de la plus belle femme au monde, alors, Pâris l’a choisie.

Plus tard Pâris s’est rendu à Sparte, l’endroit où habitait la plus belle femme au monde (Hélène), le problème était qu’Hélène était mariée à Agamemnon donc, il enleva Hélène un jour où il n’était pas là. Quand le mari revint chez lui, il ne vit pas sa femme et il sut qu’elle avait été enlevée par Pâris, donc il décida de prendre tous les gens de sa ville  et de combattre la ville de Troie (grâce au cheval de Troie) : c’est ce qui a provoqué la guerre et a tué le frère de Pâris ainsi que plein d’autres troyens.

Sur le tableau “La consternation de la famille de Priam, de E.B.Garnier”, nous voyons le corps d’Hector, frère de Pâris, trainé par un char. On voit aussi la femme d’Hector évanouie et son père qui veut aller rechercher le corps de son fils pour l’enterrer normalement. Pâris est aussi peint dans un coin du tableau, il se cache le visage car il a honte que tout cela soit arrivé par sa faute.

Ce qui m’a marqué, c’est quand la guerre a été déclenchée.

Félicie

Jeu

Associe chaque couple à son objet ou à son animal (tu dois donc avoir 4 groupes de 3 lettres) :

a- Orphée, b- Pâris, c-Vénus, d-Eurydice, e- Psychée , f- Hélène, g- Adonis, h- Cupidon

i- la pomme d’or, j- la lampe à huile, k- la lyre, l- le sanglier

Réponses :

La douleur d’Orphée : a d k
Psychée : e h j
Vénus et Adonis : c g l
La consternation de la famille de Priam : b f i

                           

L’exposition sur les dragons

Lundi 19 mai, nous sommes allés voir une  exposition sur les dragons : les CE1 le matin et les CM2 l’après-midi. C’était au C.D.D.P : on a fait deux groupes, un groupe avec le guide et l’autre avec la conteuse (photo 1) qui nous a raconté des histoires sur les dragons. Le but de cette exposition était de retrouver les traces du dragon Azuli : son œuf a éclos le 19 mai et il existait depuis 1052 ans ! Nous avons porté des amulettes autour du cou car elles font peur aux dragons ou les attire !!

Dans le conte du dragon des mers, il y avait des pêcheurs qui pêchaient des baleines quand, tout à coup, est apparu un dragon des mers. Il était gentil mais les pêcheurs lui ont fait peur alors il a plongé tout au fond de l’eau puis il a sauté en remontant et a fait basculer les pêcheurs. Depuis, ils sont revenus avec des canons et un jeune homme appelé Nino (c’était un chanteur) est arrivé au village pour aller voir sa mère. Il a vu les pêcheurs prêts à se battre et ils lui ont demandé de chanter toute la nuit : c’est ainsi que le dragon est sorti de l’eau pour écouter le chant de Nino. Il était très calme. Alors les pêcheurs ont voulu tirer leurs boulets de canon sur lui mais quand Nino a vu cela, il a crié pour que le dragon plonge. Depuis, plus personne n’a revu le dragon !

Les dragons sont des animaux mythologiques qui vivaient autrefois dit-on. Mais dans l’exposition, on nous le fait croire (1ère photo) car on nous montre un petit squelette fabriqué avec des cornes et des ailes !!

Les dragons auraient ainsi existé comme des animaux imaginaires dans tous les pays du monde puisqu’on en retrouve dans plein de légendes. Mais ils ne se ressemblent pas tous : celui de la France a des pattes de poule, des ailes de chauve-souris, une peau de serpent…(2ème photo) Alors que celui d’Amérique du  sud ressemble à un serpent à deux têtes (3ème photo), il est symbole de la nature.

En Chine, le dragon est célébré au nouvel an, une fois sur 12 car c’est un des signes astrologiques. C’est l’emblème des empereurs car il porte bonheur. Autrefois, on lui faisait des sacrifices dans des temples. C’est pourquoi on trouve des dragons sur tout : des assiettes, des vêtements…Le dragon fait partie des 4 animaux qui portent bonheur comme la licorne, la tortue, et le phénix !

  

Dans la cour du château, il y avait un dragon en robot et le guide l’a conduit : c’était amusant (il y avait des petits sièges où les enfants pouvaient s’asseoir).

 

A la fin, le dragonnier nous a montré un petit film sur les dragons qui auraient pu exister mais ils ont eu un défaut : par exemple, sur la première image le dragon a un éventail sur sa tête, alors quand il y a du vent, il s’envole ! Sur la deuxième image, le dragon a du feu autour de lui et quand il y a de la pluie, il n’a plus de pouvoirs ! Quant au 3ème dragon, il est trop gros avec de petites ailes alors, quand il va dans la rivière, plouf, il se noie !

Cette exposition nous a beaucoup plu et nous aussi, nous vous parlerons de dragons, dans les histoires que nous sommes en train d’écrire ! A suivre sur le blog…

Camille, Édith, Eva, Félicie, Kelian, Myriam, Souhil, Tiphaine, du CM2

 

La visite du festival du livre jeunesse

Nous sommes allés au festival du livre jeunesse qui se tenait au théâtre de Ruelle vendredi 28 Mars. Nous avons rencontré un auteur qui se nomme Eric Wantiez. Avant, il travaillait pour la télévision et les jeux vidéo mais il a arrêté.

Aujourd’hui, il écrit des livres comme “Bestiaire”, un recueil de 12 poésies, avec 12 illustrateurs et illustratrices. Sa femme, Marie Deschamps a illustré “Menteurs” dans Bestiaire. Eric Wantiez a aussi écrit d’autres livres jeunesse comme “Anatole”, “Pierre et Lou”, “Tatsu”, “Un secret”, “L’enfant sur la digue”, “Nino”…

Juste avant de commencer les ateliers, il y avait une dame qui nous expliquait et racontait comment les hommes écrivaient avant : ils écrivaient sur de l’argile et aussi dans les grottes, ils font des dessins très beaux, ils n’étaient pas bêtes et savaient faire beaucoup de choses !

 

La première photo c’était l’activité de l’écriture où on pouvait écrire avec un calame (un bout de roseau qu’on trempe dans de l’encre…) il y avait aussi des plumes et des plumes d’acier.

Mathéo : Je n’ai pas aimé la plume, je trouvais que ce n’était pas pratique et ça m’énervait.

Sur la 2ème photo, on tapait sur les touches de la machine à écrire. Sur certaines d’entre elles, il fallait appuyer très fort et pousser, lever une barre métallique pour revenir à la ligne.

Sur la 3ème photo c’est l’atelier imprimerie où on imprimait notre poésie préférée : on prenait des lettres en bois, on mettait de la peinture dessus et on appuyait très fort sur du papier. Il y avait une petite boîte de bois qui nous permettait d’écrire tout ce qu’on voulait : Amandine a écrit “école Paul Bert”.

Zaklina : Moi j’ai aimé l’activité où il y avait un texte et tu mettais une couche de peinture dessus.

Toute la classe de CE2 a aimé l’exposition et les poèmes d’Eric Wantiez !

Angèle, Mathéo N., Nathan et Zaklina du CE2 aidés par Emeline et Félicie du CM2

 

 

Devenir des journalistes animaliers du son

Le lundi 10 mars, quatre étudiants de l’université( le créadoc) sont venus à l’école pour nous présenter le matériel qui permet d’enregistrer le son des voix, des cris d’animaux et tout ce que nous pourrons entendre sur l’Ile Marquet.

   

Nous avons partagé la classe en quatre, avec un étudiant pour chaque groupe, de façon à enregistrer des sons et à les faire deviner aux autres groupes.

Le groupe d ‘Émeline est en train de secouer un arbre et de sauter dans les feuilles.

Le groupe de Thomas tourne les pages d’un livre pour en enregistrer le son.

Le groupe de Kelian est en train d’enregistrer le bruit des voitures qui passent en bas de l’école.

Les quatre étudiants nous ont présenté le matériel que nous prendrons pour aller sur l’île Marquet. L’enregistreur (tascam), un câble mâle/femelle, un micro et le gros enregistreur.

Sur le petit enregistreur de marque Tascam (1ère photo), il y avait un petit bouton rouge en bas à droite et quand on voulait enregistrer, on appuyait dessus et ça clignotait.

Le micro (2ème photo) est très sensible au vent donc on lui met un chien : c’est une protection que tient Marion dans sa main.

Le gros enregistreur est relié à un fil XLR mâle/femelle.

Félicie et Tiphaine

Jeudi 9 Avril au matin, nous sommes allés sur l’ île Marquet pour enregistrer des sons. Comme vous pouvez le voir sur la photo, les étudiants du créadoc nous réexpliquent comment fonctionne les enregistreurs (sauf pour Souhil qui n’était pas là la 1ère séance). Ce n’était pas les mêmes car nous avions un gros micro à tenir pour enregistrer les sons plus loin. Sur l’écran, on voyait combien de temps on avait enregistré et si nous avions encore de la batterie.

Nous nous sommes séparés en 4 groupes afin d’enregistrer des sons différents et de ne pas faire se toucher les micros car ça fait des interférences !

La plupart des groupes ont enregistré des sons d’oiseaux (dans le nid du Marsupilami, il y avait un nid d’oiseau !), d’eau et c’est tout !

 

Sur la première photo il y a les CM1 qui font de l’aviron et nous avons essayé d’enregistrer les pagaies. Il y a une coccinelle sur la feuille, on ne l’a pas enregistrée mais pour d’autres insectes, ça faisait des crissements.

On essayera de vous faire écouter tout cela car à la rentrée, les étudiants reviendront pour nous apprendre à les monter.

 Ludovic et Souhil

Vive le carnaval !

Jeudi 20 mars, les classes de CP et CE1 avaient rendez-vous avec les maternelles et avec un accordéoniste, (Michel  Mathé) sur la place St Jacques. Ils ont chanté des chansons  pour célébrer le printemps : les CP et les CE1 ont chanté 2 chansons” Carnavalito” et “Pas d’argentine”, et les maternelles ont chanté 3 chansons “Coule coule la rivière”, “Hop là hop là” et “Voici le carnaval”. Avec le centre de loisirs, les CP et les CE1 avaient créé des masques.                            Camille et Eva du CM2

Voici ce qu’en pensent les CE1 :

On révisait les chansons de Carnaval avant d’aller sur la place et d’aider la petite section. On se préparait.

Louison, Solana

 

 

Nous étions en train d’attendre les maternelles et les parents. La maîtresse nous donnait des consignes avant d’aller chanter devant les parents.

Brayan, Lila

 

C’était bien quand on a chanté nos chansons devant nos parents. Nous chantons devant l’école maternelle « Pas d’Argentine » et « Carnavalito ». On était accompagné par Michel Mathé à l’accordéon et le maître à la guitare. La maîtresse du CP nous dirigeait. Les parents étaient là.                                     Eva-Lina, Mathis

 

Nous avons fini de chanter. Les maternelles sont sortis et ils sont allés sur la place. Ils ont traversé la rue. Les maternelles et nous, on était déguisé pour la fête.

Naomie, Lana

 

Ils sont en train de se mettre en ronde par deux. Ils portent des chapeaux marocains.

Louison, Louise, Jade

 

 

A la fin des danses, on s’est tous assis. Nous avons très bien chanté et les autres aussi.

Aurane, Tom

 

 

On est assis. On a regardé le bonhomme « péter ». On l’a fait brûler.

Emmanuel, Noé, Yanis

 

 

Gilles Osvald, le directeur de « Rives de Charente » nous a expliqué des choses sur le bonhomme Carnaval. Nous étions captivés. Puis Jérémy a allumé le bonhomme.

Nathan

 

Le bonhomme Carnaval commençait à brûler. Il a fait des bêtises et on le punit. Sa punition est de le faire brûler. Il y a des barrières de sécurité.

Emma, Timothé

 

 

Le bonhomme a été brûlé. Il y avait des barrières de protection.

Emile

 

 

 

On jetait des confettis sur tout le monde. Certains les ramassaient pour en avoir plus.

Anna

Visite du collège Anatole France

Vendredi 21 mars, nous sommes allés à Anatole France pour visiter le collège et y passer l’après-midi. Quand nous sommes arrivés, une surveillante nous a expliqué le fonctionnement du self, comment ça se passait.

Et juste après qu’elle ait fini de nous l’expliquer, nous sommes allés manger.

 

Sur la première photo, nous sommes en train de choisir notre repas.

Il y avait en entrée : des champignons avec deux sauces différentes, une salade composée ou des betteraves râpées. En plat, il n’y avait qu’un seul choix : des carottes avec du veau. Et en dessert, il y avait : des éclairs au chocolat, du crumble, une tarte au pommes ou un bavarois au citron ou à la framboise.

A la fin, tu devais débarrasser tout seul ton repas et sortir dans la cour.

Dans la cour, il y avait des surveillants. Nous pouvions faire pratiquement ce qu’on voulait mais personne ne jouait ni ne courait, les collégiens parlaient pratiquement tous ! Il y avait des paniers de basket mais personne ne jouait car le ballon était perdu !

Notre récré a duré 45 minutes avant que ça ne sonne.

Kelian : “La récré était terrifiante car les collégiens ne cessaient de se moquer du physique extérieur (mes cheveux !). Tout ce que je sais, c’est que si je dois aller à Anatole, ils doivent arrêter ces pitreries ! Je les ai trouvés assez insolents, car c’est les troisièmes et ils sont censés montrer l’exemple !”.

Après la récré, on rentre dans la classe avec le CPE (conseiller principal d’éducation). Dès qu’un adulte entre dans la classe, on doit se lever pour leur dire bonjour. Mais en poussant nos chaises, on fait autant de bruit que si on disait bonjour !

Le CPE nous a présenté le cahier de liaison sur lequel on doit mettre une photo pour que le surveillant puisse nous reconnaitre et nous laisser rentrer, et aussi pour les observations, les heures de colle, les absences, retards et pour mettre des mots…

Le professeur de maths, madame Comin, nous a fait une séance de maths sur la proportionnalité : concernant une recette de gâteau au yaourt et aux fruits, il fallait calculer quelle quantité d’ingrédients il fallait pour 12 élèves.

Elle utilisait un TBI ( tableau blanc interactif ) : le système est un projecteur qui affiche les données de l’ordinateur directement sur le tableau. Elle a un crayon spécial pour écrire sur son tableau interactif. Avec ce tableau, on a l’impression que ça va plus vite !

 

L’équipe de Tiphaine fait un gâteau aux poires, l’équipe d’Édith fait un gâteau à la pêche, l’équipe d’Émeline un gâteau au yaourt. Emma a cassé un  œuf en le faisant tomber par terre ! Le dosage du sucre, du lait et de la crème était difficile car on pouvait le renverser !

Nous avons descendu les gâteaux au self, pour que Dominique ( le cuisinier) nous les fasse cuire pendant 30 minutes pour les gâteaux aux fruits, et 50 minutes pour les gâteaux au yaourt. C’était dur de descendre les escaliers sans en faire tomber ! Quand nous sommes arrivés au self, un peu du gâteau de l’équipe de Camille s’est renversé car il était rempli à ras bord, alors madame Comin a pris les choses en main !

Nous avons visité le collège pendant que les gâteaux cuisaient, mais pas entièrement car les élèves étaient en cours dans certaines salles. Le CDI encore en travaux, sera ouvert dès la rentrée prochaine.

  Voici cette photo qui nous montre une expo faite par la classe  Ulis (des enfants qui ont besoin de travailler en petits groupes).

Cet ascenseur sert uniquement aux enfants et adultes handicapés ou blessés.

Voici la salle de techno (technologie), nous y avons vu des machines.

 

Voici la salle d’histoire-géo (certaines salles sont spécialisées), sur la porte, il y a le n°13 dont le 1 veut dire “1er étage” . Sur la 2ème photo, le n°23 indique le 2ème étage. A côté de chaque porte de classe est affiché l’emploi du temps de la salle, au cas où l’on oublie !

On a trouvé la visite super et ceux qui n’iront pas à ce collège ont pu aussi comprendre comment ça se passe dans d’autres collèges !

La classe de CM2

 

Un dimanche à Saint-Lary.

Dimanche 23 mars, il neigeait dans le village de Saint-Lary !!! Malheureusement, cette neige ne tenait pas au sol.

 

 

 

 

Nous avons dormi un peu plus tard, et nous sommes descendus prendre notre petit déjeuner en pyjama.

 

 

 

 

 

Après un petit  temps de classe et la préparation des valises avec Fabrice, nous sommes allés déjeuner. Au menu il y avait du taboulé, de l’omelette ou du rôti de porc avec des courgettes et une délicieuse tarte aux pommes.

 

 

 

 

 A table, nous avions des “smileys” : vert si nous ne parlions pas trop fort, orange s’il y avait trop de bruit et rouge si le bruit continuait. Nous avons été raisonnables.

 

 

 

 

Après le déjeuner, nous sommes allés jouer. Certains ont bravé le mauvais temps pour aller dans la cour, d’autres ont lu, d’autres comme Rose, Sari et Enzo ont répété des sketches pour  la veillée.

 

 

 

 

L’après-midi, nous sommes restés au chaud. Nous avons vu un film sur les animaux des Pyrénées au fil des saisons : l’ours bien sûr, mais aussi le grand tétras, l’isard, la marmotte, le gypaète barbu, le vautour fauve…

 

 

 

 

Le soir, nous avons pris notre dernier dîner au centre.

 

 

 

 

La surprise du dessert a servi de décoration aux filles comme aux garçons.

 

 

 

 

Pendant ce repas “au revoir”, chaque classe a présenté des chansons ; de notre côté, certains enfants ont présenté et joué des sketches savoureusement drôles. Bravo à tous ces acteurs en herbe pour leur créativité !!!

Pour la veillée “au revoir”, nous avons joué à des jeux de société dans la salle à manger,  avec des copains de la classe,  mais aussi avec les copains des autres classes!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

la classe de CM1

Visite de la station d’épuration

Mercredi 12 mars, les CE2 ont visité la station d’épuration de Frégeneuil par rapport à leur travail de sciences sur l’eau.

Alexandre nous a expliqué ce qui pouvait salir l’eau, par exemple des excréments ou des restes de nourriture…  Il nous a aussi expliqué qu’il ne fallait pas jeter des produits chimiques dans l’eau comme la peinture, ni de l’huile, car c’est difficile à enlever !

C’est le dégrilleur qui enlève les gros déchets et Alexandre nous a expliqué qu’il ne fallait pas jeter de lingettes ni de cotons-tiges dans les toilettes, sinon, ça bloque le dégrilleur ou ça passe à travers !!

Le dessableur/dégraisseur enlève le sable et met sur le côté la graisse.

Le bassin biologique est le paradis des bactéries ! Il y a plusieurs sortes de bactéries : celles des eaux calmes et celles des eaux brassées. Les bactéries mangent les saletés et elles rejettent des boues d’épuration qui retombent au fond du bassin et servent de compost.

C’est le bassin clarificateur qui clarifie l’eau : l’eau est calme pour que les saletés tombent au fond du bassin.

Après le bassin clarificateur, l’eau rejoint la Charente, elle est propre mais non potable. Mais avant, elle passe par le canal de comptage où on analyse l’eau pour voir si elle est assez propre. Après, elle repart dans un gros tuyau dans la Charente.

Sur la photo 2, nous avons vu l’eau de la plus sale à la plus propre (de gauche à droite).

Grâce à cette visite, nous savons où va l’eau sale de nos maisons !

 Amandine, Milo, Sacha et Zoé du CE2, aidés par Emma et Myriam du CM2

 

Dernière séance de piscine au CP

Les CP partent à la piscine à 8:30, tous les mardis. Ils aiment  bien nager mais, malheureusement, c’était  leur dernière séance mardi 18 février. Leurs deux maitres nageurs sont Sophie et Benjamin. Les CP apprennent à faire l’étoile de mer avec des frites !

Les CP aiment bien jouer au toboggan jaune.

 

Baptiste : Je nage plus vite que les autres.          

Madeleine : Je ne sais pas nager sans frite.                                                                             .

Les CP ont joué à un autre jeu, le jeu ressemble à du basketball.

Edith et Thomas du CM2